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Gitmo

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The Guantanamo Files. In its latest release of classified US documents, WikiLeaks is shining the light of truth on a notorious icon of the Bush administration’s "War on Terror" — the prison at Guantánamo Bay, Cuba, which opened on January 11, 2002, and remains open under President Obama, despite his promise to close the much-criticized facility within a year of taking office. In thousands of pages of documents dating from 2002 to 2008 and never seen before by members of the public or the media, the cases of the majority of the prisoners held at Guantánamo — 765 out of 779 in total — are described in detail in memoranda from JTF-GTMO, the Joint Task Force at Guantánamo Bay, to US Southern Command in Miami, Florida.

These memoranda, known as Detainee Assessment Briefs (DABs), contain JTF-GTMO’s recommendations about whether the prisoners in question should continue to be held, or should be released (transferred to their home governments, or to other governments). (Andy Worthington) 1. Personal information 2. 3. Guantanamo hunger strike enters 100th day - Americas. Activists demanding the closure of the Guantanamo Bay prison have marked the 100th day of a hunger strike there by submitting a petition to the White House containing some 370,000 signatures. A group of activists wearing orange jumpsuits and black hoods like those used on detainees at Guantanamo Bay gathered outside the White House on Friday to call for the immediate closure of the controversial jail. "Immoral, illegal, ineffective," a banner read. Richard Killmer, executive director of the National Religious Campaign Against Torture, said that "years of detention without charge or trial have created a sense of desperation and hopelessness among the men at Guantanamo, which has led over 100 of them to join a hunger strike".

Colonel Morris Davis, a former military prosecutor at Guantanamo, handed over the petition to the White House. Activists also brandished an effigy of President Barack Obama, referencing his past vow to close the US military prison. Hunger Striker Launches Twitter Campaign to Close Gitmo | Danger Room. Updated, 6:20 p.m. Petitions have failed. Lawsuits have failed. Even campaign pledges from future presidents have failed. So now one Guantanamo Bay detainee is hoping that Twitter can help him shut down the infamous detention facility. Shaker Aamer, a Saudi citizen and former British resident, is one of 103 Guantanamo detainees currently on a hunger strike in protest of his seemingly endless incarceration without trial. Eleven years into his confinement, Aamer’s interactions with the outside world are limited. Clive Stafford Smith, who runs the UK human-rights legal firm Reprieve, tweeted this morning that “Shaker Aamer would like everyone” to call the U.S. embassy in London “to demand action on Guantanamo Bay.”

Lawyers routinely take their cases into the court of public opinion to stir sympathy, and social media provides a new route for doing so. Of the 166 detainees still at Guantanamo, 103 are on a hunger strike, according to Army Lt. Go Back to Top. Les Mémoires de Guantánamo de Mohamedou Ould Slahi: ce que l'administration américaine préfèrerait que vous ne lisiez pas. Depuis le 4 août 2002, il est prisonnier à Guantánamo. De 2005 à 2006, il a écrit les Mémoires de sa captivité, déclassifiés par l’administration américaine en 2012.

En voici des extraits. Une version papier des Mémoires de Mohamedou Ould Slahi va être publiée dans plus de 20 pays, dont en Grande-Bretagne le 20 février, rapporte le Guardian. Nous vous proposons à cette occasion de relire des extraits de ce document rare, alors que le Mauritanien est toujours prisonnier. Nous sommes devant un document rare. Slate.com a eu accès à ce manuscrit et en a tiré des extraits dont nous vous livrons à notre tour la traduction. Les 466 pages, écrites à la main, sont un témoignage poignant de sa détention, des interrogatoires et des abus qu’il a subis. Qui est Mohamedou Ould Slahi? Mohamedou Ould Slahi a eu notamment à subir un «interrogatoire spécial» durant des jours, avec privation extrême de sommeil et des humiliations sexuelles et physiques répétées. Slate.fr Partagez cet article. Memoires-Guantanamo-Mohamedou-Ould-Slahi-manuscrit.

Les Mémoires de Guantánamo de Mohamedou Ould Slahi: la disparition. PARTIE 2 – Mohamedou Ould Slahi raconte sa détention à Gitmo. Comme il ne dit pas à ses interrogateurs ce qu'ils veulent entendre, il est envoyé en «croisière spéciale tortures». En juillet 2003, tandis que se poursuivait «l’interrogatoire spécial» de Mohamedou Ould Slahi, le major Geoffrey Miller, commandant de Guantánamo, imagina une nouvelle cruauté. Après des jours d’interrogatoire intensif, Slahi devait être violemment extrait de sa cellule par une équipe de policiers militaires en tenue antiémeute, escorté devant des chiens menaçants et chargé dans un hélicoptère, dans lequel il survolerait l’océan et où on le menacerait de mort ou d’extradition dans un pays du Moyen-Orient –menace rendue d’autant plus réaliste par la présence d’interrogateurs égyptiens et jordaniens à bord de l’hélicoptère.

Je venais à peine de terminer mon repas quand soudain [ ? ? Tout d’un coup, un commando de trois soldats accompagnés d’un berger allemand est entré dans notre salle d’interrogatoire. ? ? Ou ? Les Mémoires de Guantánamo de Mohamedou Ould Slahi: la vie à Gitmo. PARTIE 3 – Depuis que la torture a cessé, Mohamedou Ould Slahi a appris à jouer aux échecs et à s'occuper de son jardin. Aujourd'hui, ses interrogateurs sont ce qui se rapproche le plus d'une... famille. Les violents interrogatoires de Mohamedou Ould Slahi se sont prolongés tout l’automne 2003, en isolement total dans le Camp Echo de Guantánamo. Quand des représentants du Comité international de la Croix-Rouge ont visité la base en octobre, le général Geoffrey Miller, commandant de Guantánamo, leur a dit que Slahi était «hors limites» «pour nécessités militaires» tout en insistant sur le fait que Camp Echo ne servait pas à mener des interrogatoires violents –comme le soupçonnait la délégation du CICR– mais était une installation où les détenus pouvaient avoir des conversations privées avec leurs avocats.

Mohamedou Ould Slahi écrit qu’il est resté dans «l’endroit secret» jusqu’en août 2004. J’ai été interrogé ? «Ne manifestez aucune pitié. Et c’est exactement ce qu’ont fait les gardes. ? Les Mémoires de Guantánamo de Mohamedou Ould Slahi: des interrogatoires sans fin. PARTIE 1 – Mohamedou Ould Slahi raconte sa détention à «Gitmo». Il a eu notamment à subir un «interrogatoire spécial» durant des jours, avec privation extrême de sommeil et des humiliations sexuelles et physiques répétées. Le 20 novembre 2001, Mohamedou Ould Slahi s’est rendu de son plein gré à la police pour être interrogé dans sa Mauritanie natale; une semaine plus tard, sur ordre du gouvernement américain, il était extradé en avion en Jordanie.

Slahi, qui a vécu en Jordanie et au Canada, a été interrogé et affranchi par les services de renseignements jordaniens de tout lien avec le complot du millenium, ce projet d’attentat avorté fomenté par le Canadien Ahmed Ressam, visant à faire exploser une bombe à l’aéroport international de Los Angeles le 31 décembre 1999. Insatisfaite, le 19 juillet 2002 la CIA a récupéré Slahi en Jordanie et l’a transféré par avion à la base aérienne de Bagram, en Afghanistan. Les détails, ici. J’ai vécu les jours qui ont suivi dans l’horreur. Quand [ ? [ ? Les Mémoires de Guantánamo de Mohamedou Ould Slahi: ce qui se passe vraiment dans le camp de prisonniers américain. Larry Siems a eu accès au manuscrit de Mohamedou Ould Slahi, détenu à Guantánamo depuis le 4 août 2002. Un document exceptionnel. Mohamedou Ould Slahi a commencé à raconter son histoire en 2005. Pendant plusieurs mois, prisonnier à Guantánamo, il a écrit ses mémoires à la main, racontant ce qu’il qualifie «d’interminable tour du monde» de la détention et des interrogatoires.

Il a écrit en anglais, langue qu’il a appris à maîtriser en prison. En écrivant son histoire, il a essayé, écrit-il, «d’être aussi juste que possible envers le gouvernement américain, envers mes frères et envers moi-même». Quand ses avocats bénévoles ont eu l’année dernière l’autorisation de me donner un disque marqué «Version non classée», cela faisait plus de dix ans que Slahi était détenu à Guantánamo. Nous sommes au beau milieu de l’action. A 18 ans, il avait décroché une bourse pour aller faire des études d’ingénieur en Allemagne. Deux semaines plus tard, il était à Guantánamo.

Larry Siems. "Maintenant, je suis un être humain" EXCLUSIF: Lakhdar Boumediene, ancien détenu de Guantanamo. A letter from Guantanamo: 'Nobody can truly understand how we suffer' - Opinion. March 10, 2014 - I write this letter, as I wrote my last, between bouts of violent vomiting and sharp pains in my stomach caused by this morning's force-feeding session. Reading news articles, you would think that we have stopped striking. Perhaps you might think that our protests had even been sated by government concessions. We may be trapped behind the walls of Guantanamo, but we will not be silenced.

I write this letter to tell you that we are still striking. We will not stop until we get our dignity back in this place and are allowed to return home to our families. With President Barack Obama's blessing, Colonel Bogdan, the warden at Guantanamo, has instituted humiliating groin searches, especially when we are taken for phone calls with our lawyers or families. The Colonel has been quoted as saying that he knows how to discipline us because he has children at home. I, too, am strapped down and force-fed for over an hour every single day. We will not be silent.