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Téléphonie

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20 preuves que le téléphone portable est le pire ennemi de l’humanité. Si les incidences des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur la vie sociale sont partout remarquables, la plus frappante et sans aucun doute l'omniprésence des téléphones portables dans notre vie de tous les jours ! L'addiction au téléphone mobile n'est pas encore un syndrome très bien défini ni reconnu, pourtant les experts s'accordent à dire que l'utilisation du téléphone portable à outrance devient un véritable problème, surtout chez les plus jeunes. Et vous, qu'est-ce-que vous en pensez ? 1. ça commence jeune ! 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.

" Je suis à la boum de jennifer, et c'est naze ! 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. " 16. 17. 18. .. 19. 20. Les télés et Charlie Hebdo : devoir d’informer ? Mon cul ! Si je ne décolère pas depuis ce 7 janvier, c’est parce que le traitement des tragiques événements dans les médias me rappelle de mauvais souvenirs. C’était il y a pratiquement 20 ans, je présentais le 20 h sur France 2, lors de l’attentat du RER Saint-Michel le 25 juillet 1995 (8 morts, 117 blessés). Même si les situations ne sont guère comparables (pas de vidéos ou de photos via les portables, pas de réseaux sociaux chauffés à blanc et surtout, pas de concurrence sauvage entre chaines d’information permanente), j’en demeure encore meurtri car nous avons alors commis les mêmes dérapages.

Par exemple, en interrogeant des « témoins » qui n’avaient rien vu, en faisant inlassablement la tournée de reporters qui, bien que « sur place », n’avaient strictement aucune info fiable à apporter. Un véritable sketch à la Coluche. À pleurer ! Quand on n’a rien à dire, on ferme sa gueule… Remplissage ad nauseam Alors, pourquoi ce remplissage ad nauseam ? « Bruno, TF1 continue son édition spéciale. Votre smartphone vous piste en permanence.

15 Déc. 2014, 17h25 | MAJ : 16 Déc. 2014, 00h05 Imaginez un espion qui vous suit pas à pas, et indique minute par minute où vous vous trouvez… Une vision totalitaire un peu glaçante digne d'un roman d'anticipation ? Non, vous l'emmenez déjà partout avec vous, il est dans votre poche ou votre sac à main, il s'est rendu indispensable et son absence vous semble invivable. Ce mouchard, c'est votre smartphone. Le constat n'est pas signé par un militant conspirationniste mais par la très mesurée Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil). Entre un quart et un tiers des applications présentes sur les smartphones fonctionnant sous les systèmes d'exploitation iOS (Apple) et Android (Google) ont eu accès à la localisation de l'appareil, révèle l'étude.

Si elle «n'a rien de surprenant» compte tenu des besoins des applications, cette conclusion interpelle par «l'intensité et la fréquence d'accès à cette information» relevées dans certains cas. > Restez informés ! Le Blackphone, smartphone ultra sécurisé pour échapper à la surveillance, sera lancé en février. TECHNO - Le monde des nouvelles technologies s’agite cette semaine autour de l’annonce de la mise en vente prochaine d'un smartphone "anti-NSA". Mercredi, Silent Circle, un service de communications cryptées basé à Washington, et la start-up espagnole de smartphones Geeksphone ont annoncé qu’ils s’étaient associés pour créer le Blackphone. Selon un communiqué de presse, le combiné promet d’être le tout premier smartphone à placer "la confidentialité et le contrôle directement entre les mains de son utilisateur. " L'utilisateur a le contrôle Le Blackphone, qui fonctionne grâce une version Android appelée PrivatOS privilégiant la sécurité, est un smartphone indépendant, sans opérateur, donnant aux individus et aux organisations la capacité de passer et de recevoir des appels sécurisés, d’échanger des SMS protégés, de transférer et de conserver des fichiers et de faire des chats vidéo sans compromettre la vie privée de l’utilisateur sur l’appareil.

Un fonctionnement encore flou. Talking Angela, l'application accusée de pédophilie. Jéromine Santo Gammaire Mis à jour le , publié le Partager La police française a démenti, mardi 25 février, une rumeur qui circule depuis plusieurs jours sur internet : l’application Talking Angela, créée par la société britannique de divertissement OutFit7, n'est pas manœuvrée par un réseau de pédophiles.

"Aucune de nos équipes n'a reçu de plaintes à ce sujet", indique le site du ministère de l'Intérieur, qui explique avoir "contacté l'éditeur". L’application, lancée en France en janvier, vient d'entrer dans le top 10 des applis les plus téléchargées. La rumeur a démarré aux Etats-Unis avant de s'étendre aux utilisateurs français des réseaux sociaux. Autre élément de suspicion souligné par le blog Big Browser, l’application possède deux modes, un adulte et un enfant, entre lesquels on passe très simplement sans aucun contrôle demandé aux parents.

Sur Facebook, la page intitulée "Talking Angela créée par un pédophile ? " J'ai bien osbervé et c'est pas un fake les gens.