background preloader

AFRIQUE

Facebook Twitter

SEFA to support solar power plant in Chad: pv-magazine. Tanzanie : la construction du parc éolien de Singida à nouveau reportée. (Agence Ecofin) - La construction d’une centrale éolienne près de la ville de Sindiga a été reportée suite au changement, par Exim Bank, des termes du prêt de 132 millions de dollars qu’elle devait accorder au gouvernement tanzanien dans ce cadre. « Le projet a été différé à cause des difficultés à obtenir un prêt concessionnel auprès d’Exim Bank.

Tanzanie : la construction du parc éolien de Singida à nouveau reportée

La banque a augmenté son taux d’intérêt, le faisant passer de 1% à 2% et a ramené le délai de remboursement de 25 ans à 20 ans» a expliqué le ministère de l’Energie et des minéraux dans un communiqué. Ce projet de construction est conjointement dirigé par la National Development Corporation (NDC), le centrale énergétique publique TANESCO et Power Pool East Africa Ltd. Les travaux de cette centrale d’une capacité de 50 MW pouvant être étendus à 300 MW auraient dû démarrer en 2013, mais avaient été repoussés faute de financement.

Malawi : l’Agence américaine pour le développement subventionne une centrale hydroélectrique. (Agence Ecofin) - L’Agence américaine pour le commerce et le développement (USTDA) vient d’accorder une subvention au ministère des ressources naturelles, de l’énergie et des mines du Malawi.

Malawi : l’Agence américaine pour le développement subventionne une centrale hydroélectrique

Ces fonds serviront à la construction d’un barrage hydroélectrique sur la rivière Luweya dans le district de Nkhata Bay. La première phase de ce projet consistera en une station hydroélectrique au fil de l’eau, c'est-à-dire sans retenue d’eau d’une capacité de 15 MW. Cette capacité sera par la suite portée à 35 MW grâce à la mise en place, dans la seconde phase du projet, du système international de roue à eau. L’Afrique subsaharienne constitue «l’une des bonnes surprises» dans les EnR, selon Ernst & Young. (Agence Ecofin) - L’Afrique subsaharienne est l’une des régions les plus attractives au monde en matière d’énergie renouvelable.

L’Afrique subsaharienne constitue «l’une des bonnes surprises» dans les EnR, selon Ernst & Young

C’est ce qu’a révélé le dernier rapport trimestriel du groupe Ernst et Young (E&Y) sur l’attractivité des pays en matière d’énergie renouvelable. Selon cette étude, quelque 300 milliards de dollars ont en effet été investis dans les énergies renouvelables au cours de l’année 2014, dépassant les investissements effectués dans les énergies fossiles et nucléaire. En Afrique subsaharienne, ces investissements ont connu un développement sans précédent ce qui fait de la région « l’une des bonnes surprises » sur ce marché selon E&Y. Cette tendance devrait se poursuivre puisque selon l’Agence internationale de l’Energie, presque 1 milliard de personnes devraient avoir accès à l’énergie d’ici 2040 dans la région. L’Ouganda empruntera 1,4 milliard $ à Eximbank China pour la construction du barrage de Karuma. (Agence Ecofin) - Le gouvernement ougandais a obtenu l’aval du Parlement pour une demande de prêt de 1,4 milliard de dollars auprès de la banque chinoise Exim Bank.

L’Ouganda empruntera 1,4 milliard $ à Eximbank China pour la construction du barrage de Karuma

Ces fonds seront consacrés à la construction du barrage de Karuma, de 600 MW de capacité, à l’installation d’un réseau de transmission pour l’ouvrage et à la construction de trois sous-stations. Selon l’accord de prêt, 789,3 millions $ seront remboursés en 20 ans, à partir du début d’exploitation du barrage. Les 645,82 millions $ restants seront remboursés en 15 ans, avec un taux annuel de 4%. Le gouvernement ougandais complétera 253,26 millions de dollars qui permettront de boucler le financement des travaux dont le cout total est de 1,6 milliard de dollars. Pour le R20, l’Afrique doit faire le saut technologique en passant directement aux énergies renouvelables. (Agence Ecofin) - Comme elle l’a fait avec succès pour les télécoms en passant directement au mobile sans développer de grands réseaux filaires, l’Afrique doit réaliser un autre saut technologique en passant directement aux énergies renouvelables.

Pour le R20, l’Afrique doit faire le saut technologique en passant directement aux énergies renouvelables

C’est la position que le R20 recommande aux pays africains de défendre dans le cadre des négociations à venir à Paris, cette fin d’année, lors de COP 21. Entretien avec Christophe Nuttall, directeur exécutif du R20. Christophe Nuttall : « Nous conseillons à l’Afrique de se présenter comme le futur de l’économie verte ». Agence Ecofin : Pourquoi le R20 vise-t-il prioritairement les régions, plutôt que les organisations étatiques ou sous-régionales ? Platinum Power obtient l’appui de Brookstone pour ses projets de plus de 1000 MW en Afrique. (Agence Ecofin) - Platinum Power SA, société marocaine basée à Casablanca, a annoncé le 26 mars être désormais à même de réaliser dans les meilleures conditions son ambitieux plan de développement avec un pipeline de projets de plus de 1000 MW sur le continent africain.

Platinum Power obtient l’appui de Brookstone pour ses projets de plus de 1000 MW en Afrique

Sa solide situation financière est consécutive à une augmentation de son capital d’un montant total de 30 millions de dirhams, souscrite pour l’essentiel par le fonds d’investissement américain Brookstone Partners, son actionnaire de référence. C’est une augmentation de capital complémentaire qui permettra de finaliser le développement des projets en cours, notamment mener à terme les différentes études techniques, préalables et nécessaires à la réalisation de tout projet d’infrastructure et d’énergie, apprend-on. La Grande Bretagne consacre 300 millions $ aux énergies renouvelables en Afrique et en Inde. (Agence Ecofin) - Le gouvernement britannique et la Green Investment Bank (GIB) investiront 200 millions de livres, soit 298 millions de dollars dans le développement des énergies renouvelables en Afrique et en Inde.

La Grande Bretagne consacre 300 millions $ aux énergies renouvelables en Afrique et en Inde

Ed Davey, le secrétaire d’Etat à l’énergie a précisé que la GIB a déjà mis en place de l’équipe en charge de la réalisation de ces différents investissements. L’Afrique du Sud et les pays de l’Afrique de l’Est seront les principaux bénéficiaires de ces investissements sur le continent. « J’annonce officiellement que le département de l’énergie et du changement climatique (DECC) met en place, avec la GIB, un joint-venture d’une valeur de 200 millions de livres dans le but de développer les énergies renouvelables et de promouvoir l’efficacité énergétique dans les pays en voir de développement.» a t-il déclaré.

OUGANDA

« L’Afrique doit moderniser sa gestion du transport d’électricité pour entrer dans une logique de marché » (Agence Ecofin) - Lancé à Genève en début d’année par Koly Keita, Geneva Development Capital a pour vocation de co-construire des projets de classe internationale.

« L’Afrique doit moderniser sa gestion du transport d’électricité pour entrer dans une logique de marché »

La société s’est entourée pour cela d’un team de spécialistes de haut niveau, comme la compagnie zurichoise Energy Consulting Group pour ce qui concerne les projets énergétiques. Dans cet entretien, Koly Keita nous explique les enjeux du transport de l’électricité en Afrique. Agence Ecofin : Dans la plupart des pays développés les producteurs d’électricité sont distincts du gestionnaire du réseau de transport (GRT). Quel intérêt y-a-t-il à séparer en Afrique ces deux activités et à promouvoir la concurrence dans le secteur de l’électricité ?

L’Afrique peut s’inspirer de l’Europe ou d’autres pays qui ont choisi, il y a quelques années, l’ouverture du marché en organisant leurs secteurs électriques autour de quatre activités distinctes : la production, le transport, la distribution et la commercialisation.

MALI

François Bayrou moque la soudaine passion de Jean-Louis Borloo pour les énergies africaines. (Agence Ecofin) - François Bayrou (photo à droite), président du MODEM, parti centriste français s’étonne de la récente passion de Jean-Louis Borloo (photo à gauche), ex-ministre de Nicolas Sarkozy, pour le secteur énergétique africain.

François Bayrou moque la soudaine passion de Jean-Louis Borloo pour les énergies africaines

Pour M. Bayrou, l'Afrique n’attend pas après Jean-Louis Borloo pour assurer son développement. « Mettez-vous à la place des Africains: on leur explique depuis Paris comment on va électrifier leur continent! », a déclaré François Bayrou. Jean-Louis Borloo, ex-avocat d’affaires, notamment de Bernard Tapie, et ex-ministre du gouvernement Sarkozy, a surpris les médias en septembre dernier, en déclarant vouloir concentrer désormais toute son activité sur le secteur énergétique africain.

GUINEE BISSAU

MAGHREB. BENIN. RDC. TOGO. SENEGAL. RWANDA. ZIMBABWE. ETHIOPIE. SOMALIE. TANZANIE. SIERRA LEONE. CAP VERT. AFRIQUE DU SUD. DJIBOUTI. Smart Villages launches Energy Innovation Challenge: pv-magazine. Home. SOTIR_2013_French. Lighting Africa expands into Nigeria: pv-magazine. En 2015, la zone UEMOA devrait réaliser une croissance supérieure à celle de la Chine. (Agence Ecofin) - Les pays de l’espace UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine) devraient réaliser une croissance économique de 7,2% en 2015, mieux que la Chine qui vise 7%.

En 2015, la zone UEMOA devrait réaliser une croissance supérieure à celle de la Chine

Selon des chiffres publiés le 4 mars par la Banque Centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO), le produit intérieur brut dans la zone avait augmenté de 6,6% en 2014, contre 5,9% en 2013. La zone UEMOA est notamment tractée par la Côte d'Ivoire qui enregistre une forte croissance depuis la fin de la guerre civile : +9,8% en 2012, +8,7% en 2013 et de 8 à 10% prévus pour 2014, grâce notamment aux investissements publics dans les infrastructures. L'UEMOA est composé de huit États membres: Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo. En 2015, la zone UEMOA devrait réaliser une croissance supérieure à celle de la Chine.

Cameroun

Kenya. Zambie. Institutions financement. Angola. Nigeria. Burkina. Ghana. EnR. S&P prévoit une amélioration des indicateurs macro-économiques du Maroc et de l’Egypte. (Agence Ecofin) - L’agence de notation Standard & Poor’s (S&P) a estimé, le 24 février, que les pays importateurs de pétrole dans la région MENA (Middle East-North Africa) devraient connaître une amélioration de leurs indicateurs macro-économiques en raison de la chute des cours du brut. «Les pays importateurs du pétrole dans la région MENA (Egypte, Jordanie, Liban, Maroc, Ras Al Khaimah et Sharjah) devraient bénéficier de la baisse des prix du pétrole, laquelle contribuerait à atténuer les pressions inflationnistes et à réduire les déficits des comptes courants», a précisé l’agence dans un rapport sur les perspectives des notations souveraines dans la région MENA.

«Dans ces pays, la croissance économique pourrait aussi être stimulée par la hausse des dépenses des ménages et de la reprise de l’investissement dans le sillage de la baisse de la facture énergétique», a-t-elle ajouté. Voici les notes attribuées par S&P aux 12 Etats qu’elle couvre dans la région MENA : -Egypte (B-/Stable/B) L'AGENCE. Actis and Mainstream launch $1.9bn African JV. Accueil.