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15 nov.

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Identité numérique. Tiers-lieu : 3 articles pour aider à définir ce type de lieu partagé. Dans le champ pléthorique des définitions des lieux partagés, les mots se côtoient et les besoins de définitions s’affirment à mesure que les projets se structurent.

Tiers-lieu : 3 articles pour aider à définir ce type de lieu partagé

Ainsi, on évoque souvent le terme polysémique de tiers-lieu (cf. l’article Third Place sur Wikipédia anglophone) autrement dit avec comme acceptation générale « un espace de travail réunissant des ressources matérielles et immatérielles propres à générer des synergies collectives, créatives, solidaires et économiques »mais sans connaître forcément avec précision ce que ce mot composé recouvre. Marie D. Martel, bibliothécaire (Ville de Montréal) et docteure en Philosophie a eu la bonne idée en avril 2012 de publier sur son blog Bibliomancienne une série de 3 articles qui aident à la compréhension de ce concept de tiers-lieu sur un point de vue historique, de lieu tiers (lié à la sphère du travail) et de ses déclinaisons possibles dans le secteur des bibliothèques.

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Lectures

La bibliothèque cinquième lieu, sixième lieu, etc. De façon bizarre et réitérée, les questions que je posais sur la bibliothèque troisième lieu me reviennent à travers de multiples échanges, lectures, contacts.

La bibliothèque cinquième lieu, sixième lieu, etc.

Tout aussi étrangement, elles se conjuguent avec des observations passionnées sur mon post-scriptum, qui promettait ma critique de la vogue du ‘learning center‘. Je l’avoue, ces questions me taraudent particulièrement, peut-être parce que me suis beaucoup consacré aux collections et aux politiques documentaires, et que ‘troisième lieu’ comme learning center posent des objectifs qui négligent justement parfois ces collections et parfois ces politiques documentaires.

Un déclic : la bibliothèque quatrième lieu Je suis tombé sur un rapport de Victoria Péres-Labourdette (Agence Gutenberg 2.0), invoquant "La bibliothèque quatrième lieu", dans la bibliothèque numérique de l’enssib. Si la démonstration laisse perplexe et même réticent, la superposition des attendus questionne, et plus encore la solution -si facile et donc si géniale ! L’e-réputation comme attribut de l’identité numérique des entreprises. Hier j’étais à l’ISCC pour le séminaire sur les identités numériques organisé par Alexandre Coutant et Thomas Stenger.

L’e-réputation comme attribut de l’identité numérique des entreprises

Après une présentation de Christophe Benavent sur les données personnelles, j’ai présenté quelques réflexions issues de mon travail de recherche. Voici donc la présentation. A noter que cette présentation s’inspire sur certains aspects de celle effectuée à l’Erepday, ainsi que du travail de définition effectué avec Julien Pierre (présentation ici, et article bientôt en ligne sur HAL si tout se passe bien et vite). Bref, des réflexions qui ne viennent pas de nulle part non plus Ci-dessous les slides, puis quelques rapides explications : Pour détailler précisément mes propos, il me faudrait… au moins 400 pages.

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Médiation numérique

E-sidoc. Mémoire. Facebook. Culture numerique. 3C.