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Transhumanisme

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Immortalité, transhumanisme : pourquoi l'intelligence artificielle est un rêve affligeant. Le robot italien iCub, qui aide les chercheurs dans le domaine de l'intelligence artificielle, à Lyon, le 19 mars 2013 (L.CIPRIANI/SIPA). Ils rêvent d’un monde où l’humain, trop humain, serait supplanté par sa magnifique création, l’ordinateur... Exit la responsabilité individuelle, la machine aurait le dernier mot. Pour autant, ce courant de pensée à de quoi inquiéter. Durant de nombreuses années, l'intelligence artificielle (IA) s'est contentée d'être ce qu'elle est : une technologie. Certes, dès ses premières heures (1956), ses zélateurs se sont lancé dans des prédictions abracadabrantes, affirmant que dès 1964, un ordinateur dépassant les capacités humaines allait apparaître.

On l'attend encore. L'ordinateur a été créé par... l'homme ! Il n’empêche. On aurait pu croire que cette vision demeurait l’apanage de la SF, mais pas du tout. Je me souviens d’un débat à la radio où l’on m’a rappelé que Deep Blue – l’ordinateur d’IBM – avait battu Kasparov, le champion d’échecs. Seulement voilà. Le transhumanisme. Impression 3D. Transhumanisme. Doc corps augmentés. The Venus Project. Le transhumanisme français se caractérise par un hyperhumanisme, plus que fréquentable. (Réponse à la contribution de Marc Roux) Je remercie vivement Marc Roux de sa réaction à l’interview téléphonique que j’ai accordée à Julia Vergely. Celle-ci se souviendra de mes précautions oratoires : il fallait, m’a-t-elle dit, répondre par oui ou par non à la question : « faut-il condamner le transhumanisme ?

». Ce n’était pas de débat qu’il s’agissait, lui ai-je objecté, mais d’un référendum par définition dangereusement binaire. J’ai néanmoins répondu par la négative, justement pour les raisons que Marc Roux me reproche d’avoir omises : le transhumanisme est un mouvement absolument pas homogène, dont j’ai décrit à Julia Vergely les extrêmes. Parce que le transhumanisme français, animé par Marc Roux, me paraît se caractériser par un hyperhumanisme (et non pas par un posthumanisme), je le crois plus que fréquentable. Je réduirais donc le transhumanisme à sa version néo-libérale ? La Déclaration transhumaniste. La Déclaration transhumaniste (1) L’avenir de l’humanité va être radicalement transformé par la technologie.

Nous envisageons la possibilité que l’être humain puisse subir des modifications, tel que son rajeunissement, l’accroissement de son intelligence par des moyens biologiques ou artificiels, la capacité de moduler son propre état psychologique, l’abolition de la souffrance et l’exploration de l’univers. (2) On devrait mener des recherches méthodiques pour comprendre ces futurs changements ainsi que leurs conséquences à long terme. (3) Les transhumanistes croient que, en étant généralement ouverts à l’égard des nouvelles technologies, et en les adoptant nous favoriserions leur utilisation à bon escient au lieu d’essayer de les interdire. (4) Les transhumanistes prônent le droit moral de ceux qui le désirent, de se servir de la technologie pour accroître leurs capacités physiques, mentales ou reproductives et d’être davantage maîtres de leur propre vie. Rue89. Transhumanisme Démocratique.

James Hughes Ph.D. Public Policy Studies Williams 229B, 300 Summit St., Hartford, CT 06106 860-297-2376 - james.hughes@trincoll.edu Une version antérieure, mais considérablement différente de cet essai a été publiée dans Transhumanity, 28 avril, 2002 Version originale anglaise Résumé La biopolitique est un axe émergent de la politique moderne au côté de la politique économique et culturelle. Cependant, la biopolitique ne fait que compliquer le paysage politique préexistant, elle ne le remplace pas. Les transhumanistes démocrates, les sociaux-démocrates pro-technosciences ou les techno-utopistes de gauche sont manifestement absents de leur niche théorique dans ce nouveau paysage politique. Le transhumanisme démocratique provient de l’affirmation que les êtres humains seront généralement plus heureux quand ils prendront le contrôle rationnel des forces naturelles et sociales qui contrôlent leurs vies.

Politique du 21ième siècle Transhumanisme démocratique Techno-utopisme et la Gauche Les biopunks. Nicolas Le Dévédec : De l’humanisme au post-humanisme : les mutations de la perfectibilité humaine. Singularity-Pass (Français) Le posthumanisme ou l'«Extreme Make-Over» d'Homo sapiens. Il faut bien distinguer science-fiction et utopie. Bien que l'une et l'autre aient en commun cette «volonté de forcer les verrous du temps pour ouvrir sur des espaces éloignés de notre quotidien», écrit l'historienne Yolène Dilas-Rocherieux, la science-fiction est «pressée», avide «d'accélérer le processus de transformation» pour imaginer tout de suite des futurs parfaitement cohérents.

«À l'inverse», écrit-elle, «l'utopie est "rationnellement raisonnable", hostile au hasard, méthodiquement élaborée entre déconstruction et reconstruction de manière à rompre avec l'ordre en place.» Rompre avec Homo sapiens, créer un «homme nouveau»: voilà l'utopie des posthumanistes et des transhumanistes que j'ai étudiée dans plusieurs reportages, un documentaire et nombre d'interviews, lesquels constituent la matière de base de ce livre.

Produire un «homme nouveau»: il y a là en fait une version contemporaine d'une vieille ambition; la célèbre formule cesse ici d'être une métaphore. Définitions. TRACKS Spécial Transhumanisme | TRACKS. Technoprog' : .: Accueil :. Augmented reality - Réalité augmenté.

Le Futur est proche, Robotique, Singularité, Science, Nanotechnologie, Biotechnologie, Longévité | Singularity-Pass. Clinatec : cette discrète clinique où l'on implante des nanos dans le cerveau - Science-fiction ? C’est une « clinique expérimentale » où l’on teste des dispositifs électroniques implantés dans le cerveau.

Baptisée Clinatec, cette neuro-clinique, pilotée par le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Grenoble, travaille sur les applications des nanotechnologies dans le champ des neurosciences, en particulier sur les maladies neurodégénératives, comme Parkinson. Mais difficile de savoir ce qui s’y passe vraiment : une certaine opacité entoure ses activités. Cas unique en France, l’établissement est situé en dehors du milieu hospitalier, sur un terrain du CEA dont certains bâtiments sont soumis au secret défense. Au sein de Clinatec, on parle interface cerveau-machine, neuro-stimulation profonde, nano-implants dans le crâne.

Des implants cérébraux contre la dépression ou l’obésité Point commun de ces recherches : le développement de dispositifs médicaux implantés dans le corps humain. Clinatec est le résultat d’un partenariat entre le CEA, le CHU de Grenoble et l’Inserm. Un transhumaniste dans la haute sphère politique. « Ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose pour nous de devenir moins humains », a exprimé le transhumaniste politique Guiseppe Vatinno : Le transhumanisme est une doctrine philosophique qui vise à améliorer sans cesse l’humanité. Elle encourage la science et la technologie, mais avec des gens qui gravite en son centre. En fin de compte, elle vise à libérer l’humanité de ses limites biologiques, surmontant l’évolution naturelle pour nous rendre plus humain. : Il le fait à travers le développement de technologies qui améliorent la santé et la lutte contre le vieillissement et la maladie – en remplaçant les parties du corps perdues ou défectueuses – et par l’avancée de l’Internet, de la communication et des technologies de l’intelligence artificielle. : Devenir moins humain n’est pas nécessairement une mauvaise chose, car cela pourrait signifier que nous sommes moins soumis aux caprices de la nature, comme la maladie ou les phénomènes climatiques extrêmes.

. : À mon avis, non. Transhumanisme. H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Il en diffère cependant par la reconnaissance et l'anticipation des changements radicaux que pourraient entraîner les techniques émergentes[1].

Le mouvement transhumaniste se préoccupe des dangers comme des avantages que présentent de telles évolutions[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Cet article a besoin d'un nouveau plan(mai 2016). Singularity University | Solving Humanity's Grand Challenges. Singularity University | Solving Humanity's Grand Challenges. ARTE - Un monde sans humains. Le transhumanisme français : que des surhommes, pas de sous-hommes.