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Racisme/Intersectionnalité

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Surveille ton langage ! | Brasiers et Cerisiers. Si vous avez été envoyé vers cet article par un lien posté suite à vos propos, prenez le temps de le lire, au calme, sans a priori. Vous verrez qu’au final, il n’ y a rien de dramatique. Une société de dominations Nous vivons dans une société (ou un agglomérat de sociétés connectées) qui baigne dans les oppressions diverses et variées : racisme, sexisme, homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, classisme, validisme… Depuis notre naissance, selon notre milieu et notre parcours, de nombreux facteurs influencent notre façon de penser, parler, agir : éducation familiale et scolaire, culture (livres, cinéma, chansons, télé-poubelle ou télé-qualité, patrimoine…), publicités, rencontres, administrations publiques et privées, compositions et ambiances de nos lieux de travail et de loisirs, hasards de la vie.

Hors tous ces facteurs sont eux-mêmes inscrits dans le contexte des dominations évoquées plus haut. Renforcement des oppressions. Pour résumer : Evident ? Pas tant que ça. Coming Out as Biracial — Human Parts. A few months ago, I not-so-subtly asserted myself as biracial while having dinner with a new coworker. “I’m a Capricorn,” she’d said. “Yeah…my mom’s black,” I responded (not verbatim, but the exchange was similar).

Whoa. What? Immediately after I injected that part of my identity into the conversation, I had a come-to-Jesus moment. What was I doing? The answer, if you’re wondering, is yes. Here it is: My mother is black. I grew up in a culturally diverse environment, which meant I missed the memo that it’s “not normal” to be mixed. So I didn’t discover my otherness through being teased by peers or by having after-school-special chats with my parents. Because my exploration of race was largely internal, I spent much of my adolescence identifying as … well, whatever I wanted. Even with this solution in place, a certain fear lived in me.

At thirteen, I moved and got a chance to reevaluate my identity. Gradually, I learned how to parse my race, make sense of it on a personal level. Your Fave Is Problematic. Lsatdaddy asked: good lord idk if you've seen the trailer for the new season of Girls but it has a line "Sometimes, I think about Japan and I'm like, did I create this country in my mind? " T_T yikes no surprise there, considering Girls is the whitest white feminist piece of shit I’ve ever laid my eyes on. and Lena Dunham also wrote one this orientalist garbage too sonysportswalkman: *town crier voice* hear ye, hear ye! B-bumb: he’s beauty,he’s grace,he’s our problematic fave Your Fave is Problematic: My Mom Let the dog drink out of her glass of water and then denied it! Tayloracleswift: Friend: I need receiptsMe: On who reblog if u a little problematic Azealia Banks On September 13, 2013 she tweeted “They said I look like the [t-word] from orange is the new black :(((((”.

Let me know if there’s something I should add! Closing ask/submissions for a little while thanks to gross-ass messages from the snotnosed sexist shitheads of the 4chan “takeover” Kerli RuPaul “T****y, it’s ridiculous! This... is White Privilege. Gradient Lair. I have been called “racist” by White people whenever I specifically reject a legislative, political, media/film/art, or cultural manifestation of White supremacy. I’ve also been called “racist” for recounting any experience that I have had with racism. The actual act of naming what I heard or experienced is deemed “racist.” The naming, deconstruction and discussion of experiences of this nature is important, however. As Black feminist scholar Patricia Hill Collins notes: Naming daily life by applying language to everyday experience infuses it with the new meaning of a womanist consciousness.

Apparently, what I actually heard or experienced is of no concern or consequence to Whites seeking to call Black people or other people of colour racist. There’s two reasons why Whites call people of colour (especially Black people) “racist.” Many times an insult is not occurring—it’s just a Black person adamantly rejecting White supremacy. Related Essay List: On Race… Gradient Lair. I wrote a post about White women and white privilege a few days ago—about how dealing with microaggressions and racism from them is often something I’m expected to ignore, and process racism as something that can only come from White men. From college days to corporate America to daily interactions in places of business to social media, I’m bombarded by experiences with White women that are shaped in everything from microaggressions to casual racism to institutionalized and overt racism.

It is not comfortable. It hurts and angers. I find myself saying NO to them (sometimes outright, sometimes just in my mind) often…often like this… No, I don’t work at this store that we’re both shopping at. You’ll notice that I’m not wearing a name tag and/or uniform for this store. No, I won’t be using my shopping time to help you find something that you are too lazy to find since you won’t ask a clerk that actually works at this store for help. No, I don’t want the Black guy you are with. Le marteau féministe et l’enclume musulmane. Michel Onfray : "On jongle avec des idées, mais pas avec la misère des gens.

Et la misère des gens elle va où, aujourd’hui ? Elle va au Front National. Elle va au Front national qui est à peu près le seul parti qui parle à ces gens-là, en disant : "bon, ben nous on vous a pas oubliés". Est-ce qu’aujourd’hui le silence du Parti Communiste sur la question de l’islam est défendable ? Il y a quelque chose de magnifique à ce que des gens qui n'en ont rien à foutre du féminisme, rien à foutre des droits des femmes en viennent à s'en emparer pour mieux taper sur l'islam. Il faut comprendre que ces gens-là, ont tout de même bien conscience qu'il y a un problème avec les femmes. Se servir du féminisme pour taper sur l'islam a un énorme avantage ; diviser les luttes. A chaque fois que le féminisme est instrumentalisé à des fins islamophobes et racistes, des féministes prennent la parole pour s'y opposer.

Géraldine, voilée, convertie : « J’ai choisi l’islam, pas les musulmans » Géraldine ne savait pas ce qu’étaient le rejet et le racisme avant de mettre le voile. Avec sa peau blanche et ses yeux bleus, elle dit qu’elle est l’archétype de « la française de souche ». Des élèves en cours d’arabe, à l’Institut européen des sciences humaines (IESH), le 16 octobre 2012 (JEFF PACHOUD/AFP) Trappes A Trappes (Yvelines), une adolescente voilée de 16 ans dit avoir été agressée. Elle a porté plainte mardi. Selon ses déclarations, elle a été abordée par deux hommes qui l’auraient menacée avec un « objet tranchant », et lui aurait ensuite arraché son voile, tout en proférant à son encontre des insultes à caractère islamophobe.

Mi-juillet, à Trappes, la verbalisation mouvementée d’une femme voilée, convertie comme Géraldine, avait donné lieu à des violences. Géraldine, la trentaine passée, s’est convertie à l’Islam il y a un peu plus de dix ans : « Pour certains, je suis devenue une traîtresse. Apprendre seule, pour ne pas être influencée Manipulables, paumés, dangereux. Your Fave Is Problematic — Globalisation: On Cultural Appropriation and Why it Isn't Always Bad. Your Fave Is Problematic.

Blackface

Nappex? Article initialement posté sur BlingcoolNCie… Nappex, terme qui a été mis sur le devant de la scène par cet article…Je le redéfinirais ici en prenant quelques libertés…Nappex : Femme Afro revendiquant/regardant le port du cheveu afro comme symbole de non aliénation. Serais-je une nappex? Peut-être ce texte apportera la réponse… Ce qui est assez remarquable lorsqu’on parle cheveu afro, c’est qu’on peut soulever des questions de sexisme et de racisme. Commençons par le sexisme. Dernièrement, je lisais des articles assez pertinents sur la place des poils (voir ici) dans le rituel de la beauté féminine, et ce qui m’a frappé, c’est que pour la femme afro descendante, cette place est plutôt tenue par ses cheveux…Oui, je sais, je suis aussi claire que le marc de café, attendez que j’explique, nooor! En Occident, il est très difficile pour une femme de garder des poils autres que ses cheveux.

Finalement, notre rapport au cheveu crépu est doublement compliqué, face au sexisme et au racisme.