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Empreinte carbone des TIC

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La controverse pour des TIC plus durables. Photo prise par Achim Barczok 7 grammes de CO2 émis par requête google? Le secteur des TIC représenterait 2% de gaz à effet de serre et passerait dans peu de temps à près de 4% Un avatar de second life consommerait autant qu’un brésilien 75 millions de tonnes de déchets électroniques en 2014 L’injonction Green IT: quelle valeur a-t-elle? 2011. L’ADEME propose quelques premiers éléments de réponse.Selon le rapport "Impacts of Information and Communication Technologies on EnergyEfficiency", réalisé par BIOIS (spécialiste des études et du conseil dans le domaine de l’information environnement et santé sur les produits) pour la Commission européenne en 2008, les Technologies de l’Information et de la Communication (ou TIC) contribuaient en 2005 à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre.

2011

L’une des conclusions du rapport explique que leur contribution pourrait atteindre à horizon 2020 près de 4 % de ces émissions avec un scénario prospectif ("Business As Usual" - conserver les comportements et habitudes acquis à ce jour), près de 3 % avec un scénario économe (passage à des solutions économes). Or, les TIC font aujourd’hui parties intégrantes de nos vies professionnelles et personnelles. Face à ce constat, l’ADEME a souhaité évaluer les impacts environnementaux des TIC. Le courrier électronique Clé USB. Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB. Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l’agence d’évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne.

Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Les emails. Chaque jour, c’est une inflation de messages qui se bousculent dans nos boîtes : des courriels professionnels, des messages personnels mais aussi d’innombrables newsletters, chaînes de mails ou publicités. Les requêtes Web. Clé USB, mails : connaissez-vous leur impact en CO2 ? Ierre Galio, l'un des responsables d'une étude menée par l'Agence de l'environnement et la maîtrise de l'énergie (Ademe), met en garde contre un a priori consistant à penser que "les technologies de communication sont plus respectueuses de l'environnement".

Clé USB, mails : connaissez-vous leur impact en CO2 ?

Envoyer un courriel ou faire une recherche sur internet entraînent des émissions de CO2 et d'autres impacts l'environnement qui pourraient être réduits en changeant simplement quelques gestes. "Un employé d'une entreprise qui envoie un courriel de 1Mo de son ordinateur à une personne qui le lira pendant 5 minutes sur son écran, sachant que le message restera stocké pendant un an, cela entraîne l'émission de 19 grammes d'équivalent CO2", explique-t-il. Les chiffres de l'étude tiennent compte des bilans environnementaux à la fois de l'ordinateur de l'émetteur du message, celui du récepteur, des centres serveurs et de stockage et autres relais entrant en compte. Réduction des émissions. Prospectus contre e-mail, lequel est le plus écolo? Alors que la polémique autour de la campagne Zéro prospectus de E.Leclerc oppose les imprimeurs et la filière papetière au géant de la grande distribution, 20minutes.fr a tenté de faire un comparatif des impacts environnementaux des e-mails et des prospectus.

Prospectus contre e-mail, lequel est le plus écolo?

Alors, E.Leclerc, greenwasher ou écolo? Les émissions de CO2 difficiles à estimer Difficile de connaître la quantité exacte de CO2 émise par un prospectus. «L'impact n'est jamais le même en fonction de la multitude de paramètres qui entrent en compte. Les chiffres varient d'un imprimeur à l'autre, selon son parc machine, ses spécificités, son nombre d'employé et les trajets effectués, sa consommation d'énergie, la performance énergétique de son bâtiment... en somme, en fonction de toutes les données relatives à son bilan carbone», explique à 20minutes.fr Mickaël Rigard, chargé de communication éditoriale à l’imprimerie Villière. Ressource renouvelable contre déchet électronique. L'impact écologique d'Internet, l'empreinte carbone des usages pointée du doigt - Rubrique Technologies sur Ecologie.tv.