background preloader

Connectivisme

Facebook Twitter

What is a MOOC? Connectivism: A Learning Theory for the Digital Age. Connectivism: A Learning Theory for the Digital Age December 12, 2004 George Siemens Update (April 5, 2005): I've added a website to explore this concept at www.connectivism.ca Introduction Behaviorism, cognitivism, and constructivism are the three broad learning theories most often utilized in the creation of instructional environments. These theories, however, were developed in a time when learning was not impacted through technology. Over the last twenty years, technology has reorganized how we live, how we communicate, and how we learn. Learners as little as forty years ago would complete the required schooling and enter a career that would often last a lifetime.

“One of the most persuasive factors is the shrinking half-life of knowledge. Some significant trends in learning: Many learners will move into a variety of different, possibly unrelated fields over the course of their lifetime. Background Driscoll (2000, p14-17) explores some of the complexities of defining learning. Conclusion: Ob_dcd9c2_apprentissage-connexioniste-et-mooc.pdf. Connectivisme? Avec François Guité. Conférence Michel Serres - Pres héSam - 29 janvier 2013.

Intelligence collective, vers une matière grise 2.0 ? Intelligence collective, vers une matière grise 2.0 ? Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs).

Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage. L'ordre et le désordre en enseignement. Marcel Lebrun analyse finement un scénario connectiviste mis en place dans le cadre d'un projet du Réseau des chercheurs en technologies de l'information et de la communication pour l'enseignement (RES@TICE) dans une vidéo publiée sur le blog "Si loin Si proche". (janvier 2009). Le connectivisme est une théorie de l'apprentissage, développée par George Siemens et Stephen Downes, basée sur les apports des nouvelles technologies.

"Essentiellement, écrit François Guité, le connectivisme constitue un modèle d’apprentissage qui reconnaît les bouleversements sociaux occasionnés par les nouvelles technologies, lesquels font en sorte que l’apprentissage n’est plus seulement une activité individualiste et interne, mais est aussi fonction de l’entourage et des outils de communication dont on dispose. " Certains assimilent cette théorie à du socioconstructivisme, l'apprentissage individuel qui se réalise en interaction avec d'autres sujets.

L'ordre et le désordre Combiner l'ordre et le désordre Voir : Les solutions alternatives contre l'infobésité. L'infobésité est le terme québécois qui désigne la surcharge d'information (information overload en anglais). Elle décrit la situation d'abondance d'information, mais aussi d'incapacité d’assimilation et de réemploi de l’information, pour l’individu et pour l’organisation, ce qui pourrait avoir des conséquences sur la productivité et l’efficacité. Dans un article paru sur le blog Culture & TIC déjà en 2005, Olivier Thiebaut parlait de l'infobésité comme étant le mal de la société de l'information et le décrivait comme suit : « Qui ne s’est jamais perdu dans la profusion de ses favoris Internet ? N’a jamais téléchargé en cas de besoin, des études, rapports et autres livres blancs finalement jamais lus ?

Recherché sur son disque dur un contenu "mis de côté" sans se souvenir où ni sous quelle forme (mél, document Word, PDF, page html, fichier multimédia) ? Ce sujet suscite beaucoup d'intérêt sur la Toile au point qu'il met aux prises deux tendances. Les solutions technologiques. Le connectivisme by Annick Arsenault Carter on Prezi. Connectivisme. Le Connectivisme favorise l'apprentisssage. Aujourd'hui, j'ai découvert un article rédigé par CONSCIOUNESS sur le Connectivisme, une démarche d'apprentissage adaptée au monde connecté dans lequel nous évoluons de plus en plus.

L'approche est intéressante à étudier dans le cadre de nos réflexions sur l'évolution des organisations personnelles, professionnelles et sociales dans lesquelles nous œuvrons quotidiennement. Le schéma ci-dessus est tiré des réflexions de François GUITÉ, Professeur d’anglais dans un Programme d’éducation internationale à Québec et maintenant au service du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) où il travaille avec l’équipe anglophone sur le Plan d’action sur la lecture à l’école.

What Is Connectivism?, A quick introduction to the topic of Connectivism. Downes on USTREAM. Educational. Le connectivisme, l’intelligence et la conscience globale et singulière | singularite. L'intelligence collective au service de la science. La science est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des seuls savants. (Carl Sagan) Dans une autre variante de l’intelligence collective, InnoCentive récompense quiconque de ses membres peut résoudre un problème. Le service fait appel à un réseau de plus de 145 000 ingénieurs et scientifiques dans 175 pays pour surmonter les obstacles qui ralentissent les entreprises.

Il ne s’agit qu’un exemple d’un vaste mouvement de la recherche libre (open research) qui bouleverse les pratiques usuelles de la science (New York Times : If You Have a Problem, Ask Everyone). À l’aube du maillage virtuel, on assiste à une myriade de nouvelles applications de l’intelligence collective et, à mon avis, à un nouveau secteur de développement économique. La capacité des réseaux virtuels à coconstruire le savoir constitue l’une des caractéristiques les plus négligées du connectivisme. (Image thématique : The Solution of the Riddle, par Joseph Kosuth) Par ricochet : L’apprentissage en réseau. L’éducation est un apprentissage social. Elle nous aide à grandir et à vivre. (John Dewey) Il n’est pas aisé, dans le maelström de la culture numérique, de cerner toute la théorie éducationnelle mêlée à ce vortex. Quelle différence, par exemple, fait-on entre le connectivisme et l’apprentissage en réseau?

Dans un billet remarquable pour sa compréhension de l’apprentissage en réseau et la qualité de ses graphiques, sans compter le calembour en titre, Bill Farren propose son modèle de l’apprentissage en réseau (Education for Well-being : Insulat-Ed). Ainsi, l’apprentissage en réseau peut être considéré davantage comme une approche de l’apprentissage (par opposition à une approche pédagogique), alors que le connectivisme se situe plutôt au plan des fondements psychologiques de l’apprentissage.

L’apprentissage en réseau n’est pas sans inconvénient. L’avantage des réseaux, toutefois, est qu’ils portent en eux les mécanismes pour remédier aux problèmes, comme tout système organique. Le Connectivisme favorise l'apprentisssage. Connectivisme. Le connectivisme, l’intelligence et la conscience globale et singulière | singularite.