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Gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC) La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est une méthode pour adapter – à court et moyen termes – les emplois, les effectifs et les compétences aux exigences issues de la stratégie des entreprises et des modifications de leurs environnements économique, technologique, social et juridique. La GPEC est une démarche de gestion prospective des ressources humaines qui permet d’accompagner le changement. Elle doit permettre d’appréhender, collectivement, les questions d’emploi et de compétences et de construire des solutions transversales répondant simultanément aux enjeux de tous les acteurs concernés : les entreprises, les territoires et les actifs. Les démarches de GPEC peuvent être réalisées à trois niveaux :

Egalité professionnelle : ce que dit le code du travail. À savoir ! Par quoi passe la reconnaissance au travail ? Untitled. Réforme de la participation - Une piste pour le coût du travail et la compétitivité des entreprises. La question du (sur)coût du travail fait l’objet de réponses multiples : les allègements de charges sur les bas salaires aux crédits d’impôts pour la compétitivité et l’emploi (CICE), en passant par les ordonnances du 22 septembre 2017 ...

Réforme de la participation - Une piste pour le coût du travail et la compétitivité des entreprises

La question du (sur)coût du travail fait l’objet de réponses multiples : les allègements de charges sur les bas salaires aux crédits d’impôts pour la compétitivité et l’emploi (CICE), en passant par les ordonnances du 22 septembre 2017 qui visent à « transformer » le droit du travail mais surtout rentre prévisible son coût, le gouvernement poursuit les efforts de ses prédécesseurs pour combler l’écart qui sépare notre pays de ses voisins et concurrents. Durée du travail d'un salarié à temps plein. Congé paternité : où en sommes-nous ? Depuis 2002, le congé de paternité s’élève à 11 jours en France.

Congé paternité : où en sommes-nous ?

Une situation qui pourrait évoluer. Le législateur vient d’accorder un congé de paternité supplémentaire de 30 jours quand les enfants sont hospitalisés immédiatement après la naissance. Dans le même temps le groupe de luxe Kering annonce la mise en place d’un congé payé de 14 semaines pour tous les pères ou « co-parents ». La situation, en France et en Europe. L’enjeu du congé paternité est double. La situation La France distingue trois types de congés en relation avec l’arrivée d’un nouvel enfant : Le congé de naissance : 3 jours,Le congé de paternité : 11 jours consécutifs pour une naissance simple et dix-huit jours pour une naissance multiple,Le congé paternel, utilisé par seulement 7% des parents disposant d’un emploi à temps plein[1].

Quand les deux parents travaillent, les hommes ayant le plus souvent recours au congé de paternité appartiennent au secteur public. Emploi - Plus d’un quart des entreprises utilisent un logiciel de recrutement. Alternance - Une reforme pour lever les freins à l’apprentissage. « La formation en alternance nécessite une révolution copernicienne », n’a pas craint d’affirmer Muriel Pénicaud.

Alternance - Une reforme pour lever les freins à l’apprentissage

En parallèle du chantier de la formation professionnelle, la ministre du Travail a également lancé la réforme de l’apprentissage. Avec un cycle de négociation ouvert début novembre. Associant tous les acteurs du système : organisations syndicales et patronales, conseils régionaux, chambres consulaires… et une remise des copies elle aussi programmée en février. Pour que les nouvelles mesures concernant l’apprentissage figurent dans le projet de loi réformant la formation professionnelle et l’assurance chômage, espéré en avril. Dans cette négociation, quatre groupes de travail ont été mis en place, pour traiter l’ensemble des thématiques en jeu (du parcours de l’apprenti, au financement et à la gouvernance, aux offres de formation et de certification, etc.). Financement. Un ticket-restaurant bientôt plus avantageux pour les salariés ?

C’est un amendement - adopté - au projet de loi de finances qui devrait avoir des conséquences positives pour les 4 millions de salariés qui utilisent chaque jour un ticket-restaurant.

Un ticket-restaurant bientôt plus avantageux pour les salariés ?

Sur proposition de la députée Les Républicains Véronique Louwagie, le parlement a acté le changement d’indice de référence qui sert de base à la revalorisation de la part patronale - exonérée de cotisations sociales - du titre-restaurant. Exit l’indexation sur la première tranche du barème de l’impôt sur le revenu (article 81, 19° du Code général des impôts). Désormais, la part patronale sera fonction de l’indice des prix à la consommation (IPC). Pour rappel, les entreprises fixent librement le montant du titre-restaurant, mais, à ce jour, la loi les exonère de cotisations sociales seulement jusqu’à 5,52 euros sur chaque "ticket-restau". >> À lire aussi - Prime Macron : le gouvernement veut durcir son accès, certaines entreprises pourraient ne pas la verser. DCG - Droit, Compta, Gestion... Assurance-chômage: ces trois nouvelles règles qui entrent en vigueur le 1er novembre.

Le changement du mode de calcul de l’allocation, un autre volet important de la réforme, ne s’appliquera lui qu’en avril prochain.

Assurance-chômage: ces trois nouvelles règles qui entrent en vigueur le 1er novembre

Comme la réforme des retraites, le projet de réforme de l’assurance-chômage a fait partie des mesures-phares de la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron. Et comme la première, la seconde a suscité des vives réactions, notamment du côté des syndicats et des organisations patronales. Ce 1er novembre, c’est pourtant un nouveau pas de plus qui est fait concernant l’assurance-chômage, en attendant le changement du mode de calcul de l’allocation, qui aura lieu en avril prochain.

Pour l’heure, ce sont trois nouvelles règles d’indemnisation pour les demandeurs d’emploi qui vont entrer en rigueur ce vendredi. ● Un accès plus dur à l’indemnisation.