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Vous avez un message : T’es viré ! MDR ! LOL ! ;-) Bientôt le licenciement par SMS, Twitter ou Facebook ? Hier, le licenciement sans lettre recommandé ; aujourd’hui, l’avertissement par Mail… et demain le SMS, Twitter, Facebook ?

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Regime juridique : correspondances electroniques et pratique contractuelle. Publications | Fiches point de vue Avec la loi pour la confiance dans l’économie numérique du 21 juin 2004, le législateur a adapté le droit français aux exigences du commerce électronique en posant notamment et sous certaines conditions, le principe de l’équivalence entre l’écrit papier et l’écrit électronique.

Regime juridique : correspondances electroniques et pratique contractuelle

Signature electronique : reconnaissance juridique, fiabilite. Publications | Fiches point de vue La parution du décret du 30 mars 2001 est l'occasion de faire le point sur l'état d'avancement de la réforme du droit de la preuve.

Signature electronique : reconnaissance juridique, fiabilite

Les nouvelles définitions de l'écrit et de la signature La nouvelle définition de l'écrit La preuve littérale est désormais définie comme "une suite de lettres, de caractères, de chiffres ou de tous autres signes ou symboles dotés d'une signification intelligible, quels que soient leur support et leurs modalités de transmission" (c.civ. art. 1316). Obligation de signer électroniquement : la signature scannée n’a pas de valeur ! (copie) - Jurisprudence - Citia - Conseil en achat public - Éditorial.

Signature scannée et signature électronique « Droit des NTIC. Si vous êtes comme moi, vous envoyez parfois des contrats à vos clients par e-mail avec votre signature scannée en bas du document et vous attendez de lui qu’il vous le renvoie signé par la poste. Cependant, cette signature scannée n’équivaut pas à une signature électronique du point de vue de la preuve. Pour faire simple, en cas de problème, la signature électronique est présumée authentique et constitue donc un élément plus probant que la signature scannée qui n’équivaut qu’à un début de preuve par écrit. Mais alors qu’est-ce qu’une signature électronique selon la loi ? C’est une “ “. Si vous lisez ce blog, vous avez déjà dû entendre parler de l’art. 1316 du Code civil qui donne . .

Pour cela, et reposer sur l’utilisation d’un qui garantit que le signataire est bien l’auteur de la signature et que le message est bien celui qu’il a signé. Les conditions pour que les emails constituent une "preuve électronique" valable. L'article 1316-4 du code civil, issu de cette loi, dispose que : « La signature nécessaire à la perfection d'un acte juridique identifie celui qui l'appose.

Les conditions pour que les emails constituent une "preuve électronique" valable

Elle manifeste le consentement des parties aux obligations qui découlent de cet acte. [...] Lorsqu'elle est électronique, elle consiste en l'usage d'un procédé fiable d'identification garantissant son lien avec l'acte auquel elle s'attache. La signature électronique: un exemple des problèmes juridiques. J’ai appris ce matin – via Twitter – que le tribunal administratif de Toulouse a rejeté un référé contre le CNRS dans le cadre d’un marché public.

La signature électronique: un exemple des problèmes juridiques

Que s’est-il passé? Le CNRS a lancé un appel d’offre pour la réalisation de prestations de services d’assistance et de conseil informatique. Harcèlement moral : la preuve par courriers électroniques. Mardi 19 Avril 2011 10:09 LEGALNEWS En l'absence de signature électronique ou de mesures aptes à en prouver l'authenticité et face à une contestation, la preuve par courriers électroniques ne saurait être admise.

Harcèlement moral : la preuve par courriers électroniques

M. X., engagé en qualité de responsable de la plate-forme informatique le 17 août 1998 par la société M., a, après deux avertissements successifs, été licencié le 7 juin 2007 pour insuffisance professionnelle. M. X. conteste son licenciement, soutenant avoir fait l'objet de harcèlement moral pendant le préavis. La cour d'appel de Montpellier, dans un arrêt du 23 septembre 2009, a débouté M. Arret cour cassation mail preuve. Références Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du jeudi 30 septembre 2010 N° de pourvoi: 09-68555 Publié au bulletin Cassation M.

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Charruault, président M. Garban, conseiller rapporteur M. Mellottée (premier avocat général), avocat général SCP Coutard, Mayer et Munier-Apaire, avocat(s) Texte intégral LA COUR DE CASSATION, PREMIÈRE CHAMBRE CIVILE, a rendu l'arrêt suivant : Sur le moyen unique, pris en sa première branche : Signature électroniques, archives et droit. De mon point de vue, pour des applications nécessitant une sécurité modérée (p.ex. pas des secrets militaires à conserver 50 ans), il n'y a pas de différence sensible de fiabilité entre signer avec un moyen de signature cryptographiquement sûr une collection de documents et signer chacun de ces documents.

Signature électroniques, archives et droit

La valeur juridique d'un e-mail. Pouvez-vous produire un courriel comme preuve devant la justice ?

La valeur juridique d'un e-mail

D'un point de vue juridique, un e-mail peut être produit en justice dans tous les cas où la preuve est libre (droit pénal, droit commercial et, selon les domaines, droit civil). Comme preuve, ou comme commencement de preuve, selon les cas. Reste que, d'un point de vue technique, un message électronique n'apporte généralement aucune fiabilité quant à l'identité de l'expéditeur et à l'intégrité du message.

Sa valeur probatoire est donc soumise à l'appréciation du magistrat qui aura à statuer, et dépendra de la connaissance technique de ce dernier. Le cas particulier des relations commerciales. La conservation des données va-t-elle sortir du brouillard juridique ? 01net. le 10/06/11 à 12h00 Le décret n°2011-219 d’application relatif à la conservation et à la communication des données d’identification à la charge des prestataires techniques signifie-t-elle la fin du trouble juridique ?

La conservation des données va-t-elle sortir du brouillard juridique ?

Depuis l'adoption de la loi pour la confiance en l'économie numérique du 21 juin 2004, il restait une interrogation sur les données d'identification devant être conservées par les hébergeurs et les fournisseurs d'accès internet (FAI). Rappelons que cette obligation de conservation est essentielle, puisqu’elle permet, à la demande des autorités judiciaires, de retrouver les auteurs de mise en ligne de contenus illicites sur internet, afin d’engager leur responsabilité. Ce qui concerne notamment ceux qui utilisent un pseudonyme. En droit, il n’existe pas de définition juridique précise des données de connexion.