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Uberisation

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Design thinking. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Design thinking

Le design thinking (littéralement « penser le design »), en français démarche design[1] ou conception créative[2], est une méthode de gestion de l'innovation élaborée à l'université Stanford aux États-Unis dans les années 1980 par Rolf Faste. Il se veut une synthèse entre pensée analytique et pensée intuitive. Il fait partie d'une démarche globale appelée design collaboratif. Il s'appuie en grande partie sur un processus de co-créativité impliquant des retours de l'utilisateur final. Contrairement à la pensée analytique, le design thinking est un ensemble d’espaces qui s’entrecroisent plutôt qu’un processus linéaire ayant un début et une fin. Trois approches[modifier | modifier le code] Le design thinking est un processus en plusieurs étapes dont le nombre varie en fonction des auteurs : Approche en cinq étapes selon la d.school[modifier | modifier le code]

Technologie de rupture. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Technologie de rupture

Une technologie de rupture (dite aussi innovation de rupture ou rupture technologique) est une innovation technologique qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une technologie dominante sur un marché. Cette disparition de la technologie existante se fera bien que la technologie de rupture soit radicalement différente et qu’elle soit souvent moins performante à l’origine selon les critères traditionnels de mesure. Par opposition aux technologies de rupture, les technologies de continuité ou d’amélioration continue ne créent pas de nouveaux marchés : elles procèdent par améliorations et incréments graduels successifs des performances de la technologie actuelle. Les tenants du marché sont donc en concurrence permanente pour l'amélioration de leurs produits.

Les technologies de continuité peuvent être « discontinues »[1] (transformationnelles) ou « continues » (évolutives). La théorie[modifier | modifier le code] La dimension financière de l’uberisation. J’ajoute ici une sixième partie non prévue initialement à ma récente série de cinq articles sur le phénomène de l’uberisation.

La dimension financière de l’uberisation

Il s’agit de traiter de la dimension financière du sujet et notamment, du financement des startups en mal de disruption d’acteurs établis. L’uberisation est en effet étroitement associée à un phénomène relativement récent : les énormes financements des startups prometteuses, surtout aux USA. Jean Michel Billaut. Uber (entreprise) Uber, anciennement UberCab[1], est une entreprise technologique américaine qui développe et exploite des applications mobiles de mise en contact d'utilisateurs avec des conducteurs réalisant des services de transport.

Uber (entreprise)

L'entreprise est basée dans la ville californienne de San Francisco, aux États-Unis. En 2015, elle est valorisée à 50 milliards de dollars[4] et ses applications sont commercialisées dans plus de 310 villes dans le monde[5]. Elle a été fondée par Garrett Camp, Idir Hedjem et Travis Kalanick. Organisant une activité commerciale régulière de vente de service comme s’il s'agissait d'une activité occasionnelle, la société fait l'objet de nombreuses polémiques, en raison de débats sur ses pratiques, où la libre concurrence qu'elle défend se heurte à des accusations de concurrence déloyale et de travail dissimulé de la part des pouvoirs et des professionnels qui se réclament du respect de la réglementation sociale, fiscale et administrative en vigueur.

"Tous les secteurs connaîtront l'"ubérisation", sans exception" Le verbe "uberiser" inventé par Maurice Lévy, patron de Publicis continue à trouver écho dans le monde du numérique.

"Tous les secteurs connaîtront l'"ubérisation", sans exception"

"Tous les secteurs connaîtrons l''uberisation', sans exception", s'est exclamé Philippe Coste, directeur délégué de French Tech Toulouse, lors d'une conférence-débat organisée par La Tribune-Objectif News sur le thème du numérique et ses effets sur les évolutions des entreprises, mardi 20 janvier. Une manière de souligner que les nouvelles possibilités offertes par le numérique et leur exploitation croissante remettent en question les modèles économiques traditionnels.

Il s'est notamment adressé à Philippe Chanez, responsable Innovation et R&D à la Banque Populaire Occitane: "Quand on voit Lending club qui lève 870 millions de dollars, récemment aux États-Unis en créant une plateforme de prêts entre particulier, on sent bien que vous êtes attaqués. " Uber "ne fait pas partie de l'économie de partage"