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Les impôts et les services publics

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La taxe "abri de jardin" augmente de 3,8% en 2019. Mauvaise nouvelle pour ceux qui ont l'intention de construire dans leur jardin.

La taxe "abri de jardin" augmente de 3,8% en 2019

La taxe d'aménagement, plus connue sous le nom de taxe "abri de jardin", augmente de 3,8% en 2019, après une hausse de 3% l'an passé, selon une note de l’administration mise en ligne le 19 février dernier. En 2019, les montants de cette perception sont fixés à 753 euros le m² hors Île-de-France (contre 726 euros en 2018) et à 854 euros le m² en Île-de-France (contre 823 euros en 2018).

Un montant spécifique est appliqué aux piscines (200 euros par m²) et aux panneaux photovoltaïques (10 euros par m²). Pour connaître le montant qu'il faudra débourser, il faut donc multiplier cette base par la surface taxable, puis par le taux fixé par chaque collectivité territoriale. Pour ceux qui sont perdus, l'administration a mis en place un simulateur en ligne. A quoi servent les services publics ? Repenser l'action publique (Pierre Bauby Syros)

Flux n °36/3 7 Avril- Septembre 1 999 explicitement nommés, qui pourfendent les actions de l'État, bouc émissaire aisément brandi face aux crises nombreuses que nos sociétés vivent depuis le milieu des années soixante-dix, à tel point agité que « il est devenu un peu honteux ou indécent de vanter les vertus de l'action publique ».

A quoi servent les services publics ? Repenser l'action publique (Pierre Bauby Syros)

Pour l'auteur, il est en effet urgent de passer à une contre-offensive, tant « le néolibéralisme n'est fort que de la faiblesse de ceux qui s'y opposent ». Mais loin de laisser le champ libre aux thèses libérales, il va en reconnaître les parts de diagnostics vraies pour démonter les réponses fausses qu'elles apportent ou souhaitent apporter et élaborer les siennes propres. En effet, c'est bien la pratique démocratique et l'avenir de nos sociétés européennes qui préoccupent Pierre Bauby qui n'entend pas les laisser délabrer par les conceptions libérales politiques et économiques.

Pierre Bauby a construit sa démonstration en deux temps. Dette française : jusqu'où pourra-t-on emprunter ? C'est un prêt d'envergure qui attend la France l'année prochaine : 195 milliards d’euros exactement, et encore, c’est un montant net.

Dette française : jusqu'où pourra-t-on emprunter ?

En réalité, comme elle rachète ses propres emprunts (au moins les titres anciens, qui sont à taux plus élevés qu'aujourd'hui), le montant brut, c'est-à-dire ce qui va nous être prêté par les investisseurs, dépasse allègrement les 200 milliards. Cela fait de nous le quatrième emprunteur mondial, derrière les Etats-Unis, le Japon et l’Italie. Pour une fois, la France dépasse l’Allemagne. Livres - Simone Wapler. Dette publique, ceux qui ont enfoncé la France. Budget de l'État français. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Budget de l'État français

Le budget de l'État français est un document répertoriant les dépenses et les recettes prévues de l'État français, voté chaque année par le parlement dans une Loi de Finances. Il ne comprend pas les budgets des collectivités territoriales (Régions, communes..) , ni celui des organismes de sécurité sociale, mais il prend en charge les retraites des fonctionnaires publics d'État.

Le principe d'équilibre budgétaire: Le Politiste. Le principe d’équilibre budgétaire renvoie à la nécessité d’équilibrer les comptes de manière à éviter la présence de déficit dans le budget de l’Etat.

Le principe d'équilibre budgétaire: Le Politiste

Il n’est pas vraiment une règle technique traditionnelle comme le principe d’annualité ou d’universalité, car il est très rarement respecté, comme le montre la situation des finances publiques actuelles (7 % du PIB de déficit public en 2010). Il faut ajouter que la politique budgétaire fait partie d’une possibilité proposée par le courant keynésien de la théorie économique. La question de l’équilibre est donc, en outre, un enjeu politique sensible.

Services publiques

Impots. Ce que la coûteuse gestion des impôts locaux signifie. Budget et fiscalité Dans un très récent rapport paru le 1er février, la Cour des comptes s’intéresse à la gestion de la fiscalité directe locale par la DGFiP ; et le moins que l’on puisse dire est que ses performances sont plutôt médiocres.

Ce que la coûteuse gestion des impôts locaux signifie

Ainsi que l’indique la Cour, « Les résultats de la DGFiP (…) sont moins bons [en la matière] que dans ses autres secteurs d’activité, alors même que cette tâche absorbe 14% de ses effectifs totaux et 17% de ses coûts complets : elle y consacre proportionnellement davantage de moyens qu’à d’autres missions dont les enjeux financiers sont supérieurs. » Un constat difficile en termes de performance de gestion En effet, les chiffres parlent d’eux-mêmes : à eux seuls, les services départementaux et infra-départementaux en charge des impôts locaux représentent un chiffre total de 14.800 ETP, soit 13,7% des 109.068 agents titulaires en 2015 de l’ensemble de la DGFiP. Sources : Cour des comptes, rapport p.100 note 131.

Des mauvais chiffres qui s’expliquent.

Dette