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- ESVBible.org. Banshee. The banshee (/ˈbænʃiː/ BAN-shee), from Irish: bean sí [bʲæn ˈʃiː] ("woman of the sídhe" or "woman of the fairy mounds") is a female spirit in Irish mythology, usually seen as an omen of death and a messenger from the underworld. In legend, a banshee is a fairy woman who begins to wail if someone is about to die. In Scottish Gaelic mythology, she is known as the bean sìth or bean-nighe and is seen washing the bloodstained clothes or armour of those who are about to die. Alleged sightings of banshees have been reported as recently as 1948.[1] Similar beings are also found in Welsh,[2] Norse[3][4][5] and American folklore.[6][7] Overview[edit] The story of the banshee began as a fairy woman keening at the death of important personages.[8] In later stories, the appearance of the banshee could foretell death.

Banshees are usually seen by a person who is about to die in a violent way such as murder. The banshee can appear in a variety of guises. History and mythology[edit] American folklore[edit] Géomancie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La géomancie est une technique de divination fondée sur l'analyse de figures composées par la combinaison de quatre points simples ou doubles (ou points et traits). Ces points sont obtenus par l'observation de cailloux ou d'objets jetés sur une surface plane ou posés dans un espace donné, par des lancers de dés[1], par le comptage de traits dessinés dans le sable avec un bâton ou sur du papier à l'aide d'un stylo[2] ou encore par l'observation d'éléments disposés dans la nature sans intervention humaine.

Les oracles géomantiques sont basés sur une série de figures, chacune composée de quatre lignes de points, pairs ou impairs. Par différentes combinaisons simples, les tirages des figures sont développés pour former un diagramme ou graphe destiné à l'interprétation : un écu ou thème (terme emprunté à l'astrologie) géomantique, ou encore un carré. Étymologie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Outre R. Psychopompe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

En mythologie, un dieu psychopompe (en grec ancien ψυχοπομπóς / psykhopompós, signifiant littéralement « guide des âmes ») est le conducteur des âmes des morts (guide ou passeur), le guide dans la nuit de la mort. Dans certaines cultures, la tâche de « psychopompe » est aussi l'une des fonctions des chamans. Dans les différentes mythologies ou croyances[modifier | modifier le code] Arabe[modifier | modifier le code] Al-Hama Celtique[modifier | modifier le code] Ankou Épona Manannan Mac Lir Ogmios Chrétienne[modifier | modifier le code] Les anges L'archange Uriel aussi appelé « Oriphiel ». Égyptienne[modifier | modifier le code] Anubis Horus Neith Étrusque[modifier | modifier le code] Turms Grecque[modifier | modifier le code] Hécate Hermès Morphée Thanatos Hindoue[modifier | modifier le code] Pushan Yama Inuit[modifier | modifier le code] Pinga Japonaise[modifier | modifier le code] Les Shinigami Judaïque[modifier | modifier le code] Sandalphon Ixtab Azraël Mithra Aumakua.

Divinités grecques chthoniennes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les divinités grecques chthoniennes ou telluriques sont des divinités anciennes ayant contribué à la formation du Panthéon grec. Elles sont dites « chthoniennes » (prononcé /ktɔnjε̃/, du grec ancien χθών / khthốn, « la terre ») ou « telluriques » (du latin tellus, « la terre ») parce qu'elles se réfèrent à la terre, au monde souterrain ou aux Enfers, par opposition aux divinités célestes, dites « ouraniennes » ou « éoliennes ». Des femmes et des hommes[modifier | modifier le code] Le rapprochement de ces objets avec ceux d'autres sites (notamment en Anatolie) suggère que cette antique religion méditerranéenne associait la déesse à un taureau ou à un bélier (voir le thème du veau d'or dans la Bible), symboles virils spermatiques[2] — un thème qui s'installera durablement dans la région (hétéropartenariat, sexualité originelle non-maternaliste, mais paritaire).

En Anatolie, en Crète et à Agrigente[modifier | modifier le code] Artémis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom d'Artémis[modifier | modifier le code] Divinité des frontières[modifier | modifier le code] Née sur l'île d'Ortygie (« l'île aux cailles »), appelée plus tardivement Délos, Artémis fait du pays des Hyperboréens sa résidence principale[6] où elle règne en maîtresse de la nature sauvage et des animaux. « Que toutes les montagnes soient les miennes », déclare-t-elle dans l'hymne de Callimaque de Cyrène.

Elle erre aussi dans les agroi, les terres en friches, incultes et peu fréquentées. Selon une légende, Artémis est née un peu avant Apollon et elle aurait aidé Léto, sa mère, à accoucher, remplaçant ainsi Ilithyie, déesse de l'accouchement[10]. Chasseresse à l'arc d'or[modifier | modifier le code] Surnommée « la Bruyante » (Κελαδεινή / Keladeinế), elle mène sa meute et la pousse de la voix. Didrachme d'Ionie représentant la déesse Artémis. Déesse vierge[modifier | modifier le code] Hommage[modifier | modifier le code] Séléné. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est généralement décrite comme une belle femme au visage d'une blancheur étincelante, vêtue de longues robes fluides blanches ou argentées et portant une lune en croissant retournée sur sa tête. D'autres sources racontent qu'elle porte également une torche et d'autres encore lui prêtent deux grandes ailes blanches dans le dos. Après s'être baignée dans l'océan, elle mène un char argenté à travers le ciel obscur, tiré par des chevaux blancs dans certains contes et par des bœufs blancs dans d'autres.

Elle est également souvent dépeinte montant un cheval ou un taureau. Elle luit d'une douce lumière argentée pendant qu'elle voyage à travers les cieux, renvoyant sa douce lumière sur la terre ensommeillée. Elle eut plusieurs amants, parmi lesquels : Notes[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Séléné, sur Wikimedia Commons. Astéria. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle fut aimée de Zeus, qui la poursuivit. Pour lui échapper, elle se transforma en caille et plongea dans la mer. À l'endroit de sa chute apparut l'île d'Astérie (ou Ortygie, du grec ὄρτυξ / ortyx, « caille » ; qui signifie l'île aux cailles), qui sera plus tard nommée Délos.

Sa sœur, Léto, viendra y accoucher d'Apollon et Artémis (selon les traditions, c'est Léto elle-même qui est à l'origine du nom d'Ortygie pour l'île). Portail de la mythologie grecque. Hécate. Dans la mythologie grecque, Hécate (en grec ancien Ἑκάτη / Hekátê) est une déesse de la Lune. Anthroponymie[modifier | modifier le code] Attestations[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Généalogie et famille[modifier | modifier le code] Hécate est originaire de Thrace[réf. nécessaire].

Mythe[modifier | modifier le code] Lors de l'enlèvement de Perséphone par Hadès, elle aide Déméter à rechercher sa fille, la torche à la main. Progressivement, elle se retrouve associée à la face sombre de l'astre lunaire, et se voit prêter des capacités de divinations et de sorcellerie. Fonctions[modifier | modifier le code] Hécate fait partie de la triade lunaire, avec Séléné et Artémis. Cependant, les liens entre Hécate et Artémis existaient bien avant, notamment en Asie Mineure. Enfin, les déesses sont aussi associées par leur fonction d'aide aux parturientes. Attributs[modifier | modifier le code] Elle est très proche du couple infernal, Perséphone et Hadès[réf. nécessaire].

Néréides. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Néréide. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme français « Néréides » provient du latin de même sens Nereides (pluriel de Nereis), lui même dérivant du grec ancien Νηρῇδες (Nērē̂ides, pluriel de Νηρῇς, Nērē̂is)[1]. Ce terme est dérivé de Nérée (Νηρεύς, Nēreus), père des Néréides ; ce dernier est peut-être lié au verbe νέω (néō, « nager »). En français, le terme a également été écrit « Néréïdes » ou « Néréydes »[1]. Mythologie[modifier | modifier le code] Catalogues antiques[modifier | modifier le code] Quatre ouvrages antiques recense diverses Néréides. Le tableau suivant reprend les mentions chez ces quatre auteurs.

Évocation moderne[modifier | modifier le code] Arts[modifier | modifier le code] Sciences[modifier | modifier le code] Iconographie[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Néréides, sur Wikimedia CommonsNéréide, sur le Wiktionnaire. Détroit de Messine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le détroit de Messine (italien : Stretto di Messina ; sicilien : Strittu di Missina) est un détroit en mer Méditerranée qui sépare la péninsule italienne de l'île de Sicile. Il relie la mer Ionienne au sud à la mer Tyrrhénienne au nord. Sa plus petite largeur est de 3,3 km. Les courants y sont violents par endroits. Les deux principaux ports sur le détroit sont Messine en Sicile et Reggio di Calabria, plus précisément Villa San Giovanni sur le continent. Un projet de pont routier et ferroviaire, le pont de Messine, est à l'étude pour les prochaines années. Franchissement[modifier | modifier le code] Ce détroit est souvent cité comme l'exemple même du détroit formé par le territoire continental d'un État et une île appartenant à cet État alors qu'il existe au large de celle-ci une route de haute mer de commodité comparable du point de vue de la navigation.

[modifier | modifier le code] La Calabre vue de la Sicile. Cubomedusae. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description et caractéristiques[modifier | modifier le code] Cet ordre se distingue de son alternative par une anatomie plus simple, avec des muscles on ramifiés aux angles et en général seulement 4 tentacules. Liste des familles[modifier | modifier le code] Selon World Register of Marine Species (25 mars 2016)[1] : famille Alatinidae Gershwin, 2005 -- 3 genresfamille Carukiidae Bentlage, Cartwright, Yanagihara, Lewis, Richards & Collins, 2010 -- 4 genresfamille Carybdeidae Gegenbaur, 1857 -- 1 genrefamille Tamoyidae Haeckel, 1880 -- 1 genrefamille Tripedaliidae Conant, 1897 -- 2 genres Références taxinomiques[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Cubozoa. Nom vernaculaire[modifier | modifier le code] Les méduses de la classe des cubozoa (qui ne sont pas des méduses « vraies », de la classe des Scyphozoa) sont généralement appelées « cuboméduses » en français. « Méduse-boîte » est un nom vernaculaire pour le notoirement dangereux Chironex fleckeri, qui traduit l'anglais box jellyfish. La « guêpe de mer », plus ambigu, est aussi couramment utilisé pour désigner toutes les espèces de méduses très venimeuses. Anatomie[modifier | modifier le code] La plus grande différence visuelle de la méduse-boîte est que son ombrelle a la forme d'un cube, contrairement à la « vraie » méduse ou Scyphozoa, qui a plutôt une forme de dôme ou de couronne. La symétrie radiale fondamentale des cuboméduses est d'ordre 4 (d'où la forme de cube), comme les méduses et la plupart des hydrozoaires, mais à la différence des cténophores, qui leur ressemblent parfois (d'ordre 8).

Le système nerveux de la méduse-boîte est plus développé que celui des autres méduses. Bosphore. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Bosphore (en turc İstanbul Boğazı ou Boğaziçi), est le détroit qui relie la mer Noire à la mer de Marmara et marque, avec les Dardanelles, la limite méridionale entre les continents asiatique et européen. Il est long de 42 kilomètres pour une largeur de 698 à 3 000 mètres. Il sépare les deux parties anatolienne (Asie) et rouméliote (Europe) de la province d'Istanbul. Étymologie[modifier | modifier le code] Ainsi, le Bosphore serait un « passage resserré » dont l'origine désignait non le détroit en lui-même mais l'isthme présent jusqu'à la fin du paléolithique reliant alors l'Europe à l'Asie[3].

La théorie liant le déluge à la mer Noire (publiée en 1997 par William Ryan et Walter Pitman de l'Université Columbia) fait valoir quant à elle que le Bosphore aurait été formé autour de 5600 av. Histoire[modifier | modifier le code] Un enjeu géostratégique ancien[modifier | modifier le code] Classement et trafic[modifier | modifier le code] Leucade. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Noms[modifier | modifier le code] En grec ancien et en grec puriste, l'île est appelée Λευκάς (Leukas, Lefkás), qui donne en grec démotique Λευκάδα (Lefkáda).

À partir du Moyen Âge, elle est appelée Sainte-Maure, en grec Άγια Μαύρα (Aya Mavra), en italien Santa Maura, jusqu'au XIXe siècle où elle reprend son nom antique. Géographie[modifier | modifier le code] Photo satellite de Leucade Leucade est une île montagneuse, à la riche végétation à l'est et au sud. À l'est, les côtes sont douces, abritées du vent et ponctuées de petits îlots verdoyants, dont les plus connus sont Skorpios, Madouri et Sparti.

Le réseau routier permet de faire le tour de l'île. Municipalités[modifier | modifier le code] L'ancien nome de Leucade était divisé en 6 dèmes et 2 communautés: Histoire[modifier | modifier le code] Mythologie[modifier | modifier le code] Dans La Belle Hélène de Jacques Offenbach, Oreste chante, aux maris récalcitrants : « À Leucade l’empêcheur ! Charybde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans la mythologie grecque, Charybde (en grec ancien Χάρυϐδις / Khárubdis) était la fille de Poséidon et de Gaïa (la Terre). Pour avoir volé à Héraclès une partie du troupeau de Géryon, elle fut foudroyée par Zeus et changée en un gouffre marin. Là, trois fois par jour, elle avalait puis régurgitait de grandes quantités d'eau, incluant navires et poissons. Charybde est également évoquée dans le livre et le film "Percy Jackson, La mer des monstres".

L'expression « tomber de Charybde en Scylla » signifie de nos jours « éviter un danger en s'exposant à un autre pire encore ». Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Charybde, sur Wikimedia Commons. Scylla (monstre) Scylla fille de Nisos. Cronide. Gaïa. Scylla. Cybernétique. Cyberespace. 15 Bizarre Methods to See Your Future | Zoroscopes.com. Théories Gaïa. Noosphère. Inscription de Behistun. Liban. Abbassides. Omeyyades. Achéménides. Léonidas Ier de Sparte. Phidippidès. Eneko Arista. Achmed el-Gibar - XPwiki. Oracle grec. Karneia. Cénacle.