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Conflit syrien.

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Syrie : La guerre pour le gaz et les gazoducs continue ! | Mondialisation - Centre de Recherche sur la Mondialisation. Début Avril 2013 le Dr. Imad Fawzi Shueibi parlait pour la première fois sur une chaine de télévision, en l’occurrence la chaîne Al-Mayadeen, des découvertes pétro-gazières en Méditerranée orientale transformant certains pays du Moyen-Orient en États producteurs et exportateurs de gaz et de pétrole.

Une véritable surprise, pour les non initiés, concernant essentiellement la Syrie, le Liban, Chypre, Israël et la Turquie. Il avait alors divulgué les documents et graphiques de deux sociétés norvégiennes spécialisées dans l’exploration du sous-sol ayant ratissé la côte méditerranéenne sur 5000 Km2. Ces informations expliquent en grande partie l’intensité du conflit autour et contre la Syrie dont les ressources seraient de loin les plus importantes, d’autant plus qu’il nous apprend que la société franco-américaine « CGGVeritas » est entrée sur la ligne en rachetant les deux sociétés norvégiennes qui n’avaient pas livré tous leurs petits secrets. 1. 2. 3.

Dans un délai de 10 ans. 4. 5. 6. 7. La Syrie se trouve sur la plus colossale plaque de réserve de gaz du monde, d'où la guerre ! - VIVE LA RÉVOLUTION. Refondation énergétique du Moyen-orient : la plaque tectonique syrienne Par Chems Eddine CHITOUR le 14 juillet 2012 « Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent. » - Jean-Paul Sartre (extrait du livre Le Diable et le Bon Dieu) Un conflit qui dure depuis seize mois et qui aurait fait des milliers de morts selon une comptabilité tenue soigneusement par les médias des pays occidentaux qui attribuent insidieusement les morts uniquement au régime de Damas et non aussi aux insurgés armés lourdement par les Occidentaux avec l’argent des roitelets du Golfe.

Les chrétiens ont peur de servir de variables d’ajustement d’un conflit qui les dépasse. Ce conflit, un siècle après les accords de Sykes-Picot, met en jeu les mêmes acteurs avec en plus, les Etats-Unis, la Russie et la Chine et…Israël. La diabolisation des médias occidentaux Et si la version matraquée tous les jours par les médias français n’était pas la bonne ? Chems Eddine Chitour. Les vraies raisons de la guerre en Syrie : le gazoduc du Qatar | Riposte Laïque. On croit évidement que la guerre en Syrie est due à une contagion des « ex » printemps arabes, et que les populations syriennes galvanisées en auraient profité pour réclamer leur part de liberté, avant d’être récupéré par l’Etat Islamique.

Cette vision irénique de l’origine du conflit syrien ne semble toutefois pas résister à une autre réalité géo-politique et économique beaucoup plus prosaïque. En effet, selon des informations du journal libanais Al-Akhbar publiées en 2012, les Qataris (les mêmes que ceux du PSG….) avaient un plan, approuvé par l’administration Obama pour construire un gazoduc Qatari pour transporter le gaz vers l’Europe via la région syrienne de Homs. Bachar El Assad, étant l’allié des Russes, il devait tomber pour que ce projet puisse aboutir. Selon ce même journal, la comparaison de la carte des zones de combat avec celle du tracé du gazoduc qatari démontre bien la relation entre l’activisme armé et l’objectif de contrôler, coûte que coûte, ces zones syriennes. La guerre de Syrie est encore une guerre pour le pétrole et le gaz. La Syrie est un point de passage stratégique pour l'acheminement des hydrocarbures.

C'est aussi un gigantesque réservoir de gaz... Une situation qui n'est évidemment pas sans rapport avec la terrible guerre civile dans laquelle a été plongé le pays en 2011. Depuis la fin de la Guerre froide, les États-Unis essaient de casser la dépendance de l'Union européenne au gaz et au pétrole russe. Pour cela, ils favorisent des oléoducs et gazoducs s'alimentant dans les réserves d'Asie centrale et du Caucase mais qui évitent de traverser l'espace d'influence russe. Ils encouragent le projet Nabucco, lequel part d'Asie centrale, passe par la Turquie (pour les infrastructures de stockage), visant ainsi à rendre l'Union européenne dépendante de la Turquie, puis par la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie, l'Autriche, la République tchèque, la Croatie, la Slovénie et l'Italie. Nabucco a été lancé pour concurrencer deux projets russes qui fonctionnent aujourd'hui? : Syria: Ultimate Pipelineistan War. Syria is an energy war.

With the heart of the matter featuring a vicious geopolitical competition between two proposed gas pipelines, it is the ultimate Pipelinestan war, the term I coined long ago for the 21st century imperial energy battlefields. It all started in 2009, when Qatar proposed to Damascus the construction of a pipeline from its own North Field – contiguous with the South Pars field, which belongs to Iran – traversing Saudi Arabia, Jordan and Syria all the way to Turkey, to supply the EU. Damascus, instead, chose in 2010 to privilege a competing project, the $10 billion Iran-Iraq-Syria, also know as «Islamic pipeline». The deal was formally announced in July 2011, when the Syrian tragedy was already in motion. In 2012, a Memorandum of Understanding (MoU) was signed with Iran. Until then, Syria was dismissed, geo-strategically, as not having as much oil and gas compared to the GCC petrodollar club. But insiders already knew about its importance as a regional energy corridor.

Syrie : sang contre pétrole, l’ultime guerre du Pipelinestan – LE SAKER FRANCOPHONE. Non, la Syrie n’ est pas connue pour avoir beaucoup de pétrole elle-même, mais elle est en travers du chemin du gaz du Moyen-Orient vers l’UE Par Pepe Escobar – Le 8 décembre 2015 – Source Russia Insider La guerre en Syrie est une guerre pour l’énergie. Avec, au cœur de la question, une compétition géopolitique vicieuse entre deux projets de gazoducs, il s’agit de la guerre ultime du Pipelinestan, le terme que j’ai forgé il y a longtemps pour désigner les champs de bataille impériaux de de l’énergie au XXIe siècle. Tout a commencé en 2009, lorsque le Qatar a proposé à Damas la construction d’un pipeline à partir de ses gisements de pétrole du Nord – contigus au champ de South Pars, qui appartient à l’Iran – traversant l’Arabie saoudite, la Jordanie et la Syrie jusqu’en Turquie, pour desservir l’UE.

Damas, à la place, a choisi en 2010 de privilégier un projet concurrent, Iran-Irak-Syrie, aussi surnommé le gazoduc islamique, d’un coût de $10 Mds . La Turquie à la croisée des chemins. La guerre des gazoducs américano-russe en Syrie pourrait déstabiliser Poutine. Ces dernières années, l’insistance du royaume saoudien pour pomper du pétrole à haute capacité a entraîné une chute spectaculaire des prix du brut. Ses conséquences ont mis à mal les principaux rivaux de l’Arabie saoudite au sein de l’OPEP, tels que l’Iran et le Venezuela. Elles ont également touché durement la Russie. L’agence de notation Standard & Poor’s prévoit une hausse du déficit budgétaire de la Russie, qui devrait atteindre 4,4 % du PIB cette année. Le propre ministère des Finances de la Russie concède que si les dépenses continuent à ce rythme, ses fonds de stabilisation pétroliers seront épuisés en seize mois, soit environ à la fin de l’année prochaine.

Pendant ce temps, au cours de la dernière année, les revenus réels ont observé une baisse de 9,8 %, tandis que les prix des produits alimentaires ont grimpé de 17 %, augmentant ainsi le risque de troubles civils. La faillite d’un système Sous ces difficultés financières grondent des problèmes systémiques plus profonds. Syrie : Assad, l'EI et la Russie s'entendent pour exploiter un champ de gaz. Il semble que l'alliance objective entre l'Etat islamique et le camp Assad-Russie soit plus qu'objective...

Selon des informations révélées par Foreign Policy et confirmées par Le Monde, le champ de gaz de Twinan, à 75 kilomètres de Raqqa, la capitale de facto de l'Etat islamique, est exploitée conjointement au profit du régime d'Assad et de l'Etat islamique, avec l'aide d'une société russe. En 2007, le gouvernement syrien avait accordé un contrat de construction clé-en-main d'une installation sur le champ à un consortium de la société Stroytransgaz, détenue par l'oligarque Guennadi Timtchenko, et d'une société syrienne. Des travaux qui ont naturellement été interrompus par la guerre civile syrienne...jusqu'à ce que la zone tombe aux mains de l'Etat islamique. A ce moment-là, les travaux reprennent. Les deux se seraient également répartis la production d'une centrale électrique d'Alep, alimentée par le gaz de Twinan. atlantico sur facebook notre compte twitter Lire ou relire plus tard.

La guerre de Syrie est encore (et aussi) une guerre pour le pétrole et le gaz : sang contre pétrole, l’ultime guerre du Pipelinestan ! – Le blog A Lupus un regard hagard sur Lécocomics et ses finances. Non, la Syrie n’ est pas connue pour avoir beaucoup de pétrole elle-même, mais elle est en travers du chemin du gaz du Moyen-Orient vers l’UE Par Pepe Escobar – Le 8 décembre 2015 – Source Russia Insider / Le Saker Francophone La guerre en Syrie est une guerre pour l’énergie.

Avec, au cœur de la question, une compétition géopolitique vicieuse entre deux projets de gazoducs, il s’agit de la guerre ultime du Pipelinestan, le terme que j’ai forgé il y a longtemps pour désigner les champs de bataille impériaux de de l’énergie au XXIe siècle. Tout a commencé en 2009, lorsque le Qatar a proposé à Damas la construction d’un pipeline à partir de ses gisements de pétrole du Nord – contigus au champ de South Pars, qui appartient à l’Iran – traversant l’Arabie saoudite, la Jordanie et la Syrie jusqu’en Turquie, pour desservir l’UE.

Damas, à la place, a choisi en 2010 de privilégier un projet concurrent, Iran-Irak-Syrie, aussi surnommé le gazoducislamique, d’un coût de $10 Mds . En Syrie, le régime, la Russie et l’Etat islamique unis pour exploiter un champ de gaz. Le complexe gazier de Twinan, dans l’est du pays, a fait l’objet d’un accord entre régime et djihadistes. Avec l’aide technique d’une société russe. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Madjid Zerrouky A 75 kilomètres au sud-ouest de Rakka, la « capitale » syrienne de facto de l’organisation Etat islamique (EI), des torchères continuent d’éclairer de nuit un coin perdu dans la steppe. Le champ de gaz de Twinan et son usine attenante ont été épargnés par les bombardements et les combats qui ravagent le pays, si l’on excepte un raid aérien de la coalition menée par les Etats-Unis, qui a brièvement interrompu la production début décembre 2015.

Dès octobre 2014, le collectif d’activistes anti-EI « Rakka se fait massacrer en silence » dénonçait un arrangement entre le régime et les djihadistes pour se partager la production du site. Un contrat au profit d’une société russe On retrouve la trace de ce contrat en 2013 sur le site Neftegaz.ru pour ce qui concerne Stroytransgaz. Sans titre. Après la Syrie, Moscou se tourne vers la Tunisie et le Maroc. International URL courte Le retrait des forces russes de Syrie s'inscrit dans un contexte de multiplication des initiatives du Kremlin relatives à la politique étrangère, écrit Benjamin Wirtz, professeur d'histoire-géographie dans un éditorial pour Boulevard Voltaire. "Le 14 mars, Sergueï Lavrov n'a pas manqué d'assurer son homologue tunisien du soutien de la Russie alors même que la Tunisie, confrontée à la montée du mouvement islamique Ennahdha, est menacée par le chaos libyen et la montée du djihadisme dans son étranger proche africain, comme en Côte d'Ivoire", juge-t-il.

Et d'ajouter que parallèlement le président Poutine soutient le Maroc dans l'affaire du Sahara occidental, donnant à cette monarchie l'espoir d'une stabilité. Une nouvelle politique méditerranéenne de la Russie est en train de se former, considère M.Wirtz. Désormais, le Kremlin peut s'appuyer sur son expérience en Syrie pour rassurer ses partenaires nord-africains et proche-orientaux sur la fermeté de sa parole donnée. Le Conflit Syrien Pour Les Nuls – Souria Houria – Syrie Liberté – سوريا حرية. Rappeler, expliquer, décrypter www.LeConflitSyrienPourLesNuls.org A force d’entendre cette réflexion, des journalistes et universitaires franco-syriens ou français ont eu l’idée de ce travail d’explication. Face à un conflit qui ne cesse de s’étendre et de s’aggraver depuis plus cinq ans, il est compréhensible de se trouver désorienté. L’évolution et les rebondissements de cette crise aux dimensions régionales et internationales, ajoutés à l’escalade de la violence et des horreurs, sont décourageants en effet. « Renoncer à comprendre… » comme on l’entend aussi de plus en plus souvent, est-ce encore possible dès lors que les débordements de la crise syrienne sont maintenant ressentis partout ?

Souria Houria soutient avec enthousiasme ce travail qui permet de rendre plus lisible le conflit en Syrie. Le texte a désormais son site propre. Gros plan: qui est qui dans le conflit syrien? Le conflit armé en Syrie a éclaté à la mi-mars 2011 et a déjà tué plus de 220.000 personnes selon les données de l'Onu. Pour en venir à bout, pratiquement toutes les puissances mondiales — notamment la Russie et les États-Unis — ont uni leurs forces.

Vendredi, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et son homologue américain John Kerry sont parvenus à s'entendre sur la voie à suivre en vue de la résolution de cette crise longue de cinq ans et demi. Les négociations entre les deux diplomates ont duré 14 heures. Le lendemain de cette rencontre, on fait le point sur les principales forces en présence en Syrie et dans la région. © Sputnik. Mikhaïl Alaeddin Des quartiers d'Alep après la libération La moitié du royaume d'Assad Les autorités syriennes sont impliquées dans le conflit depuis son déclenchement. Des soldats syriens à Alep La deuxième vie de l'Armée syrienne libre L'opposition dite "modérée" est un autre acteur du conflit depuis le début. Les groupes terroristes. Comprendre la situation en Syrie en 6 minutes.

Cinq ans après, où en sont les pays des printemps arabes? - Moyen-Orient. La Tunisie serait-elle une exception en matière de printemps arabes ? Initiateurs du mouvement, le 14 janvier 2011 par la chute du régime de Ben Ali, les Tunisiens élisent au suffrage universel, en décembre 2014, Beji Caïd Essebsi. La même année, une nouvelle Constitution est adoptée et le parti anti-islamiste Nidaa Tounès arrive en tête devant les islamistes d'Ennahda lors des législatives. Le seul Etat laïc du monde arabe peut s’enorgueillir du fait que le processus politique réalisé dans le pays a valu au Quartet du dialogue national tunisien le prix Nobel de la paix 2015. Même si la menace jihadiste est de plus en plus présente, frappant de plein fouet le secteur du tourisme, poumon d'une économie déjà en berne, la Tunisie semble avoir réussi sa transition politique et démocratique.

Les autres pays traversés par les printemps arabes il y a cinq ans ne peuvent se prévaloir de la même réussite. L’Egypte toujours instable Libye, nouveau refuge des jihadistes du groupe EI ? Comment la Syrie a ruiné le Printemps arabe. A la fin du mois de mars 2011, au moment du premier grand discours de Bachar el-Assad mentionnant les émeutes en Syrie, l'ironie s'était emparé de la twittosphère arabe. «Encore deux petits discours et puis s'en va!» , pouvait-on lire un peu partout. Tel avait été le scénario suivi par Zine el-Abidine Ben Ali en Tunisie et Hosni Moubarak en Égypte: face à une mobilisation populaire de plus en plus massive, un président balbutiait quelques réformes insignifiantes puis disparaissait à tout jamais après son troisième discours.

Et si Assad préférait l'usage de la force contre son propre peuple, il fallait alors s'attendre à un scénario à la libyenne: une intervention militaire dirigée par l'Otan sous l'égide des Nations Unies. La magie du troisième discours a depuis longtemps déserté les conversations. «[D]epuis juin 1967, la politique arabe a cessé d'être rigolote. Violence farouche et quotidienne Terrorisme et djihadisme Un consensus qui n'a jamais existé Une guerre froide régionale Marc Lynch. Syrie, Égypte, Libye, Tunisie : cinq ans après, le printemps ou le chaos ?