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BLOOM Taxonomie

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s2 ressourcesutiles taxonomiedeBloom. Taxonomie Bloom Aquops2010 Final. Du design à la pédagogie. « Elle permet d’identifier l’activité intellectuelle que vous sollicitez chez un élève lorsque vous lui demandez de répondre à un outil d’évaluation » Alain Rieunier – Préparer un cours – ESF-Editeur – 2007 Les 6 niveaux de la taxonomie sont : 1) Connaissance (Mémoriser, réciter par coeur) 2) Compréhenson (Dire dans ses propres termes) 3) Application (Appliquer ses connaissances) 4) Analyse (hypothèses, Conclusions, faits, Interprétations) 5) Synthèse (Réaliser une oeuvre personnelle) 6) Evaluation (Porter un jugement de valeur argumenté) Donc, si je construis des exercices, dont l’objectif est « Savoir utiliser la taxonomie de Bloom » pour construire des outils d’évaluations.

Du design à la pédagogie

Au niveau 1 Connaissance, il faudra savoir répéter la définition d’Alain rieunier, voire d’autres définitions, et les 6 niveaux de la taxonomie de Bloom. Au niveau 3 Application : Je vais montrer plusieurs exercices d’évaluation et il s’agira de déterminer quel niveau de la taxonomie de Bloom est sollicité. Développer la métacognition chez l'enseignant ? Oui, grâce à la taxonomie ! La métacognition pour les enseignants ?

Développer la métacognition chez l'enseignant ? Oui, grâce à la taxonomie !

Nous savons qu’un enseignant métacognitif sera plus enclin à développer la métacognition chez ses élèves qu’un enseignant qui n’a pas de réflexion métacognitive pour lui-même. En effet, un enseignant qui est dans une démarche métacognitive peut bien saisir les occasions de réflexion qui se présentent dans le feu de l’action. Mais... comment entreprendre une démarche métacognitive quand on est enseignant ? Avec l’aide de Nathalie Frigon de la CSMB, nous avons entrepris une réflexion pour amener les enseignants à comprendre que certaines utilisations des TIC avaient un impact sur l’apprentissage chez les élèves et que d’autres utilisations des TIC en avaient moins. Mais sur quelles bases ? La taxonomie de Bloom et la créativité. La véritable création commence où finit le langage.

La taxonomie de Bloom et la créativité

(Arthur Koestler) Malgré l’abandon des programmes d’études reposant sur des objectifs spécifiques, la taxonomie de Bloom reste utile. D’une part, Bloom reconnaissait la complémentarité des domaines affectif et psychomoteur, même si les descriptions qu’il en a faites semblent aujourd’hui bien superficielles. Mais surtout, sa classification du domaine cognitif en six niveaux de complexité s’avère une façon simple de représenter les activités de la pensée pour les élèves et les parents. Elle concilie fort bien le rapport entre la connaissance (mémoire, compréhension, application) et les compétences (application, analyse, synthèse, évaluation) dont plusieurs parents s’inquiètent depuis l’avènement de la réforme. Les échelons supérieurs de la classification de Bloom correspondent justement à la créativité que le renouveau pédagogique vise à développer et qui constitue le meilleur salut pour l’avenir des élèves.

(Sources : A. La taxonomie d'Anderson et de Krathwohl. Roue padagogie. La taxonomie d'Anderson et Krathwohl. 6 niveaux de la taxonomie de bloom. Taxonomie bloom. Les savoirs essentiels dans une approche par compétences? C'est du gâteau!