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Psychanalyse

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Serge Tisseron, la culture numérique - visions. «Nouveau monde» contre «vieux monde» ?

Serge Tisseron, la culture numérique - visions

En surfant sur la Toile ou en écoutant les infos à la radio, en prêtant l’oreille aux débats sur la loi Hadopi ou en suivant l’actualité de ces soulèvements qu’on a appelé le «printemps arabe» en Tunisie ou le «printemps érable» au Québec, n’avez-vous jamais eu le sentiment qu’un «nouveau monde» s’oppose aujourd’hui sous bien des aspects à un «vieux monde» ? Et que la culture de ce «nouveau monde», qu’on pourrait qualifier de numérique pour résumer son vecteur principal, semble se heurter sans cesse aux valeurs, aux façons de faire et de décider, aux modes de vie et surtout aux codes d’autorité traditionnels de nos sociétés occidentales ? Déjà, au début des années soixante, Marshall Mc Luhan affirmait dans une phrase fameuse devenue presque un cliché : «Le message c’est le médium»… Une culture s’apparente à un langage, à des formes de relation et de transmission autant qu’à des objets culturels en tant que tels.

Une autre culture des écrans. Leon-Marc Levy, le Blog » Pour Lacan. J’ai évité de justesse d’intituler cette chronique « Jacques là quand ?

Leon-Marc Levy, le Blog » Pour Lacan

», par un calembour digne de l’almanach Vermot, ou, pour être d’emblée dans le propos, digne de Jacques Lacan. Pour vous donner quelque idée de la passion de Lacan pour le calembour, je ne citerai que l’intitulé de deux de ses derniers séminaires de l’ancienne fac de droit : « Les non-dupes errent », « L’insu que sait de l’une-bévue s’aile a mourre ». Dans le cas du second, nous sommes encore un certain nombre à nous demander comment le « déconstruire » (ça joue sur Unbewusste = inconscient chez Freud). C’est que parfois, ce goût du Maître pour le jeu de mots nous mettait sacrément dans l’embarras. 284. 281. Philippe De Georges, Furor patris. Philippe De Georges Claude Rabant Mariage homosexuel, adoption pour les couples gays et lesbiens, droit à la PMA pour toutes les femmes, accès à la gestation par autrui (GPA) pour les couples gays : tandis que le débat fait rage sur le pavé parisien et dans les médias, les psychanalystes de tous bords se croient sommés de dire le vrai sur le vrai de la paternité, du droit au couple et de la filiation.

Philippe De Georges, Furor patris

Certains se laissent d’autant plus facilement enrôler dans les rangs d’un camp religieux assez habile pour ne pas dire son nom, qu’ils ont, quoiqu’ils en disent, une vision sacrée de la psychanalyse. Œdipe et Nom-du-Père sont pour eux les formes laïcisées et modernes du courant patriarcal millénaire. Comme les Droits de l’Homme sont pour beaucoup l’avatar, inventé au XVIII° siècle, des principes évangéliques débarrassés de Dieu, la norme œdipienne peut tenir lieu de morale républicaine pour un règne du père, tempéré. Que faire du Père ? Les vidéos. Vidéo de Michel Serres et Bernard Stiegler. Moteurs de recherche. Tout d 'abord , merci , la qualité de ce dialogue est déjà philosophique!

Vidéo de Michel Serres et Bernard Stiegler. Moteurs de recherche

Vidéo de Charles Melman. « La seule norme aujourd'hui, c'est d’être vendable » Débat : La politique catholique des corps, entre sacralisation et naturalisation. L’École de la Cause freudienne, La Règle du Jeu et Lacan Quotidien vous invitent, ce mercredi 23 janvier 2013 à 21h 15, à une conversation avec Danièle Hervieu-Léger sur La politique catholique des corps, entre sacralisation et naturalisation Danièle Hervieu Léger et Jacques-Alain Miller Une conversation animée par Jacques-Alain Miller.

Débat : La politique catholique des corps, entre sacralisation et naturalisation

Danièle Hervieu-Léger, Directrice d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), est sociologue, elle a dirigé, de 1993 à 2004, le Centre d’études interdisciplinaires des faits religieux (CNRS/EHESS) et a présidé l’EHESS de 2004 à 2009. Mercredi 23 janvier 2013 à 21h 15 Salle paroissiale 92 bis, boulevard du Montparnasse 75014 ParisParticipation aux frais : 10 euros (sur place). Serge Tisseron : A propos des réseaux sociaux. Où il est question de comprendre pourquoi les multinationales ont intérêt à éviter tout anonymat sur Internet, pourquoi Facebook "est et restera une saloperie" et pourquoi donc le mode scolaire a tout intérêt à créer des réseaux sociaux alternatifs et interconnectés entre eux.

Serge Tisseron : A propos des réseaux sociaux

Serge Tisseron se méfie fortement des réseaux sociaux « En dessous de 12 ans, Facebook n’est pas possible » Interview de Serge Tisseron par Jean Claude Vantroyen pour Le Soir du Jeudi 20 septembre 2012 (link is external) Faut-il ou non autoriser l’utilisation de Facebook aux moins de 13 ans ? Il faut constater que l’interdiction aux moins de 13 ans est actuellement contreproductive.

Pour deux raisons. L’idée que Facebook soit accessible à des enfants, c’est une manière de faire en sorte qu’ils soient accompagnés. Facebook vit dans une illusion à laquelle il essaie de faire croire : que les affiliés n’ont qu’une seule adresse IP. Comment les parents doivent-ils agir ?