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Linguistique

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Thinking in foreign language makes decisions more rational. To judge a risk more clearly, it may help to consider it in a foreign language. A series of experiments on more than 300 people from the US and Korea found that thinking in a second language reduced deep-seated, misleading biases that unduly influence how risks and benefits are perceived. "Would you make the same decisions in a foreign language as you would in your native tongue?

" asked psychologists led by Boaz Keysar of the University of Chicago in an April 18 Psychological Science study. "It may be intuitive that people would make the same choices regardless of the language they are using, or that the difficulty of using a foreign language would make decisions less systematic. We discovered, however, that the opposite is true: Using a foreign language reduces decision-making biases," wrote Keysar’s team. Equally plausible, however, is that communicating in a learned language forces people to be deliberate, reducing the role of potentially unreliable instinct. Origine des langues (2/2) : des règles ? Non, une belle anarchie ! | Rue89. D’où viennent les langues humaines ? Sur cette question toujours sans réponse précise, des chercheurs du département de psychologie de l’université d’Auckland viennent de réaliser un joli coup double.

Un article dans Science sur l’apparition des langues modernes, et un autre simultanément dans Nature. La deuxième question était : les langues ont-elles des règles communes ? Les langues sont nées... et après ? Contrairement à la tradition sportive néo-zélandaise – le rugby – où l’essai est souvent collectif et la transformation toujours un coup de pied individuel, dans le travail des chercheurs c’est d’abord Quentin Atkinson qui a écrit seul dans Science, puis deux de ses collègues qui ont publié leur étude dans Nature : Simon Greenhill et Russell Gray, en collaboration avec deux autres chercheurs basés aux Pays-Bas, Michael Dunn – auteur principal de l’article – et Stephen Levinson. Des règles (supposées) universelles Ni l’un ni l’autre, bien au contraire Eh bien non. Syndrome de l'accent étranger.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le syndrome de l’accent étranger est une condition médicale rare qui se produit généralement comme un effet indésirable d’un choc à la tête ou d’une blessure au cerveau. De 1941 à 2006, 50 cas ont été rapportés dans le monde[1]. Description[modifier | modifier le code] Les symptômes sont, après un accident ou un choc, une modification significative de la production des sons lorsque le patient parle sa langue maternelle, rendant le langage du patient similaire à celui d'étrangers. Par exemple, un Américain peut s’exprimer en permanence avec un accent modifié qui paraît être un accent britannique pour les personnes qui l'entendent. Selon des chercheurs de l’Université d’Oxford, un choc dans certaines régions du cerveau contrôlant les fonctions du langage pourrait induire en une altération de l’élocution[2]. Quelques cas[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]

Hypothèse Sapir-Whorf. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Sapir. En linguistique et en anthropologie, l’hypothèse de Sapir-Whorf (HSW) soutient que les représentations mentales dépendent des catégories linguistiques, autrement dit que la façon dont on perçoit le monde dépend du langage. Cette forme de relativisme culturel appliquée au langage a été développée par l'anthropologue américain Edward Sapir puis défendue de façon radicale par son élève, Benjamin Lee Whorf.

Telle que formulée par ces auteurs, il ne s'agit pas à proprement parler d'une hypothèse scientifique mais plutôt d'une vision générale du rôle du langage dans la pensée que Whorf illustra à travers l'exemple[1] de la « langue esquimau »[2] qui disposerait, selon lui, de trois mots pour désigner la neige là où l'anglais n'en aurait qu'un seul (snow) si bien que « pour un esquimau, ce terme générique [snow] serait pratiquement impensable »[1]. Avant Sapir et Whorf[modifier | modifier le code] « [...]