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Dyonisien

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Gaspard Antoine Monneau

Walter Rodney. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Walter Rodney

Walter Rodney Biographie[modifier | modifier le code] Rodney est surtout connu pour son œuvre How Europe Underdeveloped Africa (Comment l'Europe sous-développa l'Afrique : Analyse historique et politique du sous-développement), un livre sur l'histoire de l'Afrique écrit en 1972. Il a beaucoup voyagé et est devenu célèbre comme militant pan africaniste. Il a étudié à la School of Oriental and African Studies (SOAS) de l'Université de Londres. Rodney en Jamaïque[1][modifier | modifier le code] En 1968 il enseigne l'histoire africaine à l'Université des West Indies (UWI) dans le quartier de Mona à Kingston en Jamaïque.

Retour en Guyana[modifier | modifier le code] Au milieu des années 1970, Walter Rodney, rentre dans sa Guyana natale où il fonde la ''Working People Alliance'' avec laquelle il s'oppose farouchement au pouvoir dictatorial en place. ANKH: Egyptologie et Civilisations Africaines. Olaudah Equiano. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Olaudah Equiano

Olaudah Equiano, né vers 1745 à Isseke au Biafra dans l'actuel Nigeria et décédé dans le Cambridgeshire le 31 mars 1797, plus connu en son temps sous le nom de Gustavus Vassa[1], fut un esclave, affranchi, marin et écrivain britannique calviniste[1] d'origine africaine, qui vécut principalement dans les colonies britanniques d'Amérique et au Royaume-Uni. Biographie[modifier | modifier le code] Page de garde de The Interesting Narrative of the Life of Olaudah Equiano, or Gustavus Vassa the African, written by himself (1789). Il devint une figure influente de l'abolition de l'esclavage et accompagna l'installation des premiers anciens esclaves noirs jusqu'à Freetown au Sierra Leone[3]. La lutte n'était pas toujours couronnée de succès. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Ann Cameron, Le prince esclave, Évreux, Rageot, coll. « Cascade »,‎ mai 2002, 170 p.

Frederick Douglass. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Frederick Douglass

Frederick Douglass Frederick Douglass vers 1879. Surnommé « Le sage d'Anacostia » ou « Le lion d'Anacostia », il fut candidat (malgré lui) à la vice-présidence des États-Unis aux côtés de Victoria Woodhull, la première femme à se présenter pour le poste de président des États-Unis, pour le Parti de l'égalité des droits (Equal Rights Party). Il affirma tout au long de sa vie sa ferme croyance en l'égalité de tous, noirs, femmes, indigènes ou immigrés récents. Son adage favori affirmait : « Je m'unirais avec n'importe qui pour faire le bien et avec personne pour faire le mal ». W. E. B. Du Bois. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. William Edward Burghardt Du Bois W.E.B. Du Bois en 1918 William Edward Burghardt Du Bois ; « W.

E. Du Bois se fit connaître au niveau national en devenant le chef du Niagara Movement, un groupe d'activistes afro-américains demandant l'égalité des droits pour les noirs. Le racisme était la principale cible de Du Bois et il protesta fermement contre le lynchage, les lois Jim Crow et la discrimination dans l'éducation et au travail. Jeunesse[modifier | modifier le code] Durant sa jeunesse, Du Bois se rendait à la Congregational Church de Great Barrington et ses membres se cotisèrent pour payer ses frais de scolarité universitaires[1]. L'arrière-grand-père paternel de Williams Du Bois était James Du Bois, un franco-américain de Poughkeepsie dans l'État de New York, qui eut plusieurs enfants avec des esclaves[5].

La communauté essentiellement blanche de Great Barrington était assez tolérante et Du Bois fut peu victime de discriminations. Booker T. Washington. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Booker T. Washington

Booker T. Washington Biographie[modifier | modifier le code] Le 18 septembre 1895, Washington prononça le discours qui marquerait le tournant de sa carrière lors de l'inauguration de l'Exposition Internationale des États producteurs de coton à Atlanta, plus connu sous le nom de Compromis d'Atlanta. Devant une assemblée composée de personnes blanches et noires, il expose ses convictions quant à l'émancipation de son peuple, trente ans après la fin de l'esclavage. « Nous pouvons, sous toutes les facettes de notre existence sociale, être séparés comme les doigts, mais nous unir en une main pour toute chose essentielle à notre progrès mutuel[1]. » Ces paroles marqueront durablement les esprits.

Jusqu'à sa mort en 1915, Washington a fait figure de représentant majeur de la communauté afro-américaine des États-Unis.