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Cyriltertrais

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Augmentation de la fraude relative à l’installation d’applications mobiles. Google lance Flutter 1.2, son SDK open source de développement d'apps mobiles iOS et Android, et Dart DevTools, une suite d'outils de programmation. Lancé en 2015, Flutter est l'un des plus récents ajouts à l'arsenal des développeurs d'applications.

Google lance Flutter 1.2, son SDK open source de développement d'apps mobiles iOS et Android, et Dart DevTools, une suite d'outils de programmation

C’est un SDK open source de développement d'applications mobiles développé par Google. Les applications Flutter sont écrites dans le langage Dart et exploitent bon nombre des fonctionnalités plus avancées du langage. Si Google a opté pour Dart, c’est parce qu’il offre deux modes de fonctionnement. Le premier, nommé AOT (pour Ahead Of Time), permet de générer une application native pour chaque plateforme. Le code sera optimisé directement pour l’architecture sur laquelle il fonctionnera. Le deuxième mode de fonctionnement est dit JIT (Just-In-Time) et offre la fonctionnalité de Hot Reload lors des développements.

Outre ces deux modes, Dart est aussi très performant pour gérer l’allocation et le “garbage collector”, c’est-à-dire l’élimination des objets en mémoire qui ne sont plus utilisés. Boden : un framework C++ multiplateforme pour le développement d'application mobile native, Android et iOS. Ashampoo Systems GmbH & Co.

Boden : un framework C++ multiplateforme pour le développement d'application mobile native, Android et iOS

KG a publié Boden, un framework multiplateforme, open source et purement natif C++ destiné à faciliter le développement d’application Android et iOS. Le framework permet, selon ses concepteurs, de créer des applications mobiles multiplateformes et natives avec une seule base de code. Il est publié sous la licence GPL (2/3). PWA : les progressive web apps vont-elles réconcilier le développement web et mobile ?

Les PWA ont le vent en poupe.

PWA : les progressive web apps vont-elles réconcilier le développement web et mobile ?

Cette technologie prometteuse correspond-elle au compromis attendu entre les sites web et les applications mobiles ? Les PWA sont-elles l'avenir des applications ? Dans le cadre du Web2day 2019, nous avons assisté à la conférence de Clément Dubois et Simon Belbeoch, d’OCTO Technology. Une introduction aux progressive web apps, leur intérêt et leurs limites, ainsi que des retour d’expériences chiffrés permettent de mieux comprendre l’intérêt des PWA. La fin des applications mobiles. Vraiment ? La fin des applications mobiles, où en est-on ?

La fin des applications mobiles. Vraiment ?

Leur mort imminente est annoncée depuis au moins deux ans. Victimes du désintérêt des utilisateurs, supplantées par les Progressive Web Apps, remplacées par les Instant Apps ou enfin éliminées par les Chatbots, la cause restaient à préciser mais 2018 devaient sonner le glas de la croissance du marché des applications mobiles. Qu’en est-il finalement ? Les méthodes de travail des développeurs mobile. Hétérogénéité du parc mobile, importance de l'expérience utilisateur, évolution des langages... Les méthodes de travail sur le développement mobile ont leurs caractéristiques propres.

Les méthodes de travail sur le développement mobile. Crédits : Getty Images / Korrawin Romain (Practice), Pierre (HelloWork), Soukaina (Addixware) et Mathieu (Mobizel) sont tous les quatre développeurs mobile. Ils nous énoncent dans les détails comment s’organisent les méthodes de travail propres à leur métier. Des équipes en méthodes agiles Aujourd’hui, les méthodes agiles s’est très largement démocratisée au sein des équipes de développement. . « Une fois le projet lancé, le process agile permet de réaliser l’application de manière itérative, avec des phases de test et de validation entre chaque sprint (un sprint = 2/3 semaines de développement), complète Romain.

Les langages et les outils, l’importance de la veille Crédits : iStock / Yongyuan Dai L’expérience utilisateur, un véritable enjeu sur mobile. Les PWA sont mortes, vive les Applications Mobiles Natives ! Quelles sont les différences et pourquoi une entreprise devrait privilégier une « Application Mobile Native » plutôt qu’une « Application Web Progressive » ?

Les PWA sont mortes, vive les Applications Mobiles Natives !

Les dernières statistiques démontrent que les internautes passent aujourd’hui plus de 2h30sur leurs portables. Ils utilisent 19 applications en moyenne par mois. 54% de toutes les transactions digitales mondiales se font désormais via les Smartphones. HarmonyOS : une commission de 10 à 15% seulement pour les applications mobiles ? Sans abandonner Android, le groupe Huawei a dévoilé en ouverture de son événement développeur HDC 2019 son propre OS mobile baptisé HarmonyOS et dont la déclinaison chinoise sera bien HongmengOS.

HarmonyOS : une commission de 10 à 15% seulement pour les applications mobiles ?

Le géant chinois pose ainsi les bases d'une alternative potentielle qui vise un usage large et polyvalent (objets connectés, smartphones, écrans interactifs, voire ordinateurs) et une conception moderne et distribuée évitant certains écueils d'Android. Si un premier smartphone utilisant ce nouvel OS mobile pourrait faire son apparition en Chine prochainement, HarmonyOS est un projet de longue haleine, en développement depuis plusieurs années et qui ne verra des déploiements conséquents que d'ici un à deux ans. Google présente des nouveautés pour les développeurs d'applications Android. La firme de Mountain View a profité de sa conférence annuelle, Google I/O, pour faire le point sur les derniers changements qui impactent le développement d’applications et de jeux Android.

Google présente des nouveautés pour les développeurs d'applications Android

L’optimisation de la taille des applications continue Un an après l’introduction du format de diffusion Android App Bundle, Google mise sur des fonctionnalités dynamiques (Dynamic features) pour aller encore plus loin dans la réduction des tailles d’application. Vous trouverez donc de nouvelles options de diffusion qui permettent de choisir le meilleur moment pour installer certains composants de votre application. Progressive Web Apps : retour d'expérience d'Etam, Rue du Commerce et Weekendesk.

2019 a-t-elle été l’année des Progressive Web App (PWA) ?

Progressive Web Apps : retour d'expérience d'Etam, Rue du Commerce et Weekendesk

Très certainement. Ces applications web, accessibles depuis un navigateur, offrent une expérience digne d’une application native (navigation fluide, notifications, contenu disponible offline…) et sont même publiables dans certaines boutiques d'applications, dont le Play Store de Google. En somme, elles représentent le meilleur des deux mondes. "Le terme de PWA est plus un terme ombrelle regroupant plusieurs best practices liées à l’utilisation des dernières API web qu’une technologie en tant que telle. C’est une initiative de Google pour promouvoir le web mobile et mettre en avant le fait qu’on peut avoir des capacités aussi puissantes sur le web qu’avec une application native", précise Loïc de Saint Andrieu, Head of Digital Customer Experience chez Google. Plusieurs motivations peuvent pousser une entreprise à se lancer dans un projet de Progressive Web App. Entre Java et Kotlin, lequel de ces langages est le meilleur pour le développement d'applications Android ?

Android est un système d'exploitation mobile développé par Google, dont la version 1.0 a été publiée en septembre 2008.

Entre Java et Kotlin, lequel de ces langages est le meilleur pour le développement d'applications Android ?

Android a connu plusieurs mises à jour depuis sa première version. Au départ, Google ne supportait que le langage Java pour développer les applications destinées à la plateforme Android. Mais cette année, à la conférence Google I/O dédiée aux développeurs, le géant de la recherche en ligne a annoncé que le langage de programmation Kotlin est désormais son langage préféré pour les développeurs d'applications Android. En 2017, Google a reconnu Kotlin comme étant le deuxième langage officiel pour le développement d'applications Android.

Depuis lors, la communauté de développeurs autour de Kotlin continue de croître. Applications mobiles : Salesforce propose de les créer sans développeurs. Pour simplifier la création en interne, le spécialiste du CRM annonce l’arrivée d’une suite de développement qui permet de gérer intégralement la conception d’une application, de l’interface utilisateur à la publication sur iOS et Android.

Applications mobiles : Salesforce propose de les créer sans développeurs

Pourquoi payer cher, et même souvent très cher, une agence externe quand on peut profiter d’outils automatisés pour créer sa propre application mobile ? Fort de ce constat, Salesforce propose aux équipes marketing de créer elles mêmes et même de publier des applications mobiles pour les appareils iOS et Android. La nouvelle plate-forme Lightning Mobile propose pour cela trois outils de développement. Il y a d’abord Mobile Builders, qui intègre des composants JavaScript prédéfinis, permettant aux administrateurs Salesforce de créer eux-mêmes des applications. A titre d’exemple, des feuilles de calcul peuvent être converties en applications, et le modèle de données ainsi que l’interface utilisateur sont créés en quelques clics.

Google étend le kit de développement logiciel d’applications mobiles Flutter au Web - EchoTechno.fr. Lors de la conférence des développeurs de cette année, Google a lancé la version 1.5 de Flutter, son framework d’interface utilisateur mobile open source qui aide les développeurs à créer des interfaces natives pour Android et iOS. Mais ce n’est plus vrai. En effet, le framework mobile est maintenant un framework d’interface utilisateur multi-plateformes, prenant en charge le Web, les ordinateurs de bureau, les périphériques mobiles et même les périphériques intégrés. La mission de Flutter s’est élargie pour créer le meilleur cadre pour développer de belles expériences pour tout écran. Une mise à jour intéressante Flutter a d’abord été annoncé comme un début d’alpha lors de la conférence et a finalement atteint la version 1.0 en décembre 2018. 1,35 million d'euros pour solder le contrat de la maintenance informatique des collèges d'Eure-et-Loir.

Une indemnité transactionnelle de 1,35 million d’euros. C’est la somme que le Conseil départemental, en charge de la gestion des collèges, consent à débourser pour solder définitivement le contrat d’entretien et de maintenance du parc informatique des 39 collèges d’Eure-et-Loir, confié, en 2007, à l’entreprise ADN, pour une durée de douze ans. "Néandertalien" Le changement de président à la tête de la collectivité, en 2017, semble avoir braqué un regard nouveau sur le niveau de prestation, jugé insuffisant, de cette entreprise, placée en redressement judiciaire en 2015.

L’expertise, commandée début 2018 par le Conseil départemental à Ibs’on, une société privée spécialisée dans la sécurité informatique, dresse un accablant diagnostic.