Agriculture et pesticides : le changement, c'est maintenant ? Catherine Deneuve avec Perrine et Charles Hervé-Gruyer : «C’est si vivant et ancré dans le réel, un jardin !» C’est Catherine Deneuve qui en a eu l’idée. On lui a demandé qui elle aimerait rencontrer et elle a répondu, du tac au tac, «Perrine et Charles Hervé-Gruyer, le couple de cultivateurs de la ferme du Bec-Hellouin», en nous épelant Bec-Hellouin. On s’est dit : «Elle doit les connaître, leur acheter des légumes.» Et bien non, pas du tout, pauvre pomme. Si Catherine Deneuve se fournissait chaque semaine en brocolis dans leur ferme, elle ne nous proposerait pas de faire un tour chez eux, à deux heures de Paris, un vendredi après-midi classé orange par Bison futé, alors qu’elle tourne tout l’été. On cueille donc Catherine Deneuve à la sortie du café-tabac d’Ivry-la-Bataille et l’actrice note distraitement : «D’habitude, c’est plutôt moi qui prends les gens en stop.»
On s’étonne : «Ils vous reconnaissent ?» «Pas très souvent. L’ambiance est joyeuse, il n’en faudrait pas beaucoup pour se laisser envahir par l’euphorique sentiment factice de partir en vacances, et d’ailleurs, pourquoi pas ? Comment Detroit se tourne vers l'agriculture. Michael Score retourne dans sa voiture chercher une superbe canne d'ébène. "C'est un souvenir, explique l'agronome, coopérant en Afrique dans sa jeunesse. Et elle peut servir si nous tombons sur des chiens errants. " Ici, en plein coeur de Detroit (Michigan), à dix minutes de la légendaire tour de General Motors, les maisons de brique ou de bois coloré, vestiges de l'âge d'or ouvrier des fifties, racontent un cataclysme américain.
Derrière Mount Elliott Street, une charpie minérale, le toit de l'une d'elles semble avoir été enfoncé par un poing gigantesque; l'intérieur de la suivante est entièrement calciné. Sur les dix pavillons du block (pâté de maisons), trois sont encore habités; un squat pourri, à la porte barrée par les dealers de l'inscription menaçante "Entrez à vos risques et périls", côtoie le porche d'une maisonnette miraculeusement préservée. "Une dame de 90 ans y vit, coincée ici faute d'avoir pu vendre, précise Michael. Un immense ghetto Le projet semble loufoque. De la Motor City à la cité morte – Détroit et l’agriculture urbaine. Résumé L’agriculture urbaine de Détroit connaît une popularité foudroyante depuis quelques années. D’une ville en déclin exponentiel depuis la crise financière nationale de la fin de la dernière décennie, les citoyens et organismes de la ville s’empressent de faire la promotion d’un nouveau paradigme qui pourrait bien sauver la ville d’une faillite inévitable.
Les politiciens, intellectuels et spécialistes s’accordent pour dire que ce moyen, qui pourrait passer pour marginal dans les autres grandes métropoles nord-américaines, est probablement la voie pour faire renaître Détroit. Et si la Ville Moteur prenait la route verte? De Motor City à la Cité morte Depuis la seconde moitié du XXe siècle, Détroit, ville emblématique de l’industrie automobile états-unienne, connaît une baisse incroyable de sa population; d’une ville de 1,85 million d’habitants en 1950, la ville recensait 713 000 personnes en 2010, soit une diminution de 61 % de sa population.
L’agriculture urbaine : solution et enjeux. ELEVAGES. Fermes d'avenir. Infographie - Les chiffres clés de l’agriculture connectée. 79% des agriculteurs utilisent internet c’est plus que la moyenne française ! +110% d’augmentation de l’utilisation d’applications professionnelles par les agriculteurs possédant un smartphone entre 2013 et 2015 46% des agriculteurs en 2013 sont équipés de GPS 9 agriculteurs sur 10 font leurs démarches PAC en ligne 79% des exploitants connectés reconnaissent l’utilité des nouvelles technologies pour l’agriculture 76% des agriculteurs consultent la météo en ligne plusieurs fois par semaine 70% des agriculteurs équipés installent des applications professionnelles 2 / 3 disent les avoir utilisées au cours des 3 derniers mois Sources : Rapport agriculture-innovation 2025 / ministère de l’Agriculture & ministère de la Recherche, oct. 2015 ; Les défis de l’agriculture connectée dans une société numérique / Renaissance numérique, nov. 2015.
L'agriculture urbaine à Détroit : de la rouille à la terre. Un demi-siècle de crises En effet, la ville n’a pas été épargnée au cours des dernières décennies. Tout commence au début du XXème siècle, quand y débarquent trois géants de l’industrie automobile : Ford, Chrysler et General Motors. S’ensuit une période d’essor économique incontestable, qui propulse Detroit au rang de symbole de l’Amérique industrielle. Mais c’est sans compter la crise qui s’amorce dès les années 1970 : mondialisation oblige, le secteur subit de profondes restructurations qui aboutissent à la fermeture d’usines entières et aux licenciements de dizaines de milliers de travailleurs. La « Manufacturing Belt » (ceinture de production) autour des Grands Lacs devient « Rust Belt » (ceinture de rouille). Détroit sombre dans la crise. Mais ce n’est pas tout : la ville a également fait les frais de tensions raciales particulièrement fortes entre les travailleurs afro-américains venus massivement du sud pour travailler dans l’industrie automobile et la population blanche.
L'enseignement supérieur agricole a aussi fait sa rentrée ! | Alim'agri. Formez les techniciens, ingénieurs et scientifiques de demain, c'est une des missions de l'enseignement supérieur agricole ! Parcours d'excellence, il forme des cadres dans les domaines de l'agronomie, de l'alimentation, du développement durable, de la médecine et de la santé publique vétérinaires, de la gestion des territoires ruraux, de la forêt, de l'eau, de l'environnement, des milieux naturels et du paysage. Début septembre, dans le cadre de la rentrée scolaire, le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation Stéphane Travert s'est rendu à Agrocampus Ouest de Rennes (Ille-et-Vilaine).
À cette occasion, il a rappelé aux jeunes leur « rôle majeur à jouer pour construire des transitions vers des modèles agricoles et alimentaires soutenables et compétitifs au regard des bouleversements climatiques, des enjeux énergétiques, sanitaires ». Il a également souligné « l’importance du lien entre enseignement technique et enseignement supérieur, qui doit exister et se renforcer ». Letemps. Du brouhaha de l’Assemblée nationale au silence infini des plateaux d’Auvergne. C’est ce singulier retour à la terre qu’a entrepris il y a dix ans Antoine de Boismenu en s’installant au cœur des montagnes bleues du Livradois-Forez. Cet ancien lobbyiste agricole, doté d’un solide carnet d’adresses et qui connaît chaque arpent des cabinets ministériels, a décidé de réaliser son rêve d’enfant. L’homme est désormais paysan, à la tête de son propre troupeau, des Salers et des Abondance, à qui il fait parfois écouter du Monteverdi ou du Mozart dans l’étable.
«A Paris, je parlais. L’homme est pourtant bavard: il jongle entre ses réponses au journaliste du Temps, la vente directe à ses clients et la préparation de ses fourmes d’Ambert, fromages persillés de bleu dont il vante à juste titre le moelleux. Ici, bien davantage qu’à Paris, j’ai l’impression de faire de la vraie politique. A chaque génération de reconquérir la terre, plaide Antoine de Boismenu. Le sentiment d’abandon. Non à la Ferme-Usine des 1000 Veaux dans la Creuse ! La Ferme-Usine des 1000 Veaux n'est pas un simple regroupement d'éleveurs : C'est la FNSEA, alliée à la grande distribution (Intermarché est client unique), pour de la viande vendue à l'export !
La seule finalité économique de ce projet est la production d’électricité (photovoltaïque) et de gaz (méthanisation). Si nous n'intervenons pas, voici à quoi ressemblera l'Usine, à terme : DES VEAUX PARQUÉS : Le projet prévoit d’entasser 15 à 16 veaux par case (64 cases, 1000 places), dans de grands hangars. C'est de l'élevage intensif hors-sol. DES VEAUX GAVÉS à base de composés industriels et de paille : Il s’agit d’engraissement intensif puisque l’objectif est de doubler le poids de l’animal en 7 à 8 mois, contre 36 mois en pâturage. DES VEAUX ÉGORGÉS EN PLEINE SOUFFRANCE, A + DE 500 KM : Cela a été affirmé à plusieurs reprises dans les médias, notamment par Dominique Langlois, ex président de la SVA Jean Rozé, client unique de l’Usine.
Nos produits : Since 1939. La passion de l’ostréiculture coule dans les veines de la famille Hervé depuis trois générations. Une passion empreinte de patience, d’effort et, inévitablement, d’amour sans faille pour le métier d’ostréiculteur et le bassin Marennes-Oléron, une terre bercée par la mer et les marais. Petit-fils et fils d’ostréiculteurs, David Hervé emprunte des chemins détournés avant de se consacrer à l’activité familiale. Quoi de mieux que de prendre le large, de s’imprégner avec curiosité d’expériences nouvelles ?
Après de hautes études commerciales, il travaille quelques années dans la publicité. Porté par ses expériences professionnelles précédentes, par son goût pour le challenge, David Hervé fait du slogan de son entreprise, « Partager l’exception », sa devise. Aujourd’hui, les 3 hectares de parcs en mer permettent une production purement locale, qui bénéficie des courants de l’Atlantique. Quand l’agriculture s’installe en ville… Dossier : Nature(s) en ville Longtemps célébrée comme un vestige des temps passés, l’agriculture en ville s’impose aujourd’hui à l’agenda des politiques, qu’il s’agisse des documents d’urbanisme (schémas de cohérence territoriale (SCOT), schémas régionaux de cohérence écologique (SRCE), plans locaux d’urbanisme (PLU)) ou des contractualisations locales (voir, par exemple, le Schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF), voté le 25 octobre 2012 et qui soutient l’agriculture de proximité).
Comme les y incitent les lois SRU (solidarité et renouvellement urbains) et les Grenelles de l’environnement, les collectivités territoriales expérimentent des dispositifs fonciers innovants en faveur de l’agriculture de proximité : zones agricoles protégées, périmètres de protection et de mise en valeur des espaces agricoles et naturels périurbains, îlots fonciers, chartes foncières ou projets agri-urbains. L’agriculture au cœur des villes : une agriculture encore teintée d’utopie… © P. . © L. Sans titre. Les Rattrapages de l’actu, synthèse hebdomadaire de l’actualité de la semaine, sont publiés chaque week-end depuis janvier 2010. Ils s’adressent aussi bien aux actifs n’ayant pas le temps ou l’envie de suivre l’actualité au jour le jour qu’aux étudiants en préparation de concours et aux expatriés souhaitant se tenir informés régulièrement de l’actualité française.
Initialement publiés sur le blog Verso-Recto, les Rattrapages de l’actu ont migré en février 2012 vers un véritable site Internet, plus complet, avant qu’Alexandre Pouchard, journaliste au Monde et créateur des Rattrapages, ne transmette l’administration du site et l’ensemble de ses contenus à l’École publique de journalisme de Tours (EPJT). Aujourd’hui, les synthèses hebdomadaires de l’actualité, de même que les fiches d’actu et les quiz sont pris en charge par les étudiants de 1re année de l’EPJT. Sources audio-visuelles traitant de l'agriculture urbaine. Une ferme bio au sous-sol d'un parking parisien.
Pour accéder à La Caverne, il faut descendre au -2 d'un parking situé sous des barres HLM Porte de la Chapelle. Les boxes sont encore là sauf qu'à la place des voitures, il y a des champignons, des endives ou des jeunes pousses. La ferme a démarré il y a un mois et n'occupe pour le moment que 5% des 3 500 m². Le parking était devenu un squat, le bailleur social a décidé d'en isoler une partie pour le valoriser autrement. La production se concentre surtout pour le moment sur les champignons : des pleurotes, shiitake, ou champignons de Paris qui poussent dans du substrat sur des étagères. Des jeunes pousses et des endives sont également en test. Théo Champagnat soulève le rideau d'un de ses boxes : "Là il y a environ une quinzaine de variétés de micro-pousses", montre le co-fondateur de la start-up Cycloponics, "Elles grandissent sous LED.
Le but est de pouvoir influer sur le spectre lumineux. L'intérêt pour Théo Champagnat est d'être au plus près du consommateur.