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Les données

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Les metiers de la data. Mega, giga, tera et après ? Un étudiant de Californie milite pour développer le terme « hella » comme unité de mesure après les mots mega, giga, etc.

Mega, giga, tera et après ?

L'idée fait son chemin. L'information peut apparaître anecdotique, mais un étudiant en physique Austin Sendek a lancé une campagne pour promouvoir le terme « hella » comme future unité de mesure. Et cette initiative commence à devenir populaire. Le système international d'unités, autrement connu comme le système métrique, dispose d'une série de préfixes pour désigner l'échelle mathématique de l'unité qui est mesuré. C'est là que nous obtenons le méga, giga, téra et le préfixe peta.

Cookie connecté. E-sidoc LYCEE PROFESSIONNEL GUSTAVE FERRIE - PARIS. Accueil. Home — Paris Data. Plateforme de visualisation de données ouvertes. DVF. TraAM EMI 2019-2020 - SNT. Les applications alimentaires sont-elles fiables ?

TraAM EMI 2019-2020 - SNT

Dans le cadre du nouvel enseignement de Sciences Numériques et Technologie, les activités proposées sont axées sur le "décodage" de l'information fourni par les applications alimentaires. Dans un premier temps, à l'occasion d'un sondage d'opinion, les élèves décryptent les choix opérés par l'application Yuka d'utiliser des codages particuliers pour délivrer des informations rapides, diverses et claires aux consommateurs. Dans un second temps, les élèves réalisent des opérations d'analyse de la base de données ouverte, openfoodfacts, afin de comprendre le fonctionnement de l'algorithme utilisé par les applications alimentaires. Par ailleurs, ils vérifient la conformité de l'application au RGPD, au travers d'une recherche sur les conditions générales d'utilisations. Pix - Gérer des données - Fichiers et propriétés. SNT : Les données structurées et leur traitement. Une stratégie européenne pour les données - La revue européenne des médias et du numérique.

Vers un espace européen des données La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a présenté au Parlement européen, le 19 février 2020, les ambitions de l’Union européenne s’agissant de l’utilisation des données et de l’intel­ligence artificielle.

Une stratégie européenne pour les données - La revue européenne des médias et du numérique

De nombreux domaines sont concernés, la cybersécurité, les infrastructures critiques, les compétences, la formation et l’éducation au numérique, mais également la démocratie ou encore les médias. Le rapport détaille la stratégie que la Commission souhaite mener afin que l’Europe devienne un acteur majeur de l’économie des données, en créant un « espace européen des données ». Youtube. Comprendre le Big Data à travers les films de cinéma. Le Big Data, tout le monde en parle et pourtant, nous ne réalisons pas à quel point ces nouvelles technologies nous touchent tous les jours.

Comprendre le Big Data à travers les films de cinéma

Du bitcoin à la blockchain. Blockchain et RGPD : quelles solutions pour un usage responsable en présence de données personnelles. La CNIL a reçu des demandes concrètes d’acteurs privés comme publics, provenant en particulier du secteur de la santé et des institutions financières et concernant à la fois des acteurs publics, de grandes entreprises ou des startups.

Blockchain et RGPD : quelles solutions pour un usage responsable en présence de données personnelles

Elle a pu constater, au cours de ces divers échanges, que la Blockchain recouvre des réalités très variables. En effet, elle peut servir au transfert d’actifs (ex : Bitcoin ou titres de propriété), être utilisée comme un registre qui assure une traçabilité (ex : certification de diplômes) ou enfin pour le lancement d’un « contrat intelligent » (ou smart contract). Ce dernier terme désigne un programme autonome qui « fige » dans la Blockchain et sous la forme d’un algorithme un accord trouvé par deux personnes. Académie des technologies. Les centres de données, « cloud » inclus, stockent les mégadonnées (big data) numériques de l’humanité sur disques durs et bandes magnétiques dont la durée de vie limitée oblige à de dispendieuses recopies tous les cinq à sept ans ; ils représentent des « gouffres » pour les ressources en terrain, électricité, eau et matériaux rares.

Académie des technologies

En comparaison, le stockage à l’échelle moléculaire sur un polymère tel que l’ADN, permettrait une densité supérieure d’un facteur dix mil- lions, une conservation prolongée d’un facteur dix mille sans recopie périodique, pour une consommation électrique quasi-nulle. En effet, l’ADN est stable à tem- pérature ordinaire durant plusieurs millénaires et il peut être aisément dupliqué ou volontairement détruit. Les technologies requises existent. Mais au fait, c’est quoi une donnée personnelle ? Le 28 janvier marque la journée de la protection des données.

Mais au fait, c’est quoi une donnée personnelle ?

Mais de quelles données parle-t-on ? Si vous occupez le poste de « data protection officer », soit délégué à la protection des données, vous connaissez certainement déjà le sens de la journée du 28 janvier. Pour les autres, il faut savoir que ce jour célèbre la protection des années. L’évènement est ancien : il a en effet été institué en 2007 par le Conseil de l’Europe, et repris depuis par la Commission européenne. Qu'est-ce qu'une donnée personnelle ? Pour une politique publique de la donnée.

À l’avant-garde des pays européens en matière de politique de la donnée depuis 2013, la France perd peu à peu son avance Par cet état des lieux de la politique publique de la donnée et des codes sources, menée en France depuis 2013, les auteurs de ce rapport se désolent du débat actuel en la matière, inapproprié selon eux, avec des arguments se limitant à être « pour ou contre l’ouverture » des données.

Pour une politique publique de la donnée

Un réel effort doit être fait pour démontrer l’intérêt d’une politique ambitieuse en la matière, notamment au sein de l’État où l’idée même de l’ouverture des données est loin de faire l’unani­mité. La politique publique de la donnée et des codes sources n’est pas « juste un enjeu “tech” ». Democracy - La ruée vers les datas. L’ADN sera-t-il l’avenir du stockage de données ? À l’heure où nous produisons de plus en plus de données et où se pose la question de leur stockage, les biologistes s’intéressant à ce problème se sont tournés vers l’un des « disques durs » les plus compacts qui soient : l’ADN.

L’ADN sera-t-il l’avenir du stockage de données ?

En effet, cette macromolécule présente dans toutes les cellules contient toute l’information nécessaire au bon fonctionnement et à la reproduction de celles-ci, encodées dans ses quatre bases A, C, G et T. Sur ce principe, ne pourrait-il pas contenir des données créées par l’être humain, encodées dans les bases de l’ADN comme elles le sont sous forme de 0 et de 1 dans un ordinateur ? Archiver les mégadonnées au-delà de 2040 : la piste de l'ADN - Académie des technologies. Les centres de données, « cloud » inclus, stockent les mégadonnées (big data) numériques de l’humanité sur disques durs et bandes magnétiques dont la durée de vie limitée oblige à de dispendieuses recopies tous les cinq à sept ans ; ils représentent des « gouffres » pour les ressources en terrain, électricité, eau et matériaux rares.

Archiver les mégadonnées au-delà de 2040 : la piste de l'ADN - Académie des technologies

En comparaison, le stockage à l’échelle moléculaire sur un polymère tel que l’ADN, permettrait une densité supérieure d’un facteur dix mil- lions, une conservation prolongée d’un facteur dix mille sans recopie périodique, pour une consommation électrique quasi-nulle. En effet, l’ADN est stable à température ordinaire durant plusieurs millénaires et il peut être aisément dupliqué ou volontairement détruit. Les technologies requises existent. La France est en avance en matière de données publiques ouvertes. La pandémie de Covid-19 donne à voir l’efficacité d’une politique publique de la donnée dès lors qu’elle est ambitieuse. Selon l’OURdata Index (indice Open, Useful and Re-usable data) de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la France est l’un pays les plus avancés au monde en matière de données publiques ouvertes. Rendre disponibles les données publiques des administrations et les mettre à la disposition de tous démontre qu’aucun acteur n’est capable, isolément, d’interpréter l’avalanche de données fournie par nos sociétés modernes.

Tout savoir sur le Cloud : définition, comparatif, acteurs, utilité. Cloud est un terme anglais qui signifie Nuage. En informatique, le cloud computing désigne un ensemble de systèmes de stockage en ligne distants. En d’autres termes, il s’agit d’un système qui permet de stocker vos données sur des ordinateurs distants (appelés serveurs) et qui ne sont accessibles que par Internet. Ce qu'il faut savoir sur le cloud (nuage informatique) On en parle de plus en plus sans vraiment savoir ce que c'est : le cloud, le nuage informatique. A quoi ça sert et comment ça marche ? Le cloud, le nuage, comme son nom l'indique, est une sorte de gigantesque mémoire informatique qui plane au-dessus de nos têtes et à laquelle on peut accéder de n'importe où. L'idée est de ne plus avoir besoin d'être physiquement à un endroit pour consulter ses documents de travail ou ses photos de vacances.

Gaia-X : un écosystème des clouds européens. Vingt-deux grandes entreprises françaises et allemandes participent à la création d’un « écosystème de données européen » pour asseoir leur souveraineté numérique, promouvoir les valeurs européennes quant à la gestion des données personnelles et s’émanciper de l’offre des grandes entreprises américaines dont notamment Google, Microsoft ou Amazon qui, toutefois, ne sont pas écartées du projet.

Le ministre de l’économie et des finances, Bruno Le Maire, et son homologue allemand, Peter Altmaier ont officialisé cette coopération le 4 juin 2020. L’idée d’un « écosystème de données européen » avait été annoncée à Berlin en février 2019 lors d’un sommet sur le numérique, puis concrétisée par une feuille de route rendue publique en octobre de la même année, visant à établir une coopération entre les deux pays dans le domaine de l’intelligence artificielle et du cloud avec comme objectif premier de « conserver une souveraineté européenne sur les données ». Le grand écart entre Gaia-X et le Health Data Hub. Covid-19. La crise sanitaire favorise l’usage du bossware.

L’ONG américaine Public Citizen et l’EFF (Electronic Frontier Fondation) mettent en garde contre le développement, au sein des entreprises, de logiciels de contrôle, voire de surveillance, des salariés. « La vitesse à laquelle ces nouvelles technologies ont été déployées est préoccupante », s’inquiète Public Citizen, association de défense des consommateurs américains, qui explique cet engouement par la nécessité de faire revenir les salariés sur leur lieu de travail. Dans un rapport intitulé « Workplace Privacy After Covid-19 », publié en août 2020, l’ONG recense au moins cinquante nouvelles applications et technologies de contrôle des salariés, commercialisées depuis le début de la pandémie.

C’est sans compter celles qui existaient déjà, et qui sont vendues aujourd’hui comme « outils de veille » de la propagation du coronavirus au sein de l’entreprise. Le nombre de salariés concernés est loin d’être négligeable. Sources : Le "Lac de données" de l'Ina, un projet pour placer la donnée au cœur… 12 façons de présenter les données. Ce module vous permet de visualiser des données selon 12 modèles différents : Diagramme colonne Diagramme ligne Traits et points Aires Bulles Lolipop Altères Camembert Radar Polar Chronologie Nuage de mots Vous pouvez ensuite modifier les données comme bon vous semble. La réalité physique du monde numérique.

Le stockage des données à distance, gage de sécurité ou pari risqué ? Traam 2020-2021 - 4ème - SNT - Regarder des vidéos, est-ce polluer ? Aller au contenu principal. Les États-Unis victimes d’une gigantesque opération de cyberespionnage. Dans le cyberespace, le gouvernement des États-Unis, première puissance mondiale et Microsoft, l’une des entreprises américaines les plus rentables de la planète ont fait figure de géants aux pieds d’argile face à l’ampleur de la plus grande opération de cyberespionnage dont ils ont été victimes pendant près de neuf mois, sans jamais s’en apercevoir.

L’opération aurait débuté en mars 2020. Elle a été dévoilée par la société de cybersécurité FireEye le 13 décembre 2020, elle-même victime de cyberattaques. Il s’agit d’une Advanced Persistent Threat, une « menace persistante avancée » qualifiée de majeure, selon la typologie propre au secteur de la sécurité informatique. Quand le décideur européen joue le jeu des Big techs… Le « fog computing » est l’avenir du cloud – en plus frugal et plus efficace. Quand l’open data et l’open source deviennent des leviers pour accélérer la transition écologique.