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Le "co-construit"

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Paris sera la référence de la ville intelligente co-construite. 815 équipes du monde entier étaient en lice pour "Réinventer Paris".

Paris sera la référence de la ville intelligente co-construite

Plus de 600 avaient déjà déposé ces derniers jours leur projet pour l'un des 23 sites proposés à la "réinvention" par la mairie de Paris. Pour chaque site, 3 ou 5 projets vont être "short-listés" et, à la fin de l'année, un jury international désignera les lauréats. La dynamique est impressionnante et il se dit même que Boris Johnson, le maire de Londres, pourrait, pour une fois, copier Paris. "Réinventer Paris" est aussi l'un des axes essentiels du plan stratégique "Paris intelligent et durable, perspective 2020 et au-delà" que va présenter Jean-Louis Missika au Conseil de Paris d'ici à quelques semaines. Il va rassembler ce qui a déjà été lancé en matière de ville intelligente et, surtout, va définir le fonctionnement de la co-construction de Paris pour en faire la référence mondiale de la ville intelligente "en 2020 et au-delà".

La "Parisian Touch", c'est l'ouverture au plus grand nombre. Intelligente et connectée - La ville du futur. En juin 2014, la ville de Montpellier et la firme américaine IBM annonçaient la signature d’un contrat visant à faire de la huitième plus grande ville de France une « ville intelligente ».

Intelligente et connectée - La ville du futur

Avec Cisco, Siemens ou encore Orange pour la France, IBM fait partie des pionniers d’un marché qui pourrait atteindre, d’ici à 2020, 1500 milliards de dollars. Des quartiers plus sûrs. Des écoles de qualité. Des logements abordables. Un trafic fluide. Slogan d’IBM sur sa page consacrée aux solutions réseaux dédiées aux villes intelligentes. Voilà les promesses des villes intelligentes, du moins telles qu’elles sont vendues par les grands acteurs privés du secteur.

Par Cyril Charon et Nora Laufer Lire la suiteFermer Les villes intelligentes sont donc pensées selon la logique du réseau, fruit de la collecte systématique des données issues des caméras, capteurs, ordinateurs et smartphones. 10 réponses pour une meilleure urbanisation... #1 En matière énergétique. . #2 En matière financière.

"Les citoyens vont révolutionner le système économique" Il n'a pas l'air à le voir, mais Neil Gershenfeld est le porte-voix d'un mouvement planétaire en pleine ébullition.

"Les citoyens vont révolutionner le système économique"

Pour preuve, le week-end dernier, à Toulouse, se sont réunis plus de 40 FabLabs européens à l'invitation d'Artilect, le plus grand FabLab de France. Pour son fondateur, Nicolas Lassabe, "Neil est celui qui a vu juste et qui a permis au FabLab Festival d'exister avec peu de moyens. Grâce aux équipes et aux bénévoles, plus de 5 000 spectateurs se sont déplacés pour découvrir nos 50 makers (les exposants, NDLR)». Neil Gershenfeld est un précurseur. Un de ces grands gourous américains persuadés d'avoir compris ce qui manque aux gens pour faire exploser leur créativité dans leur vie de tous les jours. Mais c'est en 2001 que le mouvement naît véritablement et prend le nom de "FabLab". Du FabLab à la FabCity Dans les FabCities, "ce seront les données qui voyageront, et plus les marchandises". L'Agence nationale des Usages des TICE - Collaborer de façon informelle sur les réseaux sociaux : quelles pratiques ? Quels enjeux ? Par Karine Aillerie * Les données quantitatives nombreuses sur le sujet (Bigot & Croutte, 2014, Lenhart et al., 2015), pointent les jeunes (collégiens, lycéens, étudiants) comme de grands utilisateurs des réseaux sociaux, même si ces usages tendent à se disséminer dans toutes les couches de la population.

L'Agence nationale des Usages des TICE - Collaborer de façon informelle sur les réseaux sociaux : quelles pratiques ? Quels enjeux ?

D’un point de vue théorique, il reste délicat de définir précisément ce qu’il est possible d’entendre par « réseaux sociaux » en ligne ou « réseaux sociaux numériques » (RSN). Un lieu d’expression de l’expérience étudiante Neil Selwyn de l’Université de Londres a mené en 2006-2007 une analyse ethnographique systématique des interactions sur le mur Facebook de 909 étudiants en sciences sociales de l’Université de Coalsville. La collaboration informelle sur les réseaux sociaux Conclusion * Karine Aillerie - Chargée de mission R&D Réseau Canopé * - Chercheure associée à l'équipe TECHNE [EA6316 - Université de Poitiers] date de publication : 20/05/2015 Références bibliographiques :

La Coopérative des Tiers-Lieux.