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Jeux vidéos

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BiTS S03E25 - Comment les jeux vidéos font naître l'empathie ? ZONES. – Socrate : N’est-il donc pas indispensable que nous commencions par savoir ce qu’est un jeu vidéo ?

ZONES

– Mario : Socrate, ce n’est pas difficile à formuler. C’est un jeu avec de la vidéo, sur un écran. Soit on joue à la balle en vrai, soit on joue sur un écran (et c’est Pong) ; ou bien on explore des cavernes en vrai, ou bien sur un écran (et c’est Super Mario Bros.). – S : Bien parlé, Mario. Mais que dirais-tu alors des jeux télévisés ? – M : C’est facile, Socrate ! – S : Il y a pourtant des jeux où on interagit avec un ordinateur et qui ne sont pas des jeux vidéo. – M : Que veux-tu dire, Socrate ? – M : D’accord, Socrate, mais ce qui leur manque, c’est une interface graphique. – S : Il existe cependant de vrais jeux vidéo qui en sont dépourvus. . – M : Doucement, Socrate. Jeux vidéo : quand le gouvernement s'intéresse au E-sport. Les consoles de jeu à nouveau autorisées en Chine. Après quinze ans d’interdiction, les consoles de jeux vidéo vont enfin pouvoir revenir dans les foyers chinois.

Les consoles de jeu à nouveau autorisées en Chine

C’est ce qu’a annoncé le ministre de la culture chinois, vendredi 24 juillet, un an et demi après un premier assouplissement des règles. En 2000, la Chine avait interdit la production et la commercialisation des consoles sur son territoire, craignant qu’elles ne « nuisent au développement physique et intellectuel » des enfants. Mais en janvier 2014, les autorités avaient lâché du lest, autorisant la vente et la construction de consoles uniquement dans la zone de libre-échange de Shanghaï. Une autorisation désormais élargie à l’ensemble du territoire chinois. En septembre, profitant de l’assouplissement sur la zone de Shanghaï, Microsoft avait été le premier grand constructeur à se lancer en Chine avec Xbox One.

Censure Les joueurs chinois seront-ils intéressés par ces nouveaux produits ? A la rencontre du GamerGate, le mouvement libertarien qui veut défendre « ses » jeux vidéo. Protéiforme, parfois violent et un rien étrange, le mouvement de joueurs de jeux vidéo se réunissait samedi 11 juillet à Paris.

A la rencontre du GamerGate, le mouvement libertarien qui veut défendre « ses » jeux vidéo

Sans écrans interposés. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par William Audureau Paris, Gare de Lyon, sur les coups de 22 heures. Un verre à la main, une quarantaine de clients d'une brasserie sans prestige se tassent sagement sur le trottoir. Trois hommes se tiennent face à eux. . « La récupération politique, je suis contre », persifle un jeune informaticien habillé en look psychobilly, banane à l'ancienne et tutoiement facile. « Je suis antiraciste à 200 %, je soutiens l'action antisfaciste française depuis mes 14 ans », rajoute-t-il comme pour mieux se désolidariser de l'un des organisateurs de l'événement, Vox Day, programmeur de jeux vidéo, écrivain de science-fiction connu pour ses écrits suprémacistes, et pour avoir qualifié une consœur noire de « demi-sauvage » – propos qu'il a réitérés samedi au Monde.

Guerre en ligne farouche Donquichottisme inquiétant. Le ministère de la culture favorable aux restrictions contre la revente de jeux vidéo. La déclaration aurait pu passer inaperçue si elle n’avait pas été repérée par le site spécialisé NextInpact.

Le ministère de la culture favorable aux restrictions contre la revente de jeux vidéo

Dans une réponse à une question écrite publiée discrètement le 11 août, le ministère de la culture et de la communication a défendu les DRM (Digital Rights Management) dans les jeux vidéo. Il s’agit de systèmes (enregistrement en ligne lors de l’installation d’un jeu par exemple) qui ont pour but de bloquer le fonctionnement d’un jeu s’il n’a pas été acheté neuf – qu’il s’agisse d’une copie pirate ou d’un jeu d’occasion. « Après plusieurs années de mise en œuvre, force est de constater que ces mesures ont effectivement permis de changer les habitudes des consommateurs et de faire baisser considérablement le niveau de piratage des jeux vidéo », a indiqué le ministère. « L’ensemble du secteur du jeu vidéo, et en particulier la création française vidéo-ludique, trouve là une protection indispensable », a-t-il ajouté.