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Le design du. TRIBUNE Pour Jean-Louis Frechin, le design doit évoluer et tenter de répondre aux enjeux de la révolution numérique. Ce Design numérique relève autant des humanités, de l’art et de la science et des technologies, que de l’économie car il s’attache à la création de nouvelles relations entre les producteurs et les Hommes dans un monde en réseaux. La nouvelle révolution industrielle provoquée par le "numérique", embrasse et modifie en profondeur tous les secteurs de la société. Le véritable changement d’âge que nous vivons (rôle infini du logiciel, monde en réseau, mutations sociales, hypercrises successives, fin des modèles du XX siècle, désir d'émancipation) bouleverse les aspirations des hommes, des organisations sociales, de l’économie, de l’éducation, de l’industrie et même les organisations politiques.

Une approche "transdisciplinaire" pour concevoir des "nouveaux objets" adoptables. De nouvelles spécialités aux régimes instables. Qu'est-ce que l'intelligence collective ? Le thème de l’intelligence collective a fait l’objet de nombreux travaux durant les quarante dernières années.

Même si les appellations diffèrent, un objet commun semble se dégager : noosphère de Teilhard de Chardin, écologie de l’esprit de Gregory Bateson, écologie des représentations de Dan Sperber, sujet collectif de Michel Serres, cybionte de Joël de Rosnay, hive mind de Kevin Kelly, intelligence connective de Derrick de Kerckhove, super-brain de Francis Heylighen, Global Brain de H. Bloom, intelligence émergente de Steven Johnson, etc. Stricto sensu, l’intelligence collective est un concept régulateur qui peut être défini comme une intelligence variée, partout distribuée, sans cesse valorisée, coordonnée en temps réel, qui aboutit à une mobilisation effective des compétences [1]. L’intelligence collective constitue également un champ de recherche dont l’objet est l’étude de la coopération intellectuelle entre humains dans un environnement techniquement augmenté.

Technologies et coopération. Internet ne nous rend pas seul, soulignions-nous dernièrement. Mais en quoi nous aide-t-il à coopérer entre nous ? Dans son nouveau livre, Ensemble : les plaisirs rituels et la politique de la coopération (Amazon, extraits), le sociologue Richard Sennett, enseignant à la l’école d’économie de Londres et à l’université de New York, s’est intéressé à la coopération. Pour comprendre pourquoi elle se produit – et parfois, pourquoi elle ne se produit pas. Après Craftman (L’artisan, traduit en français sous le titre Ce que sait la main : La culture de l’artisanat), qui s’intéressait à l’impulsion innée que nous avons à bien faire les choses, ce livre est le second d’une trilogie (baptisée homo faber) sur les compétences dont les humains ont besoin pour une coexistence heureuse (le suivant, annoncé, portera sur les villes).

La valeur de la coopération réside dans l’informel Face à la crise, estime le sociologue, les règles formelles s’avèrent souvent insuffisantes. Dialectique contre dialogique. Glossaire. En cours de rédaction Beaucoup de concepts sont utilisés dans ce blog, et il est parfois nécessaire d’être à l’aise avec le sens exact des mots employés. Ce petit glossaire s’enrichit au fur et à mesure, il est là pour vous aider! Compétition et coopération Savez vous que la compétition et la coopération ne sont pas de simples opposés ? Selon la théorie des jeux en effet, la compétition concerne les besoins immédiats des individus, alors que la coopération cible les besoins du groupe, de façon globale. Comme l’explique John Grant dans son ouvrage Co-opprtunity, la coopération, cela fonctionne ET cela dénoue les résistances. Co-opétition La coopétition est un mélange des deux mots coopération et de compétition (concurrence).

Cette notion provient du travail de deux auteurs américains : Nalebuff et Brandenburger. Cette logique de coopétition est présente dans le concept d’écosystème d’affaires et explique comment deux entreprises bien que concurrentes puissent être également partenaires. Rencontre régionale des PTCE en Rhône-Alpes. Jeudi 25 octobre 2012 Publié le 1er octobre 2012 Val Horizon, en partenariat avec la Région Rhône-Alpes, la CRESS CRESS Chambres Régionales de l’Economie Sociale et Solidaire Rhône-Alpes, le RTES, Coorace Rhône-Alpes, Culture et Coopération, Pôle Sud et Scène(s) de Musiques ACTuelles 07, organise la prochaine rencontre régionale des PTCE PTCE Pôles territoriaux de coopération économique. en Rhône-Alpes qui aura lieu le 25 octobre 2012 de 9H30 à 16H30 à Trévoux (Ain).

Objectifs de la journée : les Pôles Territoriaux de Coopération Economique : du concept au projet Constituer une communauté de réflexion et de travail sur les PTCE PTCE Pôles territoriaux de coopération économique. en région Aider à l’émergence et à la consolidation des dynamiques de PTCE en région Formaliser les processus d’accompagnement des PTCE Programme provisoire de la journée : 9h30 : accueil / café 10h00-12h00 : plénière en présence d’un chercheur et d’un consultant en développement économique local 14h00-16h30 Contact : Coopérer dans les territoires. Les Pôles territoriaux de coopération économique. Un Pôle territorial de coopération économique (PTCE) a pour but d'organiser la coopération entre acteurs de l'ESS, entreprises et collectivités dans le but de promouvoir un changement d'échelle de l'économie sociale et solidaire. Qu'est-ce qu'un pôle territorial de coopération économique ? Initiative du Labo de l'ESS, du Coorace, du CNCRES et du RTES, les PTCE posent un cadre de mutualisation et de coopération économique sur un territoire donné.

Des entreprises, des réseaux (associatifs) de l'ESS associés à des PME socialement responsables, des collectivités locales, organismes de formation... mettent ainsi en oeuvre une stratégie commune et continue au service de projets économiques innovants de développement local durable. Aucun modèle unique n'est proposé, ce sont aux différents pôles eux-mêmes de trouver leur modus vivendi.

La démarche actuelle rentre dans le cadre d'une expérimentation et d'une labellisation progressive des PTCE. Une réunion régionale a eu lieu le 17 février.  Les Régions dans la dynamique des Pôles territoriaux de coopération  Volonté politique, organisation interne, mobilisation des partenaires, possibilités concrètes dans les marchés… Dans cette publication, les élus et techniciens des Régions pourront trouver bonnes pratiques et analyses pour renforcer leurs achats socialement responsables, quel que soit leur niveau d’avancement en la matière.

La première partie de la publication de l’Avise, réalisée dans le cadre de l’animation des centres de ressources essenregion.org et socialement-responsable.org, explore les enjeux, acteurs et principaux repères sur les clauses sociales. Les différents articles que le pouvoir adjudicateur peut mobiliser dans le cadre de sa stratégie d’achats socialement responsables sont ainsi rappelés et quelques chiffres clés soulignés. En seconde partie, six fiches présentent des bonnes pratiques et retours d’expérience sur la mise en œuvre des clauses sociales par les Conseils régionaux.

L'économie sociale s'organise en pôles territoriaux. Les pôles territoriaux de coopération économique sont en train d'essaimer. Déjà 18 pôles-témoins sont actifs ou sur le point de l'être. Une première rencontre organisée le 25 juin 2012 a été l'occasion de mettre en avant les atouts de ces structures et le rôle particulier que peuvent jouer les collectivités territoriales dans leur développement.

Les pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) devraient rentrer dans une nouvelle phase. C’est ce qui ressort de la première rencontre nationale de ces pôles, organisée le 25 juin 2012 à Paris par le Laboratoire de l’économie sociale et solidaire. "Avec le groupe d’initiative nationale, on va d’espoir en espoir", signale ainsi François Bernard, du Mouvement pour l’économie solidaire. "Il faut passer au très concret" Un nouvel appel à projets Autre paramètre à faire évoluer : le rôle et l’implication des collectivités locales. Emilie Zapalski Le baromètre de l’entrepreneuriat social : trois territoires en tête.