background preloader

Guadeloupe tradition culture

Facebook Twitter

Blog de Manioc. Focus Manioc : l'immigration indienne "Coolie woman"Des populations originaires d'Inde sont arrivées dans la seconde moitié du XIXe siècle pour remplacer la main-d’œuvre perdue après l'abolition de l'esclavage de 1848.

Blog de Manioc

Cette immigration fut organisée par les pouvoirs publics entre 1854 et 1885. Non an nou - noms de famille guadeloupéennes et martiniquaises - Cm 98. La nomination des Guadeloupéens après l’abolition de l’esclavage Nous avons retrouvé près de 30.000 patronymes qui ont été donnés à plus de 80.000 Guadeloupéens à partir de 1848.

non an nou - noms de famille guadeloupéennes et martiniquaises - Cm 98

Ils étaient tous esclaves et venaient d’être affranchis par le décret d’abolition de l’esclavage proclamé le 27 avril 1848 par le gouvernement provisoire de la 2e République française. Tous ces noms de famille sont consignés dans les « registres des nouveaux libres » qui ont été établis après le décret d’abolition de l’esclavage, d’août 1848 à décembre 1862. Nous y avons découvert une variété de noms d’origines diverses : Cependant, nous avons aussi retrouvés des cas où il n’y pas eu d’attribution de patronymes. Nous avons noté la présence de patronymes identiques dans plusieurs communes mais également sur diverses habitations d’une même commune. Les "Blancs-Matignon" de la Guadeloupe. < page précédente A.

Les "Blancs-Matignon" de la Guadeloupe

Présentation du corpus. Ce fichier nettoyé compte 210 actes de mariage, partant de 1816 et se terminant en 1994 soit un total de 420 individus. LAREL A LEJAND E METAMANNYOK KONT KREYOL Egzanp a Konpe Lapen Tijan e ladyables. Poèmes. Bateaux par Joseph Reynald. © Galerie d'Art Nader.

Poèmes

Cases Créoles de Guadeloupe. L'église de Vieux-Habitants - Patrimoines de Guadeloupe. L'église de Vieux-Habitants - Patrimoines de Guadeloupe. LES EGLISES - papynou-guadeloupe.com. LES EGLISES et lieux de culte SI VOUS AVEZ DES COMMENTAIRES, vous pouvez les laisser sur le Forum 001 - BOUILLANTE - église Saint-Louis L'église Saint-Louis a joué un grand rôle dans la naissance de la commune de Bouillante.Sa construction date de l'arrivée des premiers colons entre 1635 et 1649.Longue de 22 mètres et large de 8, l'église était construite en maçonnerie.

LES EGLISES - papynou-guadeloupe.com

Son presbytère se trouvait à l'époque bâti en haut du morne qui dominait l'église. L'accès difficile n'était possible qu'à cheval. Au début du XXe siècle, des barges à voile transportaient fret et passagers entre la Guadeloupe et Marie-Galante et la Désirade. Aujourd’hui rien de plus simple que de se rendre sur les iles de l’archipel de la Guadeloupe.

Au début du XXe siècle, des barges à voile transportaient fret et passagers entre la Guadeloupe et Marie-Galante et la Désirade

Pour la Désirade, pour y séjourner ou simplement la visiter, à partir du port de St François, en Grande-Terre vous embarquez au choix sur le «Babou-One» ou sur l’Archipel pour, moins d’une heure plus tard, débarquer sur le port de Beauséjour (Grande Anse) à la Désirade. Glossaire. Brève exploration de la littérature en langue créole en Haïti, de ses balbutiements à son affirmation. Préambule Compte tenu de l’ensemble des œuvres publiées depuis deux décennies par des auteurs haïtiens, tant en Haïti qu’à l’étranger, on peut aisément soutenir l’idée que la littérature haïtienne s’écrit dans plusieurs langues aujourd’hui: français, créole, anglais, espagnole… Bien entendu, même s’il est nécessaire de le signaler, on n’est pas obligé de s’attarder sur cette idée pour aborder convenablement l’histoire littéraire haïtienne.

Brève exploration de la littérature en langue créole en Haïti, de ses balbutiements à son affirmation

En revanche, on est forcé désormais de parler, sans l’ombre d’aucun doute, d’une littérature qui s’écrit dans les deux langues officielles du pays, à savoir: le français et le créole. Le Carême. Juste après la chaude période du Carnaval, débute le Carême qui s'étale entre le mercredi-des-Cendres et Pâques.

Le Carême

Période de restriction et de privation, elle correspond avec la saison sèche. La Guadeloupe et la Martinique sont des îles où la religion catholique tient une place importante et nombreuses sont les personnes qui observent les pratiques religieuses. A l'époque de nos parents, pendant le Carême, on n'allait pas danser (pas de bal, pas de zouk). Photographes d'Amérique et des Antilles (1840-1944) "Soeurs carmel" Destination Guadeloupe - page 1/1. L’intermède guadeloupéen de Georges Rohner : l’ensemble de la mairie de Basse-Terre (1934-1936) Résultats / Recherche / Moteur Collections. Archives d'Outre-mer : quelques illustrations anciennes. Plaquette_la_soufriere. Les Antilles : la Guadeloupe. Le quadrille antillais. 5) Le Quadrille Le Quadrille est une danse du XVIIIe siècle d'origine européenne.

Le quadrille antillais

Elle fut tout d'abord adoptée par les colons des milieux bourgeois, puis adoptée par le milieu rural. Cette adoption fut influencée par les musiques déjà existantes dans les campagnes. Le quadrille comprend à la fois des apports d'origine européenne et des apports d'origine africaine. Pwoveb kreyol - Accueil. Liannaj. Jardin creole. Alain Dorville Si le Créole pouvait parler...

Histoire

An tan lontan. Epreuve de boeufs tirants. Des dominos à la grenat. La maison hantee du Moule. Soucouyant. The soucouyant or soucriant in Dominica, Trinidadian and Guadeloupean folklore (also known as Ole-Higue or Loogaroo elsewhere in the Caribbean), is a kind of blood-sucking hag.[1][2] Legend[edit] The soucouyant lives by day as an old woman at the end of a village. By night, she strips off her wrinkled skin, which she puts in a mortar, following which she flies in the shape of a fireball through the darkness, looking for a victim. Still a fireball, the soucouyant enters the home of her victim through cracks and crevices, like keyholes.

Soucouyants suck people's blood from their arms, legs and soft parts while they sleep.[3] If the soucouyant draws too much blood, it is believed that the victim will either die and become a soucouyant or perish entirely, leaving her killer to assume her skin. The skin of the soucouyant is considered valuable, and is used when practicing black magic. Origin[edit] Soucouyants belong to a class of spirits called jumbies. In popular culture[edit] See also[edit] POTOMITAN : Annou voyé kréyol douvan douvan. Glossaire Pierre Bonnet. La maison coloniale Zevallos.