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Inde

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Rendez-vous en terre inconnue : François-Xavier Demaison. Inde, entre climat et développement. Économie de l'Inde. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie de l'Inde était, en 2007, la 12 mondiale en dollars courants avec un produit intérieur brut (PIB) de 1 171 Mds de $, soit 2,15 % du PIB mondial[2], qui ne se traduit cependant que par un revenu par habitant de 950 $. Le PIB par habitant en parité de pouvoir d'achat (PPA) était en 2007 de 2 740 $[2]. Ainsi en PPA, le PIB total de l'Inde passe au 4e rang mondial, après les États-Unis, la Chine et le Japon avec un PIB de 3 083 Mds $.

L'Inde connaît un important décollage économique depuis le milieu des années 1980 et tout particulièrement depuis son ouverture à partir de 1991 sous le mandat de Narasimha Rao. Elle s'est alors détachée de sa politique économique inspirée des modèles socialistes planificateurs et a adopté un mélange de politique libérale et social-démocrate. La libéralisation commerciale s'est manifesté par une forte chute des droits de douane et une ouverture progressive aux investissements étrangers. L’Inde est-elle toujours une BRIC en or. (Portraits Inde / etrenard - Flickr - cc) Depuis plusieurs années, les investisseurs voient dans les économies émergentes un levier de stimulation de la croissance mondiale. Le ralentissement récent et marqué de l’économie chinoise a provoqué de nombreuses inquiétudes parmi eux, et seule une réponse rapide de Pékin a permis de les apaiser en partie.

D’autres pays formant les BRICs – Brésil, Russie, Inde et Chine – connaissent eux aussi des difficultés économiques. L’Inde, plus particulièrement, peut aujourd’hui être ajoutée à la liste croissante des économies émergentes qui enregistrent un ralentissement marqué de leur PIB. La situation indienne est telle que de nombreux investisseurs commencent à se poser la question de la considération ou non de l’Inde comme un marché en pleine croissance. En effet, les statistiques de l’économie indienne sont loin d’être encourageantes. Selon les économistes, le ralentissement s’explique par la paralysie politique du pays. La question est pertinente. Lakshmi Mittal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lakshmi Mittal Lakshmi Mittal en 2006. Laksmi Mittal, de son nom complet Lakshmi Narayan Mittal , également connu sous le nom de Lakshmi Niwas Mittal (लक्ष्मी निवास मित्तल), est un homme d'affaires indien spécialisé dans l'industrie sidérurgique et président d'ArcelorMittal.

Il est né le à Sadulpur, au Rajasthan, en Inde. Hindouiste, il est originaire de la caste Agrawal (en) des Marwaris (commerçants du nord-est du Rajasthan), dont le code d'honneur place l'enrichissement personnel envers et contre tout comme condition de réussite de la vie terrestre[1]. Lakshmi Mittal se spécialise, tout d'abord, dans le rachat d'entreprises sidérurgiques au bord de la faillite ; les acquérant à bas prix, il les modernise et les restructure pour les remettre en état de fonctionnement, ce qui augmente considérablement leur valeur. Jeunesse, formation et expansion[modifier | modifier le code] Achat d'Arcelor[modifier | modifier le code] La politique agricole indienne et la réforme libérale. L’instrument principal de la politique publique indienne est le plan quinquennal, utilisé depuis l’Indépendance (1947) comme un outil de “développement harmonieux”. La Commission du Plan est une institution très respectée d’experts travaillant directement avec le Premier Ministre.

Les sous-comités et groupes de travail de la Commission sont censés représenter les points de vue des diverses catégories sociales dont ils sont issus. Des commissions et comités sont également mis en place pour étudier certaines questions et faire des recommandations. L’agriculture est un domaine de concurrence entre le Centre et les États. La mise en œuvre de la politique agricole est entre les mains des États, à l’exception des projets phares financés par le Centre.

La classe locale des propriétaires terriens (castes dominantes) tient les manettes et s’accapare les bénéfices de tous les programmes, en particulier dans l’agriculture et l’agro-industrie. Plans quinquennaux Des orientations contradictoires. Le nationalisme hindou dans la politique actuelle de lInde. Par Dr. Koenraad Elst Article paru dans La Revue de l'Inde N°1 – octobre / décembre 2005 Depuis les élections du printemps de 2004, l’Inde est de nouveau gouvernée par le Parti du Congrès. Pourtant, ce n’est plus du tout le parti naturellement prédisposé à former le gouvernement, constamment très majoritaire au Parlement, comme il l’avait été presque sans interruption depuis l’époque de Jawaharlal Nehru (1947-64) jusqu’à la fin du gouvernement de Narasimha Rao (1991-96). Maintenant, le parti est réduit à 146 sièges sur un total de 545, et doit fonctionner au sein d’une coalition comprenant des partis socialistes et régionalistes. Comme par le passé, la politique indienne est marquée surtout par deux axes de controverse : entre socialisme néhrouvien et libéralisation ; et entre ce qui se décrit comme laïcisme et ce qui est décrit pas ses adversaires comme communautarisme.

Quand on parle de l’Inde, le public occidental pensera d’abord aux hostilités hindou-musulmanes. Dr. Notes : Résultats de recherche - Histoire-géographie - Éduscol.