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Afrique

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Berceau de l'humanité Archives - African History - Histoire Africaine. ZIC TRAD_Cours_Afrique_Ouest. AFRIQUE de l'Ouest >> Les pays mandingues La musique des pays mandingues (c'est-à-dire Mali, Côte d'Ivoire, Sénégal, Burkina Faso, Haute-Guinée + Zaïre, Bénin ; c'est à dire l'Afrique de l'ouest) est principalement traditionnelle. C'est-à-dire qu'elle se transmet de génération en génération de manière orale. Elle fait partie intégrante de la vie quotidienne, accompagne toutes les fêtes, les rites, les célébrations ... Les musiciens professionnels s'appellent des griots (Ils sont les gardiens de la tradition, ses propagateurs, faiseurs de connaissance doués d'une mémoire extraordinaire ; ils ne doivent pas la déformer sous peine de mort). Certains instruments comme le tama ou le n'goni ne doivent pas être joués par une autre personne qu'un griot car ce sont des instruments sacrés.

On ne devient pas griot, on naît griot ! Les chants sont toujours associés à la danse et aux instruments (et principalement des percussions)... [Remonter] Instruments traditionnels : 1) Olélé : 3) Wawako : Zic Trad_Cours_Bendre. MUSIQUE >> L'Afrique de l'Ouest Instruments traditionnels >> Le bendre Ecoute >> Le bendre : Instrument à percussion membranophone ... Origine : Burkina Faso Description : Cet instrument est fabriqué à partir d'une grosse calebasse évidée dont on a découpé l'opercule, recouverte ensuite d'une peau de bête retenue par des lanières en cuir.

Instrumentistes célèbres : N Autres sites consacrés à cet instrument : , ... Ngoma drums - Wikipedia. Ngoma (also called engoma or ng'oma or ingoma) are musical instruments used by certain Bantu populations of Africa. Ngoma is derived from the Kongo word for "drum". Different Bantu-inhabited regions have their own traditions of percussion, with different names for their instruments. In Kikongo, "ngoma" is used by extension to signify specific dances, social occasions and rhythms. Use in the Great Lakes and Southern Africa[edit] The ngoma drum is known as engoma throughout the African Great Lakes region. The Banyankore hold drums in high regard; especially the royal drums headed by Bagyendanwa, without which a prince never laid claim to kingship.

The Baganda of Uganda have a special relationship with ngoma drums, so much so that it is thought by many people that theirs is the country where this type of drum actually originated. The ngoma are made of wood, which is covered with cow skin pegged on both ends, although you’ll also find tourist versions of these drums covered with zebra skins. The History of the Drum - Early History | DIY Custom Drum Building - How to Build Drums. Modern drums have evolved from rudimentary instruments that were played by beating with the hands and/or sticks. Early man probably beat out rhythms on rocks or fallen trees.

The earliest recognized drum dates back some 8,000 years to Mesopotamia – specifically the Babylonian and Sumerian empires. Ancient drums consisted of animal skin stretched across some sort of hollow shell. Another form of early drum consisted of hollowed out logs that were beat with sticks. Drums in The Middle East In the Middle East, the drum was revered as an instrument by which to call the Love and Fertility Goddess Innana, among others. As time progressed, the ancients started using particular types of wood for drum bodies. West African Talking Drums Meanwhile, Western Africa was developing various types of “talking” drums that had adjustable pitch and could be used to imitate human speech in terms of tone, rhythm and stress.

African Talking Drums African drums talk by creating tones that correspond to words. DRUMS 6000 years old – Sattar AlSaadi. The Drum and his characteristics The most familiar characteristic of a drum is that the instrument is hollow. The outside of the drum is on one side covered with skin. The sound is mostly being made by beating on the skin. The old history of the drum Six thousand years before Christ the drum existed already.

The drum was given a high rank under the old Sumerians and old Babylonians in their houses (beot El hekmeh) and also honored by the scholars in the temples. ( The sound of the drum (balaq) means calling the goddess. The Sumerian Love and Fertility Goddess Innana – patron of the city Uruk – illustration on a clay tablet The sound of the old drums and their purpose By listening to the drum, people were stimulated to elevate themselves to great heights. This little Tambourine, known as the Riqq, is a one of the musical instruments which has it’s origins in the middle ages. Language-links The common drum is called in the Sumerian Language Ob. Sattar Al Saadi. Traditional Instruments of the Uganda people - The drum of the Black Africans - text in English.

In earlier times, only men were permitted to play the drum in a community. Men used the doubleheaded drum embuutu and the long, cylindrical drum engalabi for men’s dances. The saying ekiwumbya engalabi mwenge kubula means: a shortage of beer is the cause of sepsis in a human being. In former times, it was a taboo for women the drink the common beer or to participate in such drinking bouts. “Beer” was only reserved for men. There were certain taboos for women in handling the drum. They were only permitted to use the double-headed fur drum embuutu, with which they accompanied such women’s dances.

Women have changed traditional standards and taboos, and they have started to play all instruments. Relations and interactions of the drum Just like other tribal communities in Uganda, also the Baganda believe in the continuity of life after death. Drums within the communities determine dance and rites, supporting the communication in the form of signals. The drum as an instrument of power. L'Arche d'Alliance est-elle au Zimbabwe ? - La Gazette des trésors perdus. Dans The Lost Ark of the Covenant, paru le 3 mars chez Harper Collins, un professeur de Jewish Studies gallois nommé Tudor Parfitt raconte sa longue quête à travers l'Afrique et le Moyen Orient, de la mythique arche d'Alliance de l'Ancien Testament, dont il pense avoir retrouvé la dernière trace survivante.

Au passage, le livre revient sur toutes les hypothèses existantes sur la nature et l'histoire de l'Arche, et les nombreux textes hébreus ou arabes qui l'évoquent. Passionnant Selon l'Ancien Testament, qui la mentionne souvent, l'Arche d'Allliance fut construit par Moïse à la demande de Dieu pour renfermer les tablettes des Douze Commandements. C'était une sorte de coffre en bois d'acacias de 1, 2mètres sur 80 centimètres. Les Juifs la transportaient en avant-guarde de leur armée, car c'était aussi une arme magique, qui aurait entre autres asséché la Jourdain, et fait s'effondrer les murailles de Jericho. Le Zimbabwe sur la carte de l'Afrique.

Hominidé de Denisova. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Molaire de l'hominidé de Denisova fragment de phalange de l'hominidé de Denisova, et sa position dans la main L'hominidé de Denisova (ou parfois Dénisovien) est le nom donné à une espèce d'hominidé éteinte identifiée par analyse génétique en mars 2010. Elle appartient au genre Homo mais n'a pas reçu de nom spécifique. Les scientifiques pensent que cette espèce a vécu entre 1 million et 40 000 ans BP, dans des régions peuplées par l'homme de Néandertal et l'Homo sapiens[2],[3]. Ces populations auraient probablement été centrées sur l'Asie orientale, et leur présence en Chine est à rechercher parmi des fossiles connus selon Jean-Jacques Hublin[4].

Des analyses génétiques récentes du génome mitochondrial Douteux, il n'y aurait pas d'autre adn mitochondrial actuel que L0-L6ont montré que les ancêtres directs des humains modernes ont à plusieurs reprises eu des relations sexuelles fécondes avec d'autres hominidés contemporains. S. Génétique des populations. Génétique des populations Une phalène du bouleau sombre. L'augmentation de la fréquence de cette forme mutante, avantagée dans les environnements pollués, fut décrite par la génétique des populations au XXe siècle.

La génétique des populations a des applications en épidémiologie où elle permet de comprendre la transmission des maladies génétiques, mais aussi en agronomie, où des programmes de sélection modifient le patrimoine génétique de certains organismes pour créer des races ou variétés plus performantes, ou plus résistantes à des maladies. Elle permet également de comprendre les mécanismes de conservation et de disparition des populations et des espèces (Génétique de la conservation). C'est une discipline des sciences de la vie faisant un fort usage d'outils mathématiques. Introduction simplifiée à la génétique des populations humaines[modifier | modifier le code] Les êtres humains, comme tous les êtres vivants, possèdent de l'ADN. Ancêtres de l'humanité[modifier | modifier le code] Projet génome humain.

Le génome humain est constitué de l'ensemble de l'information portée par nos 23 paires de chromosomes. Le projet génome humain (en anglais, Human Genome Project ou HGP) est un programme lancé fin 1988 dont la mission était d'établir le séquençage complet de l'ADN du génome humain. Son achèvement a été annoncé le 14 avril 2003[1]. Le nouveau projet lancé dans la foulée en septembre 2003, ENCODE (Encyclopedia of DNA Elements), donne des résultats importants sur l'ADN non codant humain.

Le génome humain est l'ensemble de l'information génétique portée par l'ADN sur les 23 paires de chromosomes présent dans le noyau plus l'ADN mitochondrial (hérité de la mère uniquement). Il porte l'ensemble de l'information génétique humaine, estimée à 100 000 gènes avant le séquençage et qui s'est révélée contenir finalement de 20 000 à 25 000 gènes[2]. Des scientifiques pensent être capables de concevoir le premier génome humain en 2026[4]. Historique[modifier | modifier le code]

Haplogroupe. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Y-Haplogroupes en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient Dans l'étude de l'évolution moléculaire, un haplogroupe est un grand groupe d'haplotypes, qui sont des séries d'allèles situés à des sites spécifiques dans un chromosome et qui sont définis par des mutations par polymorphisme nucléotidique singulier. Pour la génétique humaine, les haplogroupes qu'on étudie généralement sont des haplogroupes du chromosome Y (ADN-Y) et des haplogroupes de l'ADN mitochondrial (ADN mt). On peut employer les deux pour définir les populations génétiques. L'ADN-Y suit seulement la lignée patrilinéaire, alors que l'ADN mt suit seulement la lignée matrilinéaire.

Les hommes disposent des deux types de marqueurs génétiques (ADN mitochondrial de la mère et chromosome Y du père) ; les femmes possèdent un seul type : l'ADN mitochondrial de la mère. Y-haplogroupes en Europe. Généalogie génétique[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Animated map shows how humans migrated across the globe.

La carte des migrations humaines par la génétique - journal de bord d'une citoyenne. Il est possible d'acheter un kit de prélèvement pour 99 dollars. C'est une manière d'aider le projet mais aussi de connaître nos ascendants. L'analyse ADN permet, grâce à des marqueurs, de retracer une lignée et de retrouver l'origine géographique de lointains ascendants, bien plus loin que ne peut remonter la généalogie. Chacune des personnes qui ont participé à l'expérience ont reçu un dossier génétique original, situant géographiquement l'origine de quelques ancêtres.

Une personne qui se pensait 100% africain, se découvre une lignée européenne et asiatique ; une autre découvre que parmi ses ascendants, certains se sont installés en Inde, il y a 40 000 ans ; une autre est issue d'un groupe d'êtres humains qui furent un jour les premiers hommes à atteindre l'Asie du sud-est. Hominidé de Denisova. Origine africaine de l'homme moderne. En paléoanthropologie, l'origine africaine de l'homme moderne est le modèle théorique dominant pour décrire l'origine des populations humaines actuelles.

Cette théorie est connue du grand public sous le nom anglais d'Out of Africa (sortie d'Afrique), et sur le plan scientifique sous le nom d'« hypothèse d'une origine unique récente » (OUR), « hypothèse du remplacement » (HR) ou modèle de l'« origine africaine récente » (OAR). L'hypothèse selon laquelle l'homme est originaire d'Afrique fut formulée dès 1871 dans La Filiation de l'homme et la sélection liée au sexe de Charles Darwin. Toutefois, l'idée est restée une spéculation jusque dans les années 1980, lorsqu'elle a été finalement corroborée par l'étude de l'ADN mitochondrial, puis de l'ADN nucléaire, alliée à des éléments fondés sur l'anthropologie physique de spécimens fossiles. Histoire de la théorie[modifier | modifier le code] Premiers Homo sapiens[modifier | modifier le code] Reconstruction génétique[modifier | modifier le code] Cheikh Anta Diop.

Portrait de Cheikh Anta Diop à la fin des années 1940. Cheikh Anta Diop, né le 29 décembre 1923 à Thieytou et mort le 7 février 1986 à Dakar, est un scientifique de formation, historien[réf. nécessaire], anthropologue[réf. nécessaire], homme politique sénégalais. Il s'est attaché, sa vie durant, à montrer l'apport de l'Afrique et en particulier de l'Afrique noire à la culture et à la civilisation mondiale. Ses livres Nations nègres et culture (1955), puis Civilisation ou Barbarie (1981), affirment la primauté civilisationnelle africaine.

Cheikh Anta Diop a été un précurseur dans sa volonté d'écrire l'histoire africaine précédant la colonisation. Il est également l'un des premiers scientifiques africains à faire une application archéologique du carbone 14 en laboratoire dès 1963 [1],[2]. La plupart de ses théories, notamment celles concernant l'Égypte ancienne, sont démenties par la recherche moderne. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Afrocentrisme. L'afrocentrisme est une forme d'ethnocentrisme qui consiste à attribuer une place centrale aux cultures et valeurs subsahariennes aux dépens des autres cultures. L'afrocentrisme considère comme supérieures les cultures originaires d'Afrique subsaharienne, parfois au sens étroit, se limitant au continent, parfois au sens large, englobant les diverses branches des cultures africaines. Issu des études décoloniales, l'afrocentrisme tend parfois au suprématisme racial ou à la théorie du complot[1] quand ses partisans soutiennent que la communauté scientifique occidentale négligerait volontairement l'ampleur des civilisations africaines, voire serait partie prenante, consciemment ou non, d'une conspiration visant à masquer les apports africains à l'histoire[2],[3].

Histoire de l'afrocentrisme[modifier | modifier le code] Icône de l’afrocentrisme, George G. Principales thèses afrocentristes[modifier | modifier le code] Théorie afrocentriste d'une « Égypte noire »[modifier | modifier le code] Cheikh Anta Diop, restaurateur de la conscience noire, par Fabrice Hervieu Wané (Le Monde diplomatique, janvier 1998) Nègre. Afrique subsaharienne. Le Nil en arabe al-Nīl. XXVe dynastie égyptienne. XXVe dynastie égyptienne. Royaume de Koush. Éden. Éthiopie. Reine de Saba. Vallée du grand rift. Géographie des pays mandingues - www.djembefola.fr, l'encyclopédie mandingue. Cheikh Anta Diop. Les batá deux fois sacrés. "Cœur tambour", Scholastique Mukasonga fait retentir l'âme africaine. Une Yéshiva chez les Lembas au Zimbabwe | Israel Magazine. Griot.