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Eugénie Bastié : incompétence et camp colonial. Étiquettes : Bastié, fé!

Eugénie Bastié : incompétence et camp colonial

Insme, homophobie, racisme, sexisme L’homophobe Eugénie Bastié n’aime pas la non-mixité dans les réunions féministes et anti-racistes et l’a fait savoir partout où elle le pouvait au prix de petits arrangements avec la vérité et les règles de base du journalisme. Ce vendredi soir, chez Taddéi, elle allait avoir droit à son camp colonial à elle : un plateau télévisée seulement composée de femmes blanches, sans association LGBT – bref, la crème de son « universalisme » à elle. Et puis, bam ! France 2 invite une femme non-blanche… Bastié reste fidèle à la stratégie qu’elle a mise en place depuis 2013 et qui consiste à renverser les positions des oppresseurs et des opprimé-es qu’elle cible (LGBT, militantes féministes, anti-racistes, etc.) – on retrouvera des exemples de cette stratégie ici ou ici.

Indigence et incompétence On la sent pourtant bien à la peine dans son combat pour légitimer son entre-soi. Action Française ou Grand Remplacement ? Communiqué de presse : Démission des membres du conseil d’administration et du comité d’organisation d’Osez le féminisme 69 !  Nous, militantes, membres du conseil d’administration et l’intégralité du groupe d’organisation de l’association Osez le féminisme 69 !

Communiqué de presse : Démission des membres du conseil d’administration et du comité d’organisation d’Osez le féminisme 69 ! 

Démissionnons collectivement de nos fonctions. Cette démission sera effective à compter du 18 juin, date à laquelle se tiendra notre Assemblée Générale Extraordinaire. D’une part, cette décision résulte de désaccords fondamentaux concernant le fonctionnement de l’association Osez le féminisme ! Et ce particulièrement dans ses relations avec les antennes locales.

D’autre part, nous ne pouvons plus militer au sein d’une association qui refuse de se positionner sur certains sujets, laissant ainsi l’islamophobie gangréner la société alors que les femmes en sont les premières victimes. Immigration, peine de mort, alliés néofascistes… L’histoire cachée des FEMEN (2/3) Cette deuxième partie est consacrée à la naissance et au développement de FEMEN.

Immigration, peine de mort, alliés néofascistes… L’histoire cachée des FEMEN (2/3)

Leurs alliances, leurs soutiens, leur positionnement… Dans un contexte politique ukrainien aussi tendu que confus, les FEMEN se livreront à toutes les alliances et amitiés. Jusqu’à faire héberger leur site internet par un ancien leader skinhead (ci-dessus) ou manifester avec le parti d’extrême-droite Svoboda. Débuts FEMEN : xénophobie et néo-atlantisme Quand FEMEN est lancé sur Kiev, au printemps 2008, André Kolomiets ("Andrew Kolomyjec"), un des cadres de Grande Ukraine (mouvement rouge-brun sont issues les FEMEN, cf. première partie) rentre rapidement à son Conseil d’Administration.

Un certain nombre de thèses défendues par Grande Ukraine sont reprises à leur compte par les FEMEN. Enfin, il y a les Turcs, avec lesquels Igor Berkut (dirigeant de Grande Ukraine) considère qu’une guerre est inévitable. Une des toutes premières action FEMEN s’est d’ailleurs déroulé devant l’ambassade de Turquie. Gradient Lair. « Oui mais quand même, la religion, c’est mal » Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes.

« Oui mais quand même, la religion, c’est mal »

Fausses amies. Il est devenu difficile pour cette frange de la population qui a toujours vécu grâce à l’exploitation par l’homme de l’homme, et donc beaucoup de la femme, de nier le bonheur, la liberté, le soulagement que le féminisme a permis d’apporter dans nos vies.

Fausses amies

« Oui mais quand même, la religion, c’est mal » — www.peripheries.net. Relayer l’information de la énième agression d’une femme voilée, ou les propos haineux tenus sur l’islam par la représentante d’une organisation pseudo-féministe, revient immanquablement à emboucher l’appeau à trolls religiophobes.

« Oui mais quand même, la religion, c’est mal » — www.peripheries.net

Que des femmes soient insultées et tabassées, que le féminisme serve de leurre pour répandre et banaliser le racisme le plus crasse, tout cela, le/la religiophobe s’en moque : dans un pays où médias et politiques, de façon plus ou moins insidieuse, désignent à longueur de temps les musulmans comme la cause de tous les maux de la société, son seul sujet d’anxiété est que son droit à « critiquer la religion » soit garanti.

Pour l’exprimer, il usera de subtiles gradations dans la virulence, de la simple protestation à l’éructation scatologique probablement censée traduire la hauteur à laquelle il plane dans l’éther philosophique inaccessible aux benêts qui voient du racisme partout : « Moi, je chie sur toutes les religions. » Monachollet: #Femen contre la venue des... Femen partout, féminisme nulle part, par Mona Chollet. «Les musulmans semblent éprouver un sentiment de puissance virile à voiler leurs femmes, et les Occidentaux à les dévoiler », écrivait l’essayiste marocaine Fatema Mernissi dans Le Harem et l’Occident (Albin Michel, 2001).

Femen partout, féminisme nulle part, par Mona Chollet

L’engouement des médias français pour des figures comme les Femen ou Aliaa El-Mahdy, l’étudiante égyptienne qui, en 2011, avait posé nue sur son blog (1), offre une nouvelle confirmation de la justesse de cette observation. On a pu voir sur France 2, le 5 mars, un documentaire consacré au collectif d’origine ukrainienne implanté en France depuis un peu plus d’un an (2), et un autre intitulé Aliaa, la révolutionnaire nue sur La Chaîne parlementaire (LCP) pour le 8 mars, Journée internationale des femmes. Hela Ammar: "Etre prisonnière en Tunisie": Le faux témoignage des Femen? Héla Ammar est co-auteur de l'ouvrage Le syndrome de Siliana (2013, Ceres), enquête sur les couloirs de la mort dans les prisons tunisiennes.

Hela Ammar: "Etre prisonnière en Tunisie": Le faux témoignage des Femen?

Peu importe le passé douteux que l'on attribue, à tort ou à raison, à certaines activistes Femen. Peu importe que leur action « seins nus » dénote, et qu'elle s'écarte des moyens jusque là employés par les mouvements féministes traditionnels. Pour ou contre le timbre « Femen »? Boutin a hésité entre pleurer et tomber dans les vapes, en découvrant le nouveau timbre poste à l'effigie d'une Marianne empruntant ses traits à la leader du mouvement Femen, Inna Schevchenko.

Pour ou contre le timbre « Femen »?

Finalement, elle a seulement dressé ses troupes contre, dans le désordre, François Hollande, le déclin français, "l'hétérophobie" (???) Et "le timbre de l'outrage". Conspué et menacé, Olivier Ciappa, le concepteur du visuel a donc voulu s'expliquer dans une longue tribune au HuffPo : rappelant en premier lieu que ce n'est pas le Président qui a choisi cette image, mais un ensemble de lycéens qui ont voté pour, parmi une sélection de plusieurs propositions, il explicite sa démarche créative. Après avoir, dit-il, tenté de mélanger les traits de Christiane Taubira et ceux de Roselyne Bachelot pour créer la Marianne 2013 et s'être aperçu que ça ne "fonctionnait pas" (!)

Femen_France: FEMEN est un mouvement... Femen_France: NOUS SOMMES ATHÉES! ET NOUS... Femen_France: FEMEN doit encore répéter... Femen_France: FEMEN n'est pas un mouvement... Pour Inna Shevchenko, leader des Femen, Amina "joue le jeu des islamistes" Amina Sboui quitte les FEMEN: "Je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe" Amina Sboui nous donne rendez-vous dans un petit café à Tunis.

Amina Sboui quitte les FEMEN: "Je ne veux pas que mon nom soit associé à une organisation islamophobe"

Avec deux de ses amies, elle parlait de livres, de féminisme et de politique. Elles se connaissent depuis plusieurs années. “On allait ensemble aux concerts de rock” disent-elles. À cinquante mètres du café, un tag: “Vous ne nous terrorisez pas. Si la révolution est un crime, alors nous sommes des criminelles”, signé Feminism Attack.