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Expositions

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BASQUIAT. Cette rétrospective est présentée à l’occasion du cinquantième anniversaire de la naissance de l'artiste.

BASQUIAT

C'est la première de cette envergure en France. D’origine portoricaine et haïtienne, né en 1960 à Brooklyn dans l’Etat de New York et mort à New York en 1988 à la suite d’une overdose à l’âge de vingt-sept ans, Basquiat appartient à la génération des graffiteurs qui a brusquement émergé à New York à la fin des années 70. En 1977, il commence à signer ses graffitis du nom de SAMO (pour « Same Old Shit ») accompagné d’une couronne et du sigle du copyright. Au cours de sa fulgurante carrière, sa peinture passe de la rue au tableau. Son univers mélange les mythologies sacrées du vaudou et de la Bible en même temps que la bande dessinée, la publicité et les médias, les héros afro-américains de la musique et de la boxe, et l’affirmation de sa négritude.

Le peuple qui manque. Que faire ? Art, film, politique - le peuple qui manque. Centre Pompidou | Palais de Tokyo | Beaux-Arts de Paris Labos d'Aubervilliers | Espace Khiasma | Maison Pop | Cinéma le Méliès From the 11th to the 19th of December 2010, the curatorial platform, le peuple qui manque, in association with the Film department of the Centre Pompidou, proposes a series of encounters entitled "Que faire?

What is to be done? Art/film/politics". These encounters offer an overview of the new critical strategies currently emerging within the international artistic field, and principally within contemporary film production, with a focus on the relationship between art and politics. During the Winter years, as Félix Guattari called them, the corollary to the fall of the Berlin wall was presumed to be the fading of twentieth-century utopias.