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Communication

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Communication interne : la bataille des 5 minutes de temps libre. Jamais l’être humain n’a disposé d’autant de moyens de communication et d’accès à l’information. Paradoxalement, les collaborateurs sont de moins en moins informés sur leur entreprise, en dépit de la débauche de moyens engagés. Avoir des collaborateurs bien informés, c’est pourtant la base pour avoir des collaborateurs engagés, qui s’investissent parce que leur travail s’inscrit dans un tout qu’ils comprennent et qui fait sens.

Les causes sont assez simples, les solutions un peu moins, mais il en existe. Les gens ne sont pas payés pour s’informer sur leur entreprise C’est bien entendu provocateur, mais pourtant une réalité. Dans l’inconscient du collaborateur, mais aussi de son manager, s’informer ne fait pas partie des priorités. Une lutte darwinienne pour les 5 minutes de temps libre Parce que s’informer n’est pas une priorité, il va donc falloir se contenter des «5 minutes de temps libre» du collaborateur. Les collaborateurs déconnectés on en parle ?

Pas simple ! L’expert: Your Brain Has A “Delete” Button–Here’s How To Use It. There’s an old saying in neuroscience: neurons that fire together wire together. This means the more you run a neuro-circuit in your brain, the stronger that circuit becomes. This is why, to quote another old saw, practice makes perfect. The more you practice piano, or speaking a language, or juggling, the stronger those circuits get. For years this has been the focus for learning new things. Your Brain Is Like A Garden Imagine your brain is a garden, except instead of growing flowers, fruits, and vegetables, you grow synaptic connections between neurons. “Glial cells” are the gardeners of your brain–they act to speed up signals between certain neurons. Researchers are just starting to unravel this mystery, but what they do know is the synaptic connections that get used less get marked by a protein, C1q (as well as others).

This is how your brain makes the physical space for you to build new and stronger connections so you can learn more. Why Sleep Matters. Made By Dyslexia. Jon Ronson: Strange answers to the psychopath test. Calling Bullshit. Guide du jeu - Le jeu des trois figures. Negotiation tactics differ around the world. These charts will show you how to adapt your style.

Toxic relationship habits most people think are normal — Quartz. There’s no class in high school on how to not be a shitty boyfriend or girlfriend. Sure, they teach us the biology of sex, the legality of marriage, and maybe we read a few obscure love stories from the 19th century on how not to be. But when it comes down to actually handling the nitty-gritty of relationships, we’re given no pointers… or worse, we’re given advice columns in women’s magazines. Yes, it’s trial-and-error from the get-go. And if you’re like most people, it’s been mostly error. But part of the problem is that many unhealthy relationship habits are baked into our culture. A lot of the self-help literature out there isn’t helpful either (no, men and women are not from different planets, you over-generalizing prick).

Fortunately, there’s been a lot of psychological research into healthy and happy relationships the past few decades and there are some general principles that keep popping up consistently that most people are unaware of or don’t follow. Got Relationship Problems? 1. Mindfulness—the unconventional research of psychologist Ellen Langer. In 1981, early in her career at Harvard, Ellen Langer and her colleagues piled two groups of men in their seventies and eighties into vans, drove them two hours north to a sprawling old monastery in New Hampshire, and dropped them off 22 years earlier, in 1959.

The group who went first stayed for one week and were asked to pretend they were young men, once again living in the 1950s. The second group, who arrived the week afterward, were told to stay in the present and simply reminisce about that era. Both groups were surrounded by mid-century mementos—1950s issues of Life magazine and the Saturday Evening Post, a black-and-white television, a vintage radio—and they discussed the events of the time: the launch of the first U.S. satellite, Castro’s victory ride into Havana, Nikita Khrushchev and the need for bomb shelters. The physiological results provided evidence for a simple but invaluable fact: the aging process is indeed less fixed than most people think.

Uk.businessinsider. The Backfire Effect. The Misconception: When your beliefs are challenged with facts, you alter your opinions and incorporate the new information into your thinking. The Truth: When your deepest convictions are challenged by contradictory evidence, your beliefs get stronger. Wired, The New York Times, Backyard Poultry Magazine – they all do it. Sometimes, they screw up and get the facts wrong. In ink or in electrons, a reputable news source takes the time to say “my bad.” If you are in the news business and want to maintain your reputation for accuracy, you publish corrections. In 2006, Brendan Nyhan and Jason Reifler at The University of Michigan and Georgia State University created fake newspaper articles about polarizing political issues. They repeated the experiment with other wedge issues like stem cell research and tax reform, and once again, they found corrections tended to increase the strength of the participants’ misconceptions if those corrections contradicted their ideologies.

No, probably not. Thou shalt not commit logical fallacies. 50 THOUGHT PROVOKING QUESTIONS THAT WILL MAKE YOU THINK - Ideal Magazine. We found a great article the other day on 50 questions that will free your mind and make you think, and it certainly did! When you have a little spare time to think, read these interesting and thought provoking questions listed below, because sometimes asking the right questions is the answer… How old would you be if you didn’t know how old you are?

What is the difference between being alive and truly living? Which is worse, failing or never trying? Le nudge marketing ou comment vendre sans contraindre. Systémique - Boucles et Causalite Circulaire 1 - Luc Rambaldi. Yes set : le pouvoir du "Oui" | Communication Hypnotique. Si je vous disais qu’il existe une technique toute simple pour augmenter systématiquement vos chances d’influencer vos interlocuteurs, seriez-vous intéressé(e) ? Et si j’ajoutais que – comme chacun d’entre nous – vous vous êtes déjà très certainement souvent « fait avoir » par cette technique, souhaiteriez vous apprendre à vous en prémunir ? Le principe est tout simple : si vous souhaitez amener une personne à envisager de faire quelque chose que de prime abord il aurait été hasardeux d’espérer obtenir de sa part, avant de suggérer quoi que ce soit en ce sens, commencez par lui faire dire ou penser « OUI » à plusieurs reprises.

Il y a de fortes chances que ce soit ce qui s’est produit en vous lorsque vous avez lu les deux premières questions de cet article, n’est-ce pas ? Et hop, vous voilà probablement en train d’acquiescer pour la troisième fois ;-). C’est simple de faire acquiescer quelqu’un, non ? Bref, en résumé : Plus nous disons « oui » plus nous avons tendance à dire « oui » Demain sans le mail ? Un choix, ses alternatives ! Demain le mail, c’est peut-être demain AVEC le mail, mais ça peut aussi devenir demain SANS le mail. C’est le cas de cette entreprise basée à Las Vegas. Son dirigeant, Hunter Walk, a choisi de se débarrasser du mail. Non pas qu’il le déteste, mais il le trouve contraignant et franchement pas pratique. Aujourd’hui les entreprises ont une culture du mail très forte. Leurs habitudes d’usages sont terribles, mais c’est assez commun comme tort. Il ne faut pas forcément les réparer, mais peut-être les faire évoluer.

Il a banni l’email. Pour être plus exact, ils n’ont pas vraiment arrêté l’envoi d’emails. Interroger des personnes L’email ne devrait pas être utilisé pour poser des questions aux gens. Partager des informations L’email ne devrait pas être utilisé pour partager de l’information. Transférer des documents L’email ne devrait pas être utilisé pour transmettre des documents. Obtenir un feedback Les to do lists L’email ne devrait pas être utilisé comme to do list. Les notifications.

Science Of Persuasion 1280x720 Master. Votre chef veut il vous rendre fou. Commençons par une blague que vous connaissez probablement , illustrant la pratique infernale de la double contrainte. Une mère offre à son fils deux cravates, l’une bleue, l’autre rouge. Il la remercie chaleureusement. Sur un ton doucereux elle lui demande ensuite : « laquelle vas-tu mettre pour la soirée au théâtre ?

» Il répond : « la bleue ». Elle prend une mine fâchée et lui dit : « je vois que tu n’aimes pas la rouge ! S’il avait choisi la rouge, elle lui aurait dit : « je vois que tu n’aimes pas la bleue » Cette blague fait habituellement rire, mais révèle une emprise psychologique difficile à parer, d’autant plus si le fils aime vraiment sa mère et veut toujours lui faire plaisir. Imaginons une suite encore plus perverse : « Tu me remercies par politesse, mais fondamentalement tu n’aimes pas mes cadeaux. De quoi devenir fou ! La double contrainte, en entreprise, émane de managers, qui, soit par maladresse, soit volontairement vous mettent devant des choix impossibles. Le pouvoir diminue l'empathie. C’est ce que démontrent deux études réalisées ces dernières années. La première, menée par des chercheurs en neurosciences de l’Université d’Ontario (Canada), montre que les individus dotés de pouvoir, même temporairement, font preuve de moins d’empathie.

Pour résumer*, celle-ci résulte de l’activation des neurones miroirs qui nous permettent notamment de nous identifier à ce que font ou vivent d’autres personnes. L’expérimentation canadienne mit trois groupes de volontaires en différentes situations de pouvoir – respectivement fort, neutre et faible – puis leur demandèrent d’observer les actions d’autres individus. L’activité cérébrale des participants fut analysée sous stimulation magnétique transcrânienne (SMT). (CC) Sean MacEntee La seconde étude qui nous intéresse aujourd’hui a été conduite par des chercheurs des universités d’Amsterdam (Pays-Bas) et Berkeley (Californie). Les 24 styles de management dans le monde.

Les styles de leadership et de management varient selon les pays. On ne dirige pas une entreprise de la même manière en Allemagne, au Japon, aux Etats-Unis, en Suède ou en France. Tout est une question de culture. Dans son livre "When culture Collide", publié en 1996, le linguiste britannique Richard D. Lewis a classé les différences de culture du leadership selon les pays. Cette méthode, (résumée dans les 24 schémas ci-dessous) il la dispense désormais lors de séminaires pour de grandes entreprises. On y apprend notamment, comme le résume Business Insider, que les Britanniques sont plutôt "diplomates", ils aspirent à trouver un compromis juste, tout en étant parfois rudes en affaires. De leur côté, les managers américains sont plutôt agressifs et orientés vers les résultats avant tout. Selon Lewis, ces comportements n'évoluent pas trop avec le temps et restent une bonne grille de lecture, "même dans les pays où la croissance économique est rapide".

Ces chiffres qu'on oublie quand on veut réinventer le travail. Le monde va vite, l’économie va vite, les changements vont vite et au milieu de tout ça l’entreprise doit suivre le rythme. Innover, résoudre des problèmes, gérer des exceptions toujours plus vite et à plus grande échelle. Finalement on peut en parler pendant des heures mais voilà résumé en deux phrases tout ce qui pousse les entreprises – de ou contre leur gré – vers une nécessaire transformation qui se traduira inéluctablement par une transformation majeure de la manière de nous travaillons.

Plus de collaboration, plus d’interactions, plus d’échanges, plus d’information, plus de données. Nous voilà armés pour faire face au monde qui nous entoure. En fait pas vraiment…submergés par cette déferlante d’information et de sollicitations qu’on nous pousse, sans parler de celles qu’on sollicite ou allons chercher de nous même, il importe de séparer le bon grain de l’ivraie afin de se concentrer sur ce qui compte. Nous passons plus de temps à trier l’information qu’à l’utiliser Mais ensuite ? L’art de la répartie. Olivier Bettach. A la fois Comédien, Metteur en scène et Diplômé d’HEC, Olivier Bettach met à profit l’ensemble de ses expertises pour développer le « savoir être » dans la sphère professionnelle. Il est également co-fondateur et président de Next Level Formation, société de formation spécialisée dans le domaine des soft skills qui utilise l’improvisation théâtrale au service de la performance comportementale en entreprise.

Quelques clients: BNP PARIBAS, Axa, Octo Technology, Generali, Sanofi, Leetchi.com Il propose aujourd’hui des programmes sur-mesure pour améliorer la performance en entreprise et enseigner comment développer un « charisme durable », une notion originale qu’il a développée dans plusieurs parutions. Ses modules s’adressent à tous ceux pour qui le charisme est un enjeu (Managers, Chefs d’entreprises, Hommes politiques, Communicants…). Il est professeur-intervenant à HEC Paris depuis 2009 et membre de jurys d’admission. Prise de parole : soyez aussi percutant qu’un conférencier TED.

N°1 : La découverte En préparation d’un événement TED, le futur intervenant commence par présenter son sujet au coach, longuement. Ce dernier l’aide ainsi à repérer son message. Il ne peut y en avoir qu’un seul. « Avoir un message, c’est la clé », précise Didier Chambaretaud. Par message, il entend ce que vous avez à dire de plus percutant, en une ou deux phrases. Lors de cette première phase de préparation, le coach identifie la « "power phrase", ce leitmotiv qui peut revenir à plusieurs reprise dans le discours, notamment lors des transitions entre les idées et à la conclusion, car à TED, on répète beaucoup », affirme le coach.

Il vous aide également à détecter l’accroche de votre speech. . « Par exemple, le designer Tom Wujec est venu parler de la pensée systémique en entreprise. N°2 : La structure du récit Une fois le message, l’accroche et la "power phrase" identifiée, arrive le moment de formaliser son discours. Celle-ci commence toujours par une accroche. N°3 : La répétition. La provocation : Communication positive ou négative. Parmi toutes les formes de communication imaginables, la provocation est un art délicat. Certains en ont fait leur style de vie ou leur fond de commerce, comme un grand nombre de comiques, avec plus ou moins de succès. La racine latine du mot « provoquer » (provocare) a pour sens « appeler dehors« . En ce sens, elle suscite la curiosité, ravive l’intérêt du récepteur du message. Dans un champ médiatique particulièrement obstrué (nous recevons plusieurs milliers de stimuli commerciaux par jour), faire entendre sa voix et son message devient une tâche ardue.

Dès lors, comment attirer l’attention du consommateur, déjà saturée par les publicités radio, TV, internet, affiches, magazines et journaux ? Une bonne communication ne se contente pas de toucher le raisonnement de son interlocuteur, elle va le bousculer sur le terrain des émotions et du ressenti. La provocation ne laisse jamais indifférent. C’est dans nos gênes ! Certaines marques en ont fait leur ADN. Se démarquer pour survivre. Dictons du Rugby. Petit lexique du rugby. Prise de parole en public : 7 conseils pour faire la différence. 5 astuces pour booster votre réputation grâce à la force de l'image. Identifier ce que l'on aimerait dire : Soyez impertinent au travail ! Marche républicaine : une cellule psychologique gigantesque - Les Echos. La première carte corporelle des émotions. VIDEO. Le long apprentissage des chiens guides d’aveugle.

NoW Future: Demain, le mensonge sera interdit. Training - Paul Ekman Group, LLC. La Peur au sein de la relation de coaching Le blog des Rapports Humains. Ecrire son anxiété pour réduire l’effet du stress aux examens. Comment surmonter ses angoisses au travail. Prendre du recul Le blog des Rapports Humains.

L'empathie, enracinée dans notre humanité et notre biologie, une solution aux crises ? - Désinformation et rumeur : nous sommes notre pire ennemi ! Storytelling, la machine à formater les esprits (C. Salmon) La manipulation de l'information à l'ère des médias sociaux. 5 étapes pour réagir en cas de crise sur les réseaux sociaux - Aforismi Terapeutici. Combattre les démons du non - Improse. Entrevue avec Frédéric Falisse, inventeur de la questiologie. Question puissante en coaching. Questiologie - L'art et la science de poser la bonne question.