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Coworking

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Les tiers-lieux en réseau, nouveau levier d'attractivité. Pourquoi des réseaux de tiers-lieux ? Les espaces de coworking et autres fablabs fleurissent sur l’ensemble du territoire. On en compte plus de 900 aujourd’hui (source Neo-nomade, allez voir aussi le livre blanc co-produit Neo-nomade & Zevillage). Chaque territoire, souvent à l’initiative d’une collectivité, lance un lieu afin d’offrir la possibilité aux freelances et autres créateurs d’entreprises d’être hébergés dans un mode collectif qui répond bien aux aspirations des nouveaux entrepreneurs. Au-delà de l’offre d’hébergement, finalement la plus simple à lancer, c’est bien une communauté d’entrepreneurs qu’il faut créer. Projet beaucoup plus complexe, d’autant que cette communauté devra “habiter” le lieu c’est à dire, en être l’animatrice ou, à minima, la principale co-animatrice avec le porteur institutionnel.

Dans son dernier livre blanc, le Numa caractérise cette communauté d’insoumise. On le verra dans un prochain article, ce terme est la clé. Pourtant le jeu en vaut la chandelle : LSE Business Review – Co-workers and makers: New public policies and corporate strategies for the city. Collaborative movements and communities—co-workers, makers, hackers, and fabbers— stir tremendous controversy because they expose all the paradoxes and contradictions of the ongoing transformations of work practices and capitalism. Work is being redefined by the growing number of entrepreneurs and freelancers while organisations are being transformed by a new work ethos. The ‘do-ocracy’ is establishing itself as the favoured organisational structure of the future, where individuals choose roles and tasks and execute them.

Responsibilities and legitimacy go to people who do the work, rather than to selected executives. These are all the issues dealt with by the White Paper recently published by the Research Group on Collaborative Spaces (RGCS), an academic network focused on coworkers, makers, and hackers, and how they contribute to emerging work practices. How do collaborative spaces affect public policies and strategies? Who needs space in the digital age? Notes: Le Manuel du coworking : les recettes pour réusssir votre espace et sa communauté. Ramon Suarez a eu la riche idée de publier un Manuel du coworking pour aider les créateurs d’espaces de travail partagé dans leur projet. Profitez de son expérience et, grâce à son livre, réussissez le lancement de votre espace de coworking et créez vous aussi votre communauté active de coworkers. Ramon est le créateur de BetaCowork à Bruxelles, un espace qui compte plus de 200 membres, il est également très impliqué dans le réseau des créateurs de startups en Belgique.

Il raconte qu’il a eu l’idée de son livre lors d’un voyage en avion. Il a immédiatement noté dans son carnet le plan de ce manuel tel qu’il lui venait, spontanément. C’est dire s’il maîtrise son projet. Dans le Manuel du coworking, tous les aspects importants du coworking sont expliqués: le marketing et la promotion de l’espace, la création et l’entretien de la communauté des coworkers, les aspects financiers et la gestion, l’aménagement de l’espace, les aspects juridiques et les relations presse. Sur le même thème. Homepage - La Colloc. Les nouvelles formes de travail qui émergent : le coworking. Les espaces de coworking, espaces de travail partagés où chacun vient travailler à la carte, fleurissent en France : 900 dans les cinq dernières années. Rencontre avec ces "néo nomades" ces "sans entreprise fixe" qui ont choisi de réinventer leur rapport au travail dans un espace partagé. Direction "les studios singuliers" espace de coworking associatif rue René Clair dans le 18e arrondissement de Paris.

Ambiance studieuse, mais détendue. Une vingtaine de coworkers travaillent ici à l'année. Ils sont graphistes, éditeurs, start-uper, photographes ou même DRH. Plusieurs centaines d’entre eux ne passent que quelques heures par semaine dans ces espaces de coworking, comme Hervé, 40 ans consultant en communication qui se réjouit de s'être émancipé de la routine des grandes entreprises. Hervé Il y a des journées ultra nomades, j’ai un espace de coworking principal, celui-ci le studio singulier, mais ça m’arrive de faire plusieurs espaces dans la même journée. Le co-working se met au co-mécénat - Bah Alors? Et si des petits entrepreneurs se mettaient à plusieurs pour faire du mécénat artistique ?

C’est cette idée lumineuse qui a mené le co-workers de Point Sud à financer le stand du photographe François Millo. Ils se sont rencontrés au boulot, avec chacun leur boîte. Ils ont négocié l’affaire autour d’un petit déjeuner. Ils ont choisi leur artiste à plusieurs, et le résultat, c’est qu’ils ont le stand le plus fun de toute l’exposition. C’est Louis Casa, le patron de Point Sud Co-working, qui nous raconte cette sympathique aventure entre 8 entrepreneurs et un photographe, François Millo. Louis, comment as-tu réussi à associer des co-workers dans un projet de mécénat ? Je suis très content ! Comment es-tu venu au mécénat ? Base’Art j’en entends parler depuis longtemps. On dit dit souvent que c’est surtout fait pour obtenir des avantages fiscaux.

Ps du tout ! L’art contemporain, c’est plutôt ton truc ? Parle-nous de cet artiste, qui vous avez sélectionné. L'impressionnante montée des tiers-lieux, ces nouveaux espaces de travail. On les appelle les "tiers-lieux". Ce sont des espaces de travail qui ne sont ni dans l'entreprise ni au domicile du salarié. Leur nombre a tout simplement été multiplié par trois en six ans ! On en compte désormais 900 et ils sont partout en France, selon le site Néo-Nomade, qui vient d'en faire le comptage exhaustif. A Paris, en région parisienne, mais aussi dans toutes les régions.

Un recensement qui dessine une tendance lourde : pour des salariés de plus en plus nombreux, c'est le début de la fin du travail qui se joue avec une unité de lieu, de temps et d'action. Les tiers-lieux peuvent prendre trois formes différentes. Deuxième espèce de tiers-lieux, les centres d'affaires. Troisième type de tiers-lieux, les télécentres. Les entreprises prennent vraiment le virage du travail à distance ? Régler en bitcoin son espace de cowork au WebUp Space. Depuis le 1er juillet, le Webup | Space, coworking basé dans le 7ème arrondissement de Lyon, accepte les Bitcoins pour le règlement de ses coworkeurs. « C'est une possibilité, pas une obligation », précise Philippe Dorier, le co-créateur de cet espace de co-working.

Il explique : « Nous avons récemment reçu deux co-workers étrangers un japonais et un brésilien et cela s'était avéré très compliqué, pour qu'ils règlent leur location car il leur fallait effectuer pour ce faire, un virement, à la fois long et onéreux. Avec le bitcoin, cela a été réglé en dix minutes ! » Petit rappel, le Bitcoin a été la première et est restée la principale cryto monnaie utilisée sur la planète : elle facilite les transactions internationales, réduit considérablement les frais de traitement bancaire et permet une transparence et une sécurité des transactions optimales.

Ainsi, par exemple, un poste nomade au sein de cet espace de co-working coûte 0,213 B. Publiée le 11 juil. 2016 par LARGERON Dominique. Theconversation. Le travail collaboratif tel que celui pratiqué par de nombreux coworkers, se caractérise par des modes de collaboration non hiérarchiques et ouverts. Cette évolution du travail conduit à comprendre l’organisation comme un processus continu de construction des conditions des activités en cours.

Découpler l’organisation et l’entreprise Une idée communément admise consiste à définir l’entreprise, l’administration ou l’association (etc.) comme une organisation. C’est ainsi que l’on dit que l’on naît, que l’on grandit et que l’on travaille dans des organisations. La maternité, l’école, l’entreprise en seraient les principaux exemples. Cette définition très commode a permis à des générations de managers de circonscrire l’organisation de leurs activités aux murs de l’entreprise. Le cas des coworkers est un exemple intéressant de ce découplage. Or, selon l’étude conduite par La Fonderie – île de France, 71 % des coworkers passent 1 jour par semaine ou moins dans un espace de coworking.