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Divers economie : à classer

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Santé au travail : "nous sommes face à une forme de crime organisé" | Le nouvel Economiste. XEnvoyer cet article par e-mail Santé au travail : "nous sommes face à une forme de crime organisé" XEnvoyer cet article par e-mailSanté au travail : "nous sommes face à une forme de crime organisé" Affaires publiques Du cynisme des industriels à l’inaction des pouvoirs publics, Annie Thébaud-Mony, directrice de recherches au CNRS, dresse un état des lieux sans concession de la santé au travail… Moyenâgeuse et cynique. Une situation archaïque que cette spécialiste des questions de sécurité au travail dénonce depuis près de 30 ans en parlant non pas de négligence mais d’une authentique forme de “crime organisé” de la part de certains dirigeants qui, depuis longtemps, ont appris à sous-traiter non seulement les risques qu’ils génèrent mais aussi les responsabilités qui les accompagnent.

Car pour l’heure, en ce qui concerne la santé et la sécurité, le code du travail n’est pas appliqué. Or je constate chaque jour que, sur ce plan, rien n’a changé. Et le déni continue. Pas contre l’irradiation. La loi El Khomri ne créera pas d'emplois. Faciliter les licenciements est contre-productif. La loi travail de Myriam El Khomri n'en finit pas de diviser (L. BONAVENTURE/AFP). La loi El Khomri repose sur une hypothèse défendue par les économistes néoclassiques et certains employeurs : le chômage serait causé par la "rigidité" du "marché du travail" et par celle des salaires. Ce serait la prétendue difficulté à licencier, les coûts de licenciement et un coût du travail trop élevé qui seraient à l’origine du chômage.

Un raisonnement individuel transposé à la société : absurde Il est concevable qu’un employeur puisse penser à son niveau que, si les règles avaient été plus simples ou les coûts de licenciement plus faibles, il aurait peut-être embauché plus. Cette impression personnelle souffre cependant de nombreux défauts, dont le premier, et non des moindres, est qu’il transpose un raisonnement individuel à l’ensemble de l’économie. Or les mécanismes macroéconomiques sont bien différents des mécanismes microéconomiques. C'est la demande qui détermine l'emploi Baisser les salaires ?

Oubliez la hausse des taux, Bridgewater anticipe plutôt le QE4 ! (Zerohedge)/ Malgré la « fin » du QE3, le bilan de la Fed n’est qu’à 0,3 % de sa taille record! / Ron Paul avertit les Américains que le désastre financier à venir sera pire que la Grande Dé.

Charles Hugh Smith du blog « Of Two Minds » nous propose une petite analyse de la situation actuelle, mise en perspective avec la situation qui prévalait en 2008. L’article étant en anglais, j’ai pris la liberté de le reprendre (en le traduisant ou le paraphrasant) pour vous en proposer la lecture ici (j’espère que l’auteur ne m’en tiendra pas rigueur). Essentiellement, l’auteur cherche à savoir si les conditions économiques actuelles sont meilleures que celles de 2008.

Il est tentant de voir des similarités entre l’actuelle panique sur les marchés boursiers et l’effondrement monumental qui a failli flanquer par terre le système financier global en 2008. La chute récente invite à la comparaison avec le dernier marché baissier qui emmena le S&P500 de 1565 en octobre 2007 à 667 en march 2009. En réalité, le présent marché baissier commence avec des différences assez marquées de celui de 2008. En voici quelques unes. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Pourquoi la tempête boursière est une menace pour l’Europe, et ce n’est pas uniquement à cause de la Chine. Si les soubresauts de l'économie chinoise ont un impact direct sur les places boursières du monde, le manque de réponse en termes de politique monétaire joue un rôle indéniable pour les financiers. Contrairement à la Chine elle-même, ou aux Etats-Unis, la BCE ne semble pas réagir à la séquence économique actuelle. Aucune initiative La tempête boursière est une menace pour l’Europe.

Crédit Reuters Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ? Pour retrouvez facilement ses articles dans votre compte et recevoir une alerte à chacune de ses contributions : Lire ou relire plus tard Pour classer cet article et le retrouver dans votre compte : Besoin de vous concentrer Pour lire cet article dans sa version zen : Je m'abonne Atlantico : Depuis plusieurs mois maintenant, les matières premières et les marchés émergents, Chine en tête, subissent de lourdes pertes (-37% pour le marché chinois depuis juin). Abonnez-vous enquelques clics Pas le temps de lire un article ? Derrière le leurre grec, la route de la soie. Les Islamistes radicaux s’affairent. Ils affaiblissent encore la Tunisie et inquiètent davantage l'Egypte, avant le Maroc, poursuivant leur stratégie de déstabilisation régionale. Certes, des drones leur tuent un chef par semaine, mais leur expansion va plus vite que ce jeu téléguidé.

Quel dommage ! L'Iran signe. Moscou réunit les BRICS et ses amis. En même temps en effet, les BRICS invitent plusieurs autres pays. Moscou invite, Pékin paye. Une montée des tensions s’organise. Le vrai étranglement concerne le Japon. La stratégie chinoise est d'encercler lentement le Japon, de nouer toujours plus de liens dans la région et au-delà, contestant ainsi l'influence américaine. Si tout continue ainsi, viendra un jour où les Etats-Unis devront accepter un Yen plus faible encore, puis soutenir les banques japonaises, puis acheter les bons du trésor de l'archipel ! Article publié initialement sur le blog de Jean-Paul Betbèze. Le capitalisme de dividendes, lettre à Keynes, et des super-documents sur la dette publique.

Le graphique qui suit s’inspire d’un graphique de Michel Husson (dont le site est une mine à ciel ouvert : sur les dividendes versés par les sociétés non financières (SNF) en % des salaires. Ici, je prends le % de la valeur ajoutée, mais l’histoire racontée est la même : celle d’un hold-up légal, ou, si l’on préfère, d’un rapport de forces devenu favorable à une infime minorité. (Cliquer sur le graphique pour l’agrandir) (Voir en fin de billet les sources et quelques précisions techniques) Les « sociétés non financières » (toutes les entreprises non financières autres que les entreprises individuelles) pèsent 1000 milliards d’euros en 2011 en termes de valeur ajoutée, soit la moitié de la valeur ajoutée nationale (le PIB).

On y trouve des sociétés anonymes (SA, SARL, SAS), coopératives, sociétés de personnes, établissements publics industriels et commerciaux (EPIC), associations sans but lucratif, holding, etc. Cher John Maynard, Hussonet. Inégalités - La science-fiction de Stiglitz - Emploi 2017. Inégalités Avant-propos - L’un des livres qui a le plus marqué les intellectuels en 2012 est le texte de Joseph Stiglitz, prix Nobel, sur « le prix de l’inégalité ». Ce texte met sur un piédestal éthique et moral la lutte contre les inégalités. La force du document de Cincinnatus, que nous publions aujourd’hui, est de montrer qu’il s’agit d’un ouvrage de science-fiction, contredit à chaque pas par les faits, et qui n’est là que pour satisfaire les phantasmes - ou les ambitions – d’un économiste se drapant dans son Nobel.

Version imprimable Le livre d’un moment Les premiers mots d’un livre s’avèrent parfois immensément révélateurs. Il y a des moments dans l’histoire… C’est effectivement le livre d’un moment. Si ce capitalisme est sujet à des cycles répétitifs, le bas de cycle, ce genou à terre, fournit le signal de l’hallali à ses détracteurs. Faites-moi confiance, je suis prix Nobel L’argumentation de Stiglitz se veut informelle et conviviale. L’évangile selon Joseph Selon Stiglitz : E. Thomas Piketty et Joseph Stiglitz, tricheurs professionnels. Thomas Piketty et Joseph Stiglitz sont prêt à tout pour faire dire à la réalité l’inverse de ce qu’elle signifie. Démonstration. Par Bernard Zimmern.Un article d’Emploi-2017. Thomas Piketty (droite) & Joseph Stiglitz (gauche) Dans leur offensive pour mettre la lutte contre les inégalités avant celle contre le chômage et, au fond, justifier leurs postes de professeurs payés par l’État, en donnant à ceux qui vivent de l’État, leur justification morale même si cela se traduit par plus de chômage, donc plus d’inégalités, tant Thomas Piketty que Joseph Stiglitz n’ont pas hésité à tricher, et ils le savent.

Ce sont en fait des tricheurs professionnels. Commençons par Thomas Piketty. Nous pourrions revenir sur les travaux qu’il a effectués avec son complice et camarade de Normale Sup, Emmanuel Saez mais il est plus facile de comprendre ses tricheries sur sa dernière création, « Pour une révolution fiscale ». Mais T. Pourcentage de revenu prélevé en fonction du niveau de revenu (selon Piketty) Or J.