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Sciences cognitives

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Philippe Perrenoud - page d'accueil. [Infographie] Apprendre à mieux apprendre - le blog de Solerni – plateforme de MOOCs. [Infographie] Apprendre à mieux apprendre – le blog de Solerni – plateforme de MOOCs Avec notre dossier « Sciences cognitives et apprentissages » nous avons noté votre intérêt pour les sciences cognitives et les clés qu’elles nous offrent pour mieux comprendre la manière dont notre cerveau gère nos apprentissages. Et plus particulièrement, comment fonctionne notre mémoire. Les progrès techniques et scientifiques dans le domaine des neurosciences, c’est l’opportunité pour chacun d’apprendre à mieux apprendre, notamment en développant des approches plus en phase avec ses potentiels mais également ses limites biologiques ou plutôt ses contraintes neuro-physiologiques !

Mais c’est d’abord mieux identifier les différentes étapes qui jalonnent l’apprentissage afin d’en optimiser le déroulement pour s’assurer d’ancrer durablement les compétences et les connaissances dont nous avons besoin. Partagez sur les réseaux sociaux : FUN - Éducation par la recherche : neurosciences à l'École. Se connecter - Groupe départemental maîtrise de la langue 50. Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene) Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene.

L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Cette plasticité, on doit la comprendre comme une remarquable capacité à recycler des circuits présents dès l’origine. Elle est, et c’est un point très important, mobilisable tout au long de la vie. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés.

Différentes zones du cerveau 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene. [Dossier] Sciences cognitives et apprentissage – Introduction - le blog de Solerni – plateforme de MOOCs. [Dossier] Sciences cognitives et apprentissage – Introduction Introduction Transmission du savoir et apprentissage, un avantage sélectif ? Notre cerveau, «bricolage de l’évolution1» encore aujourd’hui si mystérieux pour la communauté scientifique, est probablement le système biologique qui a fourni à l’homme l’avantage sélectif le plus décisif de l’histoire de l’évolution.

Au delà de nous offrir une place bien au chaud au sommet de la chaîne alimentaire, notre cerveau nous a permis de développer les outils et processus de transmission du savoir. C’est ainsi que chaque nouvelle génération a pu bénéficier des avancées et progrès accomplis par les générations précédentes, et par conséquent développer des connaissances et compétences de plus en plus avancées. Mieux comprendre pour apprendre à mieux apprendre ! Voyage dans l’univers des sciences cognitives de l’apprentissage Pour traiter de ce vaste sujet, nous vous proposons ce dossier divisé en plusieurs volets :