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Yokama

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Evolution de la presse

ACPM ONE Global 2015 V4. ACPM-ONE Global est une fusion des données d’audience Print de ONE avec les données Médiamétrie//NetRatings (MNR) de l’Internet Fixe, du panel Internet Mobile (PIM) et du Panel Tablette de Médiamétrie. La méthode de fusion a été établie et validée par ACPM et Médiamétrie avec le soutien méthodologique du CESP. Cette fusion intègre les quatre sources d’audiences de référence indépendantes tout en veillant à maintenir leur parfaite intégrité. Les répondants Médiamétrie//NetRatings, de l’Internet Mobile et du Panel Tablette sont « jumelés » avec les répondants de ONE sur la base de caractéristiques communes. ONE est l’étude « receveuse » (le plus gros échantillon de répondants) des données d’audience numériques fixes, et mobiles et tablettes.

ACPM ONE Global prend en compte de manière précise l’ensemble des points de contacts des marques de presse sur l’ensemble des supports papier et numériques. Le politiquement correct : censure et compassion. Aux USA, la political correctness (PC pour les intimes) est revendiquée par ses adeptes, officiellement progressistes. Dès les années 70 et 80, les universités puis les médias et les administrations développent des lexiques (ne dites pas…, dites…) imposés aux locuteurs sous peine de mise au pilori intellectuel voire de sanctions Ceci est peut-être en train de changer : la Cour Suprême, dans un arrête relatif à l’université du Michigan et déjà vieux d’une quinzaine d’années, a jugé non constitutionnel l’imposition d’un code de langage.

Mais les habitudes subsistent et le politiquement correct fonctionne sur un modèle assez simple. Il impose de désigner certaines catégories d’individus, identifiés par leur sexe, leur race, leur culture, leur préférence sexuelle, leur handicap, leur profession ou autre, de manière non discriminante (ce qui est un paradoxe si l’on songe que la langue sert surtout à distinguer ce à quoi elle se réfère), non injurieuse, non condescendante. Propos présumés racistes: lynché, Zemmour répond. Eric Zemmour a envoyé au président de la Licra une lettre d’explication sur ses récents propos qui font polémique et sont jugés racistes par certains. Suite à cela la Licra a renoncé pour le moment à déposer plainte contre le journaliste. Un débat aura lieu entre M. Zemmour et le président de la Licra. La lettre Cette lettre est publiée sur le site marianne2. Vu le lynchage de Zemmour je pense utile d’en mentionner ici quelques extraits. Le débat sur le racisme il y a quelques jours sur ce blog avait déjà nuancé et élargi le sujet.

«Ma volonté n’a jamais été de stigmatiser « les noirs ou les arabes » comme des délinquants, mais si cette phrase, sortie de tout contexte, a pu heurter, je le regrette. Qui est raciste? Après avoir fait rappel de ses origines et de la discrimination que lui-même et sa famille ont vécue, il continue: Si l'on veut tordre le cou à un préjugé, il faut avoir le courage de montrer sur quoi le préjugé est fondé. Personne n’a poursuivi en justice ce curé. Puis M. Histoire d’Internet #7 - De l’éclosion au développement de l’Internet. Vers un usage commercial de l’internet D’abord réservé à un usage militaire et universitaire, le réseau se tourne en moins de 15 ans vers un usage commercial, sous l’impulsion du Ministère de la Défense américain.

En 1983, ce dernier divise ARPANET en 2 réseaux distincts. Le premier est réservé à un usage interne et le second est placé sous la responsabilité de la National Science Foundation (NSF). Notre intérêt se porte exclusivement sur ce dernier. L’intervention des acteurs économiques dans le développement des réseaux académiques, qui conduira à l’essor de l’usage commercial, s’explique par la passation de contrats entre la NSF et les premiers pour le développement de ces réseaux. L’extension rapide du réseau a été permise par une triple décision politique menée par la NSF en 1986 : Concernant la connexion au backbone de la NSF, la réglementation est progressivement assouplie pour donner naissance à l’internet moderne. Le World Wide Web [2] Garfinkel S., « Where Streams Converge ». Ces débats médiatiquement corrects, par Serge Halimi (Le Monde diplomatique, mars 1999) Depuis plus de vingt ans, c’est pour un petit jury inamovible d’éditorialistes, de politologues, d’organisateurs de « débats » que les manifestants devraient défiler, les intellectuels réfléchir, les citoyens se laisser sonder.

Quand chacun se plie à une telle imposition, devenue naturelle, y résister expose soit à l’accusation, banale, de « refuser le débat », soit à l’imputation, plus savante puisque badigeonnée de références à Jürgen Habermas, de s’isoler hors de « l’espace public ». Et c’est aussi dans cette obligation de déférer aux sommations médiatiques à comparaître que se situe le terrorisme intellectuel de nos sociétés.

Patrick Champagne l’a bien établi : « Rien n’est plus trompeur que l’image, souvent évoquée à propos de la presse, du forum, du lieu où tout pourrait être publiquement discuté. Faire consommer de l’opinion tiède Dans ces conditions, comment refuser le simulacre ? Violences économiques, violences mondaines En allant son chemin morose. Médias citoyens: réconcilier médias et démocratie. Née en 2005, la revue Altermondes se relance avec une nouvelle formule papier et nouveau site, mais aussi avec un statut juridique original, celui d'une Société coopérative d’intérêt collectif (Scic) qui garantit son indépendance.

David Eloy, son rédacteur en chef, ainsi que les journalistes Malek Khadraoui (Inkyfada.com), Philippe Merlant, (Reporter Citoyen) et Edwy Plenel (Mediapart) défendent ici cette nouvelle forme de presse que sont les médias citoyens, et qui peuvent se fédérer autour de « valeurs et de pratiques communes ». Chaque année, le baromètre La Croix-TNS Sofres confirme le peu de crédit que les Français accordent aux journaux, radios et télés : environ la moitié des personnes interrogées estime que les choses ne se passent pas vraiment comme ces médias le leur racontent. Et trois sur cinq pensent que les journalistes ne sont pas indépendants des pouvoirs politique et économique. Un fossé de défiance s’est creusé entre médias et citoyens.

Premiers signataires : Synthèse CLEMI sur les jeunes et les médias - Edition 2015. Différents types d’événements d’actualité. Où vont les médias ? Publications clés 2014-2015.