background preloader

Veille info tourisme : le tourisme de masse

Facebook Twitter

Veille Info Tourisme - Tourisme de masse. [Into Days] : le sur-tourisme est-il un vrai problème ? Faut-il arrêter le tourisme de masse ? Le tourisme à la masse ? On est foutus, on voyage trop !

Le tourisme à la masse ?

L’explosion du nombre de touristes et la surfréquentation des sites ont fait du voyage un produit de surconsommation comme un autre. Alors, on pose ses valises et on fait le point. C’est peut-être la fin du rêve pour le tourisme. Depuis une cinquantaine d’années, le nombre de vacanciers partant pour des destinations lointaines n’a cessé de croître. 200 000 à la fin des années 60, ils étaient 1,3 milliard en 2017. Sondage : faut-il limiter coute que coute le TDM. Surtourisme : 63% des Français prêts à renoncer à visiter un site majeur. Conséquences.

Zones qui souffrent du TDM

La Reine des neiges : un village pris d’assaut par les touristes n’en peut plus. Can Sweden's cherished 'right to roam' survive in 2020? "Allemansrätten (The Right to Public Access) is of really great importance for Sweden.

Can Sweden's cherished 'right to roam' survive in 2020?

It is the foundation of outdoor activities for each and every Swede," says Nils Hallberg, a legal adviser at the Swedish Environmental Protection Agency (Naturvårdsverket). "You're welcome to go almost everywhere you want. It's one of those bits and pieces on an international scale that defines Swedes and Sweden. " Yet the Swedes have partly lost their connection with nature over recent decades, he says. "Chers touristes… cassez-vous !" Cette contagion sociale à l’origine de la tourismophobie. Une opinion de Loïc Plé, Directeur adjoint en charge de la Pédagogie et du Développement Académique, IÉSEG School of Management et de Catherine Demangeot, professeure associée de marketing IÉSEG School of Management (1).

"Chers touristes… cassez-vous !" Cette contagion sociale à l’origine de la tourismophobie

Chaque période de vacances semble maintenant s’accompagner de son lot d’articles, d’émissions ou de reportages témoignant des conséquences négatives de l’afflux de touristes dans des zones urbaines ou naturelles, générant une véritable « tourismophobie ». Dans notre monde de réseaux sociaux et d’hyperconnectivité, il nous a semblé intéressant de nous pencher sur le rôle que peuvent jouer les comportements en ligne des touristes dans le développement de ce phénomène, ainsi que sur l’influence potentielle de ces comportements en ligne sur ceux dits de la "vie réelle". Tunisie veut sortir du tourisme de masse.

À quelques jours des fêtes de fin d’année, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat René Trabelsi, fraîchement nommé, et Sami Gharbi, directeur de l’office national du tourisme tunisien en France, ont reçu la presse pour partager une bonne nouvelle : près de 800 000 touristes français ont visité la Tunisie en 2018.

Tunisie veut sortir du tourisme de masse

Une belle fréquentation à laquelle les TO français ont largement contribué, selon les derniers chiffres du Seto. "On est parti de loin mais aujourd’hui, le nombre de Français en visite en Tunisie ne cesse d’augmenter", se réjouit René Trabelsi. "On vise un million de touristes français en Tunisie en 2019. " Par comparaison, 1,2 million de Français avaient voyagé en Tunisie en 2010. Et pour tenter d’atteindre cet objectif, le ministère compter diversifier son tourisme — "La Tunisie ne peut pas se résumer au tourisme balnéaire", assure René Trabelsi —, grâce à plusieurs outils.

Comment réguler l’hyper-fréquentation touristique. Jusqu’à 7 000 touristes par jour sur la petite île de Porquerolles, 16 000 sur la dune du Pilat, entre 300 et 400 personnes souhaitant gravir le mont Blanc en été… Voici quelques chiffres illustrant la réalité de l’hyper-fréquentation touristique de certains sites en France.

Comment réguler l’hyper-fréquentation touristique

Le phénomène n’est pas nouveau. Selon la chercheuse Maria Gravari Barbas (lire ci-contre), il remonte à la fin du XIXe siècle, par exemple à Venise. « Il n’y a pas de données scientifiques pour déterminer ce qu’est l’hyper-fréquentation. C’est un sentiment des habitants que certaines fonctions locales entrent trop en concurrence avec celles créées par le tourisme », explique-t-elle. Cependant, le phénomène a indéniablement franchi un seuil au début du XXIe siècle, avec l’essor des plateformes de location type Airbnb et du transport low-cost.

Limiter les flux touristiques : une solution durable ? Nous traversons un siècle où occuper son temps libre est devenu primordial.

Limiter les flux touristiques : une solution durable ?

Or, un beau voyage n’est-il pas le meilleur moyen d’occuper ses vacances ? C’est vrai, non ? Qui ne rêve pas d’aller visiter le Machu Picchu, la Cité Vénitienne ou encore partir sur les traces de Games of Thrones à Dubrovnik ? Limiter les flux touristiques, un article de Laura Barbe, rédigé en février 2019, dans le cadre de son travail de veille pour le Master 1 AGEST, de l’Université Bordeaux Montaigne. Tourisme de masse : quand la limitation devient nécessaire Aujourd’hui, voyager n’est plus une activité aussi prestigieuse. Néanmoins… ne serions-nous pas trop nombreux à vouloir découvrir le monde ? La généralisation des congés payés a marqué le point de départ d’une nouvelle forme de tourisme. Outre les transports, la multiplication des logements touristiques, notamment via les plateformes tel que Airbnb, a rendu leur accès plus facile et moins cher.

L’inégale répartition des flux touristiques La crise du tourisme. Yes you should visit Venice this year, but do so with care. Gérer le surtourisme à l'ère des réseaux sociaux.