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Quand un trait de crayon en dit long sur votre cerveau. Un texte de Vincent Maisonneuve À Polytechnique Montréal, les travaux du professeur Réjean Plamondon ont permis de réaliser à quel point un simple trait de crayon en dit long sur notre cerveau. « En début de carrière, on m'a donné carte blanche pour démarrer un projet de recherche. J'ai eu l'idée de faire de la vérification automatique de signatures pour la sécurité informatique. » Pour le professeur Plamondon, l'objectif était d'apprendre à « reconnaître comment on signe et non pas la signature en image ».

À l'époque, il était loin de se douter que son travail en sécurité informatique allait le mener vers les applications biomédicales. Une signature est une succession de traits, un enchaînement de commandes qui proviennent du cerveau. Et c'est la vitesse à laquelle le cerveau envoie ces commandes qui va intéresser l'équipe du professeur Plamondon. « Le cerveau contrôle la vitesse, dit Réjean Plamondon.

Un outil pour les jeunes atteints de TDAH Une innovation remarquée dans le monde. Un ordre professionnel pour les orthopédagogues: ça presse pour le bénéfice des enfants nous dit la présidente de l'Association des orthopédagogues du Québec, Isabelle Gadbois • 107,7 FM Estrie. TÉMOIGNAGE : La dyslexie, un fardeau, une force | Institut des troubles d'apprentissage. Pamela Sarti Avocate, Montréal Je fais mon . Je suis dyslexique.Toute ma vie, j’ai avancé avec ce fardeau. À l’école, la montagne à franchir était impressionnante. Je me souviens de ces vieilles blessures dont je porte encore les marques.

Lire comme un robot, écrire dans les pleurs et surtout ne pas être comme tout le monde.Pourquoi je vous dévoile ceci ? Pour deux raisons. Lire l’article en ligne Source : Journal La Presse – Avril 2016. Intégration des élèves en difficulté: des enseignants déchirés et démunis | Sara Champagne. S'appuyant sur une étude de chercheurs de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), la Fédération autonome de l'enseignement (FAE) réclame un nouveau modèle d'intégration des élèves handicapés ou en difficulté d'adaptation ou d'apprentissage dans les écoles primaires et secondaires. Selon les résultats d'une recherche menée auprès de 500 enseignants dans neuf commissions scolaires, et dévoilée aujourd'hui, les « professeurs sont déchirés, constamment sous pression et démunis » face à cette clientèle dans leurs classes. « Si nous avions un seul sujet à aborder pour décrire la détresse chez les enseignants, ce serait celui-là.

Ça ne peut plus durer. Le gouvernement doit prendre acte », estime la vice-présidente vie professionnelle de la FAE, Nathalie Morel, un syndicat représentant 34 000 enseignants au Québec. La FAE, qui a financé cette étude menée sur trois ans, affirme que les conclusions des trois chercheurs sont indépendantes. La dyslexie, un fardeau, une force. Je fais mon . Je suis dyslexique. Toute ma vie, j’ai avancé avec ce fardeau. À l’école, la montagne à franchir était impressionnante. Je me souviens de ces vieilles blessures dont je porte encore les marques.

Lire comme un robot, écrire dans les pleurs et surtout ne pas être comme tout le monde. Pourquoi je vous dévoile ceci ? Pour deux raisons. Mais il y a plus. Cela m’a forcée à développer des côtés de ma personnalité qui auraient fort probablement été dormants ou que je n’aurais jamais même considérés. Pourquoi je vous dis ceci ? Je suis toujours dyslexique. Importante victoire d’un élève souffrant de dyslexie. Un élève souffrant de troubles d’apprentissage vient de remporter une importante victoire devant la Cour suprême du Canada dans une décision qui aura vraisemblablement des répercussions dans toutes les provinces canadiennes. Dans un jugement unanime rendu vendredi, le plus haut tribunal du pays a déterminé que l’enfant avait été victime de discrimination puisque son école ne lui avait pas fourni des services d’aide suffisants. « Des services d’éducation spécialisée adéquats ne sont donc pas un luxe dont la société peut se passer », peut-on lire dans le jugement.

Et les commissions scolaires ne pourront pas forcément invoquer leurs problèmes budgétaires pour éviter de fournir les services nécessaires. Bref, voilà une décision qui pourrait être lourde de conséquences financières pour elles. Les parents de Jeffrey, qui habitaient en Colombie-Britannique, réclamaient de l’aide en milieu scolaire pour leur fils qui souffrait de dyslexie grave et peinait à lire. Décision saluée. Problèmes d'apprentissage : payer cher pour aider à la scolarité de son enfant. D'après un reportage de Michel Rochon C'est le cas des parents du jeune Florent, 8 ans, qui souffre de dyslexie, de dysorthographie et de trouble du traitement auditif. L'aide nécessitée par Florent leur coûte 900 $ par mois. La mère de Florent, Catherine Baril, estime que cette dépense devrait être prise en charge par l'école. Ça me crève le coeur de voir qu'on n'a pas les moyens au public.

Et puis que les parents n'en ont pas, de moyens pour aider ces enfants-là. . « On a besoin d'aide, on a besoin de support, on a besoin d'argent dans nos écoles. Santé et éducation : deux mondes Pour l'aider dans ses difficultés à lire et à écrire, Florent doit utiliser des logiciels qui transforment les mots écrits en mots parlés. Et comme cette thérapie ne traite pas la dyslexie et la dysorthographie, la famille a inscrit Florent à un programme de neurofeedback, où il apprend à maîtriser ses ondes cérébrales.

Les 10 Bienfaits de la Lecture : Pourquoi Vous Devriez Lire Tous les Jours. C'est quand la dernière fois que vous avez pris le temps de lire un livre, ou alors un long article dans votre revue préférée ? Est-ce que vos habitudes de lecture gravitent plutôt autour de Facebook, de Tweeter, ou de la liste d'ingrédients de votre soupe instantanée ? Si vous faites partie des nombreuses personnes qui n'ont pas l'habitude de lire tous les jours, vous passez à côté de beaucoup de bienfaits. Découvrez vite les 10 bienfaits associés à une lecture quotidienne. 1. Plusieurs études indiquent que la stimulation mentale peut ralentir l'évolution (et peut-être même l'arrêter complètement) de la maladie d'Alzheimer et de la démence.

La raison est simple : garder son cerveau actif l'empêche de perdre ses capacités. Comme tous les autres muscles du corps, le cerveau a besoin d'entraînement pour rester vigoureux et en bonne santé. Du coup, les jeux qui stimulent notre intellect, comme les puzzles ou les échecs, sont aussi bénéfiques à la santé de notre cerveau. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Les compétences préscolaires les plus associées à la réussite en lecture et en écriture - Campagne pour la lecture Campagne pour la lecture.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre.

Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2. La Commission des droits de la personne s'inquiète. Restrictions budgétaires ou pas, les élèves handicapés ou ayant des problèmes d’apprentissage ont le droit de recevoir des services adaptés à leurs besoins, sans discrimination, comme l’a confirmé la Cour suprême.

La Commission des droits de la personne et de la jeunesse a servi ce rappel par lettre au nouveau ministre de l’Éducation. C’est en réaction à un article publié dans le 24 février, qui a suscité chez lui « une vive inquiétude », que Jacques Frémont, président de la Commission des droits de la personne, a décidé d’écrire au ministre Sébastien Proulx. Pour la deuxième année consécutive, la Commission scolaire de Laval envisage d’y aller de compressions qui toucheraient au premier chef les élèves handicapés et présentant des difficultés d’apprentissage. Selon son plan de redressement budgétaire présenté au ministère de l’Éducation, la Commission scolaire de Laval espère récupérer 1,4 million de leur côté sur des coupes de 3 millions à faire en 2015-2016.

La lecture: des effets visibles sur le cerveau des enfants. 11 mai 2015 | Le cerveau des enfants à qui les parents font souvent la lecture s’activerait d’une façon bien particulière, avance une petite étude américaine. Les chercheurs ont utilisé l’imagerie par résonance magnétique pour visualiser en temps réel ce qui se passe dans le cerveau de tout-petits lorsqu’on leur raconte une histoire. Ils ont ainsi observé que les zones du cerveau qui déterminent le sens des mots seraient stimulées pendant la lecture.

Ces zones sont essentielles au développement du langage et à l’apprentissage de la lecture. Des régions responsables de la visualisation seraient aussi activées et joueraient un rôle clé dans la compréhension d’une histoire, suggèrent les auteurs de l’étude. Grâce à leur imagination, les enfants pourraient donc « voir » l’histoire dans leur tête, sans avoir besoin d’illustrations, expliquent-ils. L’étude a été menée sur 19 enfants âgés de 3 à 5 ans. Sources : Science Daily et Pediatric Academic Societies. Un nouveau guide pour accueillir la surdité de son enfant | Catherine Handfield | Enfants.

Apprendre à lire en maternelle: une école de Québec a adopté la recette ontarienne. Il n’y a pas qu’en Ontario où les élèves apprennent à lire en maternelle. À l’école Notre-Dame-du-Canada, à Québec, l’équipe s’est inspirée de la province voisine et les enfants apprennent à déchiffrer leurs premiers mots dès l’âge de 5 ans. Dans la classe de Mme Geneviève, la grande majorité des enfants de maternelle glissent dans leur sac d’école un livre à lire à la maison. En cette fin d’année scolaire, tous les élèves sont capables de lire des mots et des phrases simples. «Les élèves les plus faibles ont au moins six mois d’avance sur ce qu’on apprend habituellement aux enfants de première année.

Et on a des élèves plus forts qui ne sont pas loin d’avoir réussi l’équivalent d’une première année en lecture», affirme l’orthopédagogue Sonia Cantin. La lecture dès 5 ans Dans cette école située en milieu défavorisé, l’accent a été mis sur la lecture depuis quelques années, grâce notamment à un projet de recherche mené avec une équipe de chercheurs de l’Université du Québec en Outaouais. Artiste, orthopédagogue et… autiste: la vie «presque normale» de Valérie Desroches. Valérie Desroches a 30 ans. Il y a deux ans, elle a donc appris qu’elle était atteinte du syndrome mentionné plus haut, un diagnostic que même son médecin, qui la suivait pour des troubles anxieux, a réfuté d’emblée.

«Il me disait que c’était impossible, que les autistes ne sont capables de rien faire», raconte-t-elle. Ah oui? Diplômée du cégep Vanier et de l’Université Concordia en chant classique, Valérie a aussi complété un bac en éducation et une maîtrise en orthopédagogie. Plus est, elle a fondé sa propre entreprise, Pédago-Mobile, qui dispense un service d’aide aux devoirs à domicile. Mais encore? Elle écrit des bouquins pour enfants et vient de produire un manuel pédagogique intitulé Autisme et intimidation/Stratégie et histoire de vie. Et son médecin ne fut pas le seul à ne pas reconnaître son état. Le syndrome d’Asperger (du nom du psychiatre autrichien Hans Asperger, qui l’a identifié en 1944), n’a été reconnu qu’au début des années 1980.

Education: la méthode globale "éloigne" l'enfant de la lecture. Des scientifiques français viennent de trancher : la méthode syllabique est, selon eux, la méthode d'apprentissage la plus efficace car elle fait travailler le bon côté du cerveau. Ce qui n'est pas le cas de la méthode globale, source de difficultés supplémentaires pour l'enfant pouvant entraîner de la dyslexie.

Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. OKNe plus afficher × Ces neuropsychologues ont analysé l'activité cérébrale de jeunes enfants (10 au total) en train d'apprendre à lire avec l'une ou l'autre de ces méthodes. Des conclusions qui n'étonnent pas Caroline Deom, présidente de l'ASELF, Association Scientifique et Ethique des Logopèdes Francophones. Même son de cloche du côté de Marie Van Reybroeck.

Faut-il bannir la méthode globale? Proscrire la méthode globale au profit de la méthode syllabique pour l'apprentissage de la lecture pourrait, dès lors, sembler être une évidence. C. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. C. Nouveaux tests pour déceler les élèves à risque. Les pays où les systèmes d’éducation sont les plus efficaces ne laissent pas un jeune prendre du retard, dit Égide Royer, professeur en adaptation scolaire à l’Université Laval. Pour permettre aux enseignants – et aux parents – de déceler facilement quels élèves ont besoin d’aide, le spécialiste propose deux nouveaux algorithmes. a joint ce père de quatre enfants – et grand-père de 11, bientôt 12 petits-enfants – à Québec. Vous dites proposer un « test d’Apgar éducatif » (voir encadré). Vous faites référence à l’évaluation des nouveau-nés ? Oui. J’ai voulu aller dans ce sens-là : « Qu’est-ce qui nous permet de dire rapidement qu’un jeune a besoin d’aide, que ce soit en maternelle, au primaire ou au secondaire ?

En quoi votre algorithme se distingue-t-il ? On a ajouté un élément à ceux déjà connus : l’habileté à utiliser les nouvelles technologies de l’information. À quel âge devrait-on faire passer le test aux jeunes ? Un enseignant au primaire peut le faire chaque année. Incapable = 0 1. Nouveaux tests pour déceler les élèves à risque. Le parcours unique d’un enfant surdoué - Vie scolaire - Apprentissages. Comment avez-vous découvert que votre fils, Elliott, était un enfant surdoué? Comme Elliott a un grand frère chez qui une surdouance a été constatée en bas âge, nous avons un peu tardé à réaliser ce qui se passait.

Je dirais que nous avons commencé à déceler certains signes chez Elliott vers l’âge de 2 ans et demi. À cet âge, il était fasciné par les formes géométriques, d’ailleurs ses premiers mots ont été « circle », « triangle » et « square ». Il arrivait à se concentrer pendant de longues périodes et pouvait passer des heures à faire des casse-têtes très avancés pour son âge. Il a commencé à lire vers l’âge de 3 ans (ce qui, pour nous, était assez tard puisque son grand frère lisait à 2 ans!) Et il s’est rapidement intéressé à des sujets variés et parfois peu communs chez des enfants en bas âge : les mathématiques, le tableau périodique et ses éléments, la paléontologie et la musique classique. Il avait une soif d’apprendre insatiable et il posait beaucoup de questions.

L'analphabétisme au Québec - Un fléau pour toute la société.