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Vénézuela

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Le Venezuela persiste et signe. Lors du référendum du 15 février, marqué par une participation massive (70 % du corps électoral), 54,86 % des votants ont ratifié l’amendement à la Constitution qui supprime la limitation du nombre des mandats des maires, députés et gouverneurs – sous réserve qu’ils soient élus s’ils se représentent ! Ce faisant, le Venezuela adopte le modèle en vigueur dans nombre de démocraties, dont la France ou les Etats-Unis (où M. John Kerry, par exemple, occupe son siège au Sénat depuis 1984).

Le président de la République bolivarienne du Venezuela – à l’heure actuelle M. Hugo Chávez – pourra également briguer un troisième mandat, en 2012 (voire d’autres, ultérieurement). Inquiétant tant l’opposition vénézuélienne que de nombreux médias internationaux, c’est, faut-il le préciser, cette perspective qui a retenu l’attention. Aux angoissés professionnels, on rappellera que, jusqu’à la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, les chefs d’Etat français (M. Coup de semonce au Venezuela, par Gregory Wilpert (Le Monde dipl. Après onze victoires électorales du président Hugo Chávez La diabolisation du président Hugo Chávez par les médias nationaux et internationaux n’a, une fois de plus, pas résisté aux faits.

Présenté comme un dictateur en puissance, celui-ci a démocratiquement accepté le « non » de l’opposition (50,70 % des voix) lors du référendum sur la réforme partielle de la Constitution, le 2 décembre 2007. Ce coup d’arrêt ne marque nullement la fin de la révolution bolivarienne, mais oblige ses partisans à la réflexion. par Gregory Wilpert, janvier 2008 Aperçu Dès sa réélection, en décembre 2006, le président vénézuélien Hugo Chávez déclarait qu’une refonte de la Constitution était nécessaire à la transition vers le « socialisme du XXIe siècle » – son grand projet. Les dispositions ayant trait à la démocratie participative et à l’équité sociale n’ont pas rencontré de résistance dans l’opinion publique. Les insuffisances de la campagne Taille de l’article complet : 2 239 mots. Vous êtes abonné(e) ? Hugo Chávez, par Ignacio Ramonet. Peu de gouvernants au monde font l’objet de campagnes de démolition aussi haineuses que M. Hugo Chávez, président du Venezuela.

Ses ennemis n’ont hésité devant rien : coup d’Etat, grève pétrolière, exode de capitaux, tentatives d’attentat... On n’avait pas vu un tel acharnement en Amérique latine depuis les attaques de Washington contre M. Fidel Castro. Pourquoi tant de haine ? A cet égard, le bilan de M. Trois millions d’hectares de terre ont été distribués aux paysans. Résultats de toutes ces mesures : entre 1999 et 2005, la pauvreté a baissé de 42,8 % à 37,9 % (2), tandis que la population vivant de l’économie informelle chutait de 53 % à 40 %. Devant de tels succès, sans parler de ceux obtenus en politique internationale, faut-il s’étonner que le président Chávez soit devenu, pour les maîtres du monde et leurs affidés, un homme à abattre ? VENEZUELA • Kadhafi honoré par Chávez. Chávez, antisémite ? Chantal Rayes piégée à Sao Paulo. (A propos de « Lula piégé à Te.

C´est par le plus pur des hasards qu´à 24 heures d´intervalle, le Monde et Libération écrivent pratiquement le même article (1) sous un angle pourtant peu évident à priori. C´est pour nous parler du retour du président Zelaya au Honduras que Jean-Pierre Langellier (le Monde, 2 octobre) suivi par Chantal Rayes (Libération, 3 octobre) choisissent tous deux... la campagne de l´élite brésilienne contre le président Lula. (2) Rayes et Langellier font preuve d´un sens aigu du pluralisme. Leurs sources sont les grands médias brésiliens aux mains de grands groupes économiques et cette élite intellectuelle qui n´ont jamais pardonné à Lula son relent de cambouis d´ex-syndicaliste de la métallurgie.

Hier son crime était d´être «financé par les FARC, Fidel Castro, Hugo Chavez». Au Brésil ces « médias » criminalisent les mouvements sociaux comme celui des "travailleurs ruraux sans terre", créant sans cesse un climat propice à la répression (4). Enfin, le nom est lâché. Refus de l´enquête sociale. Latinobarómetro. Venezuela: Nouveaux Visages, même objectif - un ví. [La Revolución VIVE]