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Environement

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L’économie verte, solution magique ou néolibéralisme vert ? L’économie verte est le principal sujet à l’ordre du jour de la prochaine conférence des Nations-Unies sur le développement durable qui se tiendra à Rio de Janeiro (20-22 juin). Et celui sur lequel les controverses sont les plus fortes. Après avoir publié les vidéos Du développement durable à l’économie verte, quels enjeux ? Quelle alternative ? Et Financiarisation de la nature, l’exemple des forêts, Alter-Echos (www.alter-echos) poursuit son travail d’explication en publiant une longue interview d’Egardo Lander, professeur de Sciences sociales à l’Université centrale du Venezuela qui décrypte notamment le rapport « Vers l’économie verte » du Programme des Nations-Unies sur l’Environnement, l’une des bases intellectuelles et théoriques des négociations autour de Rio+20.

Alter-Echos : Le sujet principal de la conférence des Nations-Unies, dite Rio+20, est l’économie verte. De quoi s’agit-il ? Sur quels principes reposent cette transition vers l’économie verte ? Les deux, je pense. Rio+20 : du développement durable à l’économie verte, quels enjeux ? Quelle alternative ? Financiarisation de la nature, l’exemple des forêts. Pour beaucoup d’acteurs de la société civile, « l’économie verte » promue par les institutions internationales, et qui sera à l’ordre du jour du prochain sommet Rio+20, étend les logiques de financiarisation et de marchandisation à la nature. Après avoir publié une vidéo intitulée Du développement durable à l’économie verte, quels enjeux ? Quelle alternative ? , Alter-Echos (www.alter-echos.org) poursuit son travail d’explicitation en prenant l’exemple du dispositif REDD (Réduction des émissions liées à la déforestation et la dégradation des forêts).

Développés et mis en œuvre dans le cadre des négociations climatiques, les mécanismes de type REDD sont présentés comme permettant de lutter efficacement contre la déforestation tout en finançant les pays et populations du Sud. Pour Pablo Solon, interviewé dans la vidéo qui suit, les dispositifs REDD réduisent la forêt à un stock de carbone afin de l’insérer dans les marchés carbone.

Planète des hommes (Partie 1/2) Planète des hommes (Partie 2/2) Le silence des abeilles. Installation d'un rucher à l'Assemblée nationale. Bienvenue dans l'Anthropocène ! Frank Fenner sees no hope for humans | Story & Education Stories. FRANK Fenner doesn't engage in the skirmishes of the climate wars. To him, the evidence of global warming is in. Our fate is sealed. "We're going to become extinct," the eminent scientist says. "Whatever we do now is too late. " Fenner is an authority on extinction. The emeritus professor in microbiology at the Australian National University played a leading role in sending one species into oblivion: the variola virus that causes smallpox. And his work on the myxoma virus suppressed wild rabbit populations on farming land in southeastern Australia in the early 1950s. He made the comments in an interview at his home in a leafy Canberra suburb.

Decades after his official retirement from the Centre for Resource and Environmental Studies, which he set up in 1973, he continued a routine established when he was running world-class facilities while conducting research. He'd get to work at 6.30am to spend a couple of hours writing textbooks before the rest of the staff arrived. "Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle. HOME (FR) L'Australie va-t-elle sacrifier sa Grande Barrière de Corail au gaz de schiste? Par: Caroline Albert 25/04/13 - 12h01 © photo news. L'extraction de gaz de schiste près de la Grande Barrière de Corail est au coeur du débat en Australie alors que les tensions montent sur l'impact environnemental de l'industrie pétrolière et gazière en plein essor sur le nord de la côte est. En février, le gouvernement conservateur de l'Etat du Queensland a levé un moratoire permettant aux entreprises d'évaluer si le boum que connaissent les Etats-Unis grâce au gaz de schiste pourrait être reproduit en Australie. © epa. © thinkstock.

Une usine de transformation a déjà vu le jour près de Gladstone avant de décider si le développement dans de vastes zones (qui contiendraient des milliards de barils de gaz de schiste) est envisageable. Pour le premier ministre de l'Etat du Queensland, Campbell Newman, cette nouvelle industrie serait "une victoire" créant des emplois et des revenus. La Nouvelle-Calédonie interdit à son tour la pêche aux requins. L'appel d'Heidelberg, une initiative fumeuse.