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Surcharge pondérale

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Aujourd’hui en France, un personne sur deux est considérée en surpoids et près d’une personne sur six comme souffrant d’obésité.

Le nombre de cas d’obésité a triplé depuis 1975 et les derniers chiffres disponibles concernant les adolescents sont préoccupants : dès la classe de troisième, près d’un adolescent sur cinq est déjà en surpoids. Surpoids et dépense énergétique : +12% en position debout. Notre actualité est faite de recommandations.

Surpoids et dépense énergétique : +12% en position debout

Celles relatives à la santé physique font écho au nombre de pas à effectuer par jour, aux 150 minutes d’activité physique hebdomadaire à intensité modérée/soutenue, ou encore aux positions de travail en position debout plutôt qu’assise. L’enjeu derrière ces comportements est bien connu : lutter contre les problématiques de surpoids et de sédentarité. Dans ce contexte, le premier moyen de lutte que nous avons à notre disposition est l’organisation de notre mode de vie.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, en effet, la majeure partie de notre dépense énergétique quotidienne est dépendante de nos postures et mouvements tandis que les dépenses liées à l’exercice physique et au métabolisme de repos demeurent inférieures. Pour autant, on ne connaît pas précisément les différences de dépense d’énergie entre nos différentes postures.

Les consignes du protocole dans lequel tous s’engageaient étaient simples : - assis -> debout : +0,65 kJ.min-1. Obésité: l’influence des gènes n’explique pas tout. L'obésité multiplie par 2 à 5 les risques de cancer. L'obésité multiplie par 2 à 5 le risque de cancer digestif, du sein et de l'utérus, qui connaissent en particulier une recrudescence chez les jeunes obèses.

L'obésité multiplie par 2 à 5 les risques de cancer

Face à ce constat alarmant, l'Association Française de Chirurgie (AFC) s'associé au Collectif National des associations d'Obèses (CNAO) à l'occasion de la journée européenne de l'obésité du 17 mai 2019. Leur objectif : proposer un plan de prévention du cancer pour les patients en situation d'obésité. Une inflammation chronique et une insulino-résistance qui lient obésité et cancer "L'obésité crée un mécanisme d'inflammation chronique et d'insulino-résistance qui sont des facteurs cancérigènes", explique le Pr Patrick Pessaux, professeur de chirurgie digestive à l'IHU de Strasbourg et Président de l'AFC.

Surcharge pondérale. Obésité. Trois silhouettes décrivant l'écart entre la silhouette normale (à gauche), le surpoids (au milieu) et l'obésité (à droite). Mise en garde médicale L’obésité résulte du fait d'ingérer plus de substances caloriques que l'organisme n'en dépense sur le long terme, ce qui conduit à une augmentation de la masse adipeuse et à un « excès de poids pour une stature donnée ».

Elle est évaluée au moyen de l'indice de masse corporelle (IMC), à partir duquel l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a défini des seuils de surcharge pondérale, correspondant à un IMC compris entre 25 et 30 kg/m2, d'obésité, correspondant à un IMC entre 30 et 40, et d’obésité massive lorsque l'IMC dépasse 40[1],[2]. Evolution de l’obésité depuis 1980. L’obésité dans le monde. Maigrir : l'appétit est plus grand quelques heures après des aliments riches en glucides.

Les aliments sucrés, le pain blanc et d'autres aliments riches en glucides transformés qui provoquent des pics et les chutes abruptes de glucose dans le sang (c'est-à-dire dont l'indice glycémique est élevé) stimulent des parties du cerveau impliquées dans la faim, le goût de manger et l'effet de récompense, montre une étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition.

Maigrir : l'appétit est plus grand quelques heures après des aliments riches en glucides

Pour les personnes qui sont particulièrement sensibles à ces effets, éviter les glucides raffinés pourrait réduire le goût de manger et potentiellement aider à contrôler le poids, dit David Ludwig du Boston Children’s Hospital. Limiter les glucides raffinés peut être une première étape efficace, estime-t-il. Après une perte de poids, pour beaucoup de gens, malgré tous leurs efforts, le poids revient dans les six mois à un an. Avec ses collègues, il a mené la présente étude avec 12 hommes obèses qui ont pris un lait fouetté ("milkshake") à deux occasions différentes.

Psychomédia avec source: New York Times. Gras, sucre, prise de poids, ce qui fait le plus grossir. Tour à tour, nous accusons le gras et le sucre d’être responsables de la progression de la prise de poids et de l’obésité.

Gras, sucre, prise de poids, ce qui fait le plus grossir

Il faut dire que notre consommation de matières grasses a fortement augmenté au cours des dernières décennies, tout comme celle du sucre… Que faut-il savoir à propos du sucre et des acides gras ? Quel est le pire des deux en matière de prise de poids ? Le gras est plus calorique que le sucre La première chose à savoir est que les lipides (matières grasses ou acides gras) apportent plus de calories que les glucides. Ainsi, pour chaque gramme de sucre consommé, on apporte à notre organisme 4 calories, tandis qu’un gramme de lipides apporte 9 calories. Le gras est donc plus de deux fois calorique que le sucre. C’est ainsi que dans l’équilibre alimentaire, les quantités de lipides recommandées sont moindres par rapport aux glucides (sucres) et aux protéines. Ainsi, les apports nutritionnels conseillés sont : Sédentarité. Sommeil fracturé.

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