background preloader

Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique

Facebook Twitter

Collaborations C2I. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Les comportements addictif liés à l'usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Note section 1. Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent.

Comment devient-on accro au numérique ?

Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent...

Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Pour lire les autres épisodes de notre série de la semaine sur les Nouvelles addictions, consultez notre dossier : ici. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts...

Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ?

Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts...

Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation.

Note section 2. Dans notre vie, nous serons connectés 100.000 heures : est-ce "humainement" possible. Une jeune femme chinoise devant des écrans de télévisions.

Dans notre vie, nous serons connectés 100.000 heures : est-ce "humainement" possible

(GREG BAKER / AFP) Depuis 2012 nous sommes hyperconnectés. Plus de mobiles (smartphones, tablettes…) actifs que de français, joignables à 99% ; une TV 100% numérique et donc des "box" aux forfaits illimités : en use-t-on ou en abuse-t-on ? Lors d’une vie serons-nous connectés 100.000 heures : si oui, de bons repères et de justes équilibres entre vie "réelle et virtuelle" seront indispensables pour notre qualité de vie privée et au travail. 100.000 heures de connexion : comment est-ce possible ?

Nous vivrons près de 80 ans, en partie derrière nos écrans. Or selon les chercheurs de l'Einstein Medical Center de Philadelphie, à "six mois plus du tiers des américains sont déjà familiarisés avec les smartphones": des bébés ne glissent-t’ils pas déjà leurs doigts comme le font leurs parents sur des tablettes ? Plus de 100 000 heures, le calcul est simple : 80 (ans) X 365 (jours) X 5 (heures) = 146 000 heures ! La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding.

#Gloups.

La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding

S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence ! Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent. Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ?

Place et rôle des usages des jeux vidéo et d'internet dans la souffrance psychologique. Sur la notion d’addiction La notion de toxicomanie, désignée en anglais par l’expression addiction to drug fut progressivement remplacée dans le discours médico-psychiatrique par la notion d’addiction. Le terme, qui désigna tout d’abord les conduites de dépendances à des substances psychoactives (alcool, drogue…), fut étendu à partir des années 1990 aux conduites de dépendances à un comportement, telle que la boulimie, la cleptomanie ou plus récemment l’addiction à internet. Cependant la notion d’addiction ne fait pas l’unanimité auprès des professionnels de la santé mentale, car sa définition reste encore aujourd’hui floue. Selon M. Valleur et J. L’adjectif « addictif » fait écho à deux situations : à la difficulté de mettre fin à une sensation particulière,à la tendance de persister dans une conduite.

Note section 3. Dépendance à Internet. Accro au jeu vidéo ? Le jeu vidéo est aujourd’hui un loisir qui concerne toutes les tranches de la population.

Accro au jeu vidéo ?

Une enquête montre que 53 % des Français1 jouent régulièrement et 68 % occasionnellement.