background preloader

NATURE

Facebook Twitter

L’appel à « une révolution complète de notre rapport à la nature et au vivant » Tribune. « C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas. » Ce constat que faisait déjà Victor Hugo en son temps prend aujourd’hui un sens inédit.

L’appel à « une révolution complète de notre rapport à la nature et au vivant »

Alors que la crise due au Covid-19 menace nos vies, nous ne devons en effet pas oublier que nous sommes largement responsables de ce qui nous arrive. Les crises de plus en plus nombreuses – le dérèglement climatique, l’effondrement de la biodiversité, la mauvaise santé des océans, l’épuisement général des ressources – nous montrent que nous ne pouvons plus continuer ainsi. Lire aussi Le déclin massif de la biodiversité menace l’humanité. Pagaille - Revue de littératures et médias comparés. Tour Agora Garden de Taipei : pourquoi la technique s’inspire de la nature.

Après dix ans de travaux, la tour en forme de double hélice d’ADN imaginée par l’architecte belge Vincent Callebaut est en passe d’être inaugurée à Taipei.

Tour Agora Garden de Taipei : pourquoi la technique s’inspire de la nature

Haute de vingt et un étages, la structure « archibiotechnique », selon l’expression de son concepteur, sera par ailleurs plantée de 23 000 végétaux (absorbant jusqu’à 130 tonnes de CO2 par an) afin de contribuer à la dépollution de l’air de la ville et de rafraîchir l’atmosphère. L’Agora Garden, c’est le nom du bâtiment, invite, ainsi, à penser une architecture en phase avec la nature et l’environnement. Une architecture qui s’inspire directement de structures biologiques existantes plutôt qu’elle n’invente, ex nihilo, des formes fantaisistes. Face à la pandémie : écosocialisme ou darwinisme social ? Les zoonoses ne sont pas une nouveauté.

Face à la pandémie : écosocialisme ou darwinisme social ?

La peste qui a fait des ravages dans l’antiquité et au moyen-âge était une zoonose. Ce qui est nouveau, c’est qu’un nombre croissant de maladies infectieuses sont zoonotiques. En trente ans, leur part est passée de 50% environ à 70%[1]. Trois quarts des nouveaux agents pathogènes présents chez l’humain proviennent d’espèces animales. Donner des droits à la nature : une idée qui fait son chemin. Sur les berges des lacs de Grigny et Viry-Châtillon (Essonne), on oublie les alentours marqués par une urbanisation effrénée et on peine à imaginer que Paris se trouve à une vingtaine de kilomètres.

Donner des droits à la nature : une idée qui fait son chemin

Ici, place à la tranquillité, à peine troublée par le plongeon d’un grand cormoran ou le sifflement d’un cygne blanc. Le lieu est un espace de respiration. Pourtant, cet endroit si cher aux pêcheurs, cyclistes et promeneurs du dimanche subit fréquemment des épisodes de pollutions. En 2020, il en a connu trois en seulement cinq mois : rejets d’eaux savonneuses aux mois d’août et septembre, puis déversement de sable et boue en décembre.

Quelques années plus tôt, les lacs avaient même connu des épisodes de pollution aux hydrocarbures. Écologie et raison des Lumières. Theodor Adorno, Minima Moralia.

Écologie et raison des Lumières

L’évènement Pyrocène : ce que révèlent les mégafeux – nos heures silencieuses. Le darwinisme a-t-il évolué ? - Ép. 4/4 - L’Origine des espèces de Darwin. Quels ont été les apports du darwinisme à la compréhension de l’homme, de la société mais aussi de la culture ?

Le darwinisme a-t-il évolué ? - Ép. 4/4 - L’Origine des espèces de Darwin

De Richard Dawkins à Stephen Jay Gould, qui sont les héritiers de Charles Darwin, et comment poursuivent-ils sa réflexion ? Le paradigme darwinien est-il encore d'actualité ? En 1838, Darwin écrit dans ses Carnets : « Celui qui comprendra le babouin aura fait plus pour la métaphysique que tout Locke ». Mais avait-il vraiment compris le babouin ? Bioéthique, catégories juridiques et politique législative. Savoirs ENS. Une attention aux vivants. Esprit vous offre encore : 2 visites La revue Billebaude fera paraître en février 2020 son 17e numéro.

Une attention aux vivants

Qu’est-ce que la sélection naturelle ? - Ép. 2/4 - L’Origine des espèces de Darwin. Dans L'Origine des espèces, publiée en 1859, Charles Darwin décrit comment la nature obéit à des lois qui ne sont pas entièrement réductibles aux lois mathématiques.

Qu’est-ce que la sélection naturelle ? - Ép. 2/4 - L’Origine des espèces de Darwin

Quelles sont ces lois que l'on associe trop souvent, et sans doute à tort à "la loi du plus fort" ? Ce que Darwin nomme "la lutte pour l'existence" implique-t-elle nécessairement la destruction d'autrui ? L'invité du jour Thierry Hoquet, philosophe, professeur à l’Université Paris Nanterre. Aux origines d’une théorie - Ép. 1/4 - L’Origine des espèces de Darwin. En 1831, Charles Darwin embarque à bord du Beagle comme naturaliste.

Aux origines d’une théorie - Ép. 1/4 - L’Origine des espèces de Darwin

Durant cinquante-sept mois, il arpente le globe et accumule une multitude d'observations. A son retour, il possède l’essentiel des éléments qui, une fois réinterprétés, reliés et mis en ordre, constitueront les points d’ancrage de sa théorie de l'évolution. L'invité du jour Jean-Claude Ameisen, médecin, chercheur, président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique et auteur de l'émission Sur les épaules de Darwin sur France Inter. Patrimoine Littérature Histoire - Prochaine séance du séminaire Poéthiques. L'affaire du siècle.

Le hasard … une modélisation biologique qui n’est pas naturelle – La pensée écologique. Reproduction d’une toile (Vibrations) de TUNG-WEN MARGUE Dominique Bourg Après un premier dialogue ici même, nous allons chercher à cerner ce que vous avez voulu faire dans votre livre.

Le hasard … une modélisation biologique qui n’est pas naturelle – La pensée écologique

Ma première question concerne le public cible de votre livre. Tel que je l’ai compris, vous vous adressez en premier lieu, mais non exclusivement, aux biologistes de synthèse, en vue de les conduire à interroger leur démarche, les conséquences possibles de leurs travaux sur la société en général. Vous montrez que lorsqu’ils prétendent agir comme la nature elle-même le fait, c’est faux. Une seconde série de questions m’importe. Nicolas Bouleau Dans ce livre je m’adresse en effet plus particulièrement aux scientifiques et parmi les scientifiques aux biologistes de synthèse, parce que je pense que ma position de scientifique me permet de parler plus en profondeur de ce sur quoi ils croient pouvoir s’appuyer. Pandémies : responsabilité anthropique, réponse écologique ?

Alors que la crise du Covid-19 frappe durement notre société, la responsabilité anthropique dans la multiplication des pandémies à travers le monde est maintenant avérée. La destruction de la biodiversité et des écosystèmes, la déforestation ou le trafic de la vie sauvage favorisent l’apparition de nouveaux virus. Pour lutter contre cela, une approche préventive fondée sur l’écologie et la préservation des écosystèmes est nécessaire. Déjà plus de deux millions de morts [1], l’économie de la planète à terre, les populations assignées à résidence, les libertés souvent bafouées : les dégâts enregistrés à cause du Covid-19 sont tels que la tentation est forte d’identifier très vite le « serial killer » qui en est la cause.

Très sérieusement, aux yeux des scientifiques chinois, le pangolin a failli tenir ce rôle de coupable universel. Du savoir de la Nature – La pensée écologique. Cet entretien avec Nicolas Bouleau reprend l’essentiel des développements du podcast mis en ligne précédemment. C’est une manière d’entrer dans le livre, à mes yeux fondamental, qu’il publiera le 27 janvier prochain. Collapsologues VS transhumanistes : entre l’effondrement et l’homme augmenté, les dangers d’un futur mythifié. Vous le voyez comment, vous, le futur ? Serons-nous, demain, des “post-humains” ? Deux confrontations du sauvage et du civilisé : l… – Man and Nature / L'homme et la nature. Citer cet article Coulet, Henri. « Deux confrontations du sauvage et du civilisé : les Dialogues de Lahontan et le Supplément au voyage de Bougainville de Diderot. » Man and Nature / L'homme et la nature, volume 9, 1990, p. 119–132.

Coulet, H. (1990). « Il est moralement irresponsable de laisser la perte de biodiversité se poursuivre » Chris Bowler, directeur du laboratoire de génomique des plantes et des algues à l’Institut de biologie de l’Ecole normale supérieure de Paris, doit prononcer jeudi 4 février la leçon inaugurale de la nouvelle chaire annuelle Biodiversité et écosystèmes du Collège de France. Le directeur scientifique du projet Tara Océans plaide pour une science décloisonnée qui prenne en compte les enjeux sociétaux. A quels besoins la création de cette chaire répond-elle ? Pour une étude critique de la collapsologie. Retour au Contrat naturel Conditions juridiques de la connaissance et de l'action Éditions de la Bibliothèque nationale de France.

ANIMAL

La peur de l’apocalypse climatique, entre catastrophisme et clairvoyance.