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Exploités, protégés ? Les enfants migrants italiens au travail à la Belle Époque | Musée national de l'histoire de l'immigration. Marseille, "Les cireurs napolitains". Carte postale © Musée national de l'histoire et des cultures de l'immigration L’exploitation des enfants au travail, et notamment des petits étrangers, a duré longtemps dans les usines françaises, en dépit d’une législation mise en place à partir du milieu du XIXe siècle.

À la Belle Époque, les milieux italiens, français et internationaux de la protection de l’enfance, dénoncent le calvaire et "la traite des petits Italiens" mis au travail dès le plus jeune âge, comme vendeurs ambulants à Paris ou comme manœuvres dans les ateliers de textile et de verrerie. La conférence présentera les acteurs et les mécanismes de cette exploitation, qui s’appuyait sur un véritable trafic d’enfants-migrants. Le cas des petits Italiens pose également la question des relations entre la construction du droit social et le contrôle croissant des migrations internationales à l’époque contemporaine. Écouter (1h50) : Exploités, protégés ? Podcast Pour en savoir plus : Les italiens en France : jalons d’une migration | Musée national de l'histoire de l'immigration. Déjà au Moyen-Âge, clercs, marchands, banquiers, artistes mais aussi colporteurs et paysans de ce pays qui n’est encore qu’une "expression géographique" trouvent en France une terre d’accueil.

À partir de la Renaissance, certains participent au gouvernement du royaume (Catherine de Médicis, Concini, Mazarin) tandis que d’autres contribuent à son rayonnement culturel (Vinci, Goldoni, Lully), conférant aux Italiens une grande visibilité et les affublant de stéréotypes tenaces, alors que leur nombre demeure restreint. Ce n’est qu’au milieu du XIXe siècle que l’immigration devient massive et continue jusqu’aux années soixante du siècle suivant. Une nation d’émigrants Les émigrants italiens à la gare de Saint-Lazare, L'Illustration, 28 mars 1896 © Musée national de l'histoire et des cultures de l'immigration.

En 1913, année culminante de la "grande émigration" d’avant la Première Guerre mondiale, ils sont 872 000 à partir. La France, terre d’accueil Visages d’Italie "Petites Italies" 1936. Chaudronniers-et-soudeurs-la-france-se-lance-dans-la-competition. Jeux olympiques et exposition universelle ne suffisent pas à la France, qui est aussi candidate pour organiser, en 2019, la "Worldskills competition", version internationale des Olympiades des métiers. Lors de cette compétition, s’affrontent de jeunes professionnels se formant ou pratiquant une cinquantaine de métiers, essentiellement artisanaux ou manuels. Parmi eux, dix relèvent de l’industrie stricto sensu (chaudronnerie, soudage, contrôle industriel, mécatronique…), cinq des nouvelles technologies (câblage de réseaux à haut débit, webdesign,..), cinq de l’automobile (tôlerie, peinture automobile…), deux de la maintenance (dont l’aéronautique).

Mais les jeunes représentent aussi les métiers du BTP, de la coiffure, du jardin. Ils ont 48 heures pour réaliser une œuvre. Soutien du monde économique La délégation internationale qui désignera le 10 août le pays organisateur de la rencontre de 2019, a été reçue avec les honneurs par la France lundi 29 et mardi 30 juin. Cécile Maillard. Anticiper en permanence l’évolution de la demande du Client - facilivente. Si le rôle du service commercial est primordial, il n’est pas le seul concerné, en fait c’est toute l’entreprise qui doit travailler, chacun à son rang, pour l’entière satisfaction des légitimes attentes du client.

La formation à la communication inter-personnelle et la prise en compte du rôle fondamental d’un client par chaque composante de l’entreprise permettent de faire une réelle différence de valeur ajoutée. La formation permanente à la maîtrise de tous les aspects du métier de commercial par la force de vente et la capacité de celle-ci à séduire et fidéliser la clientèle est indispensable pour développer une relation saine et durable. Les objectifs poursuivis La méthode de travail Les moyens à mettre en œuvre Besoin d’informations complémentaires ? SOUS-TRAITANCE : Tout savoir sur la sous-traitance. La sous-traitance constitue l’opération par laquelle une entreprise confie en partie à une autre société – souvent une PME – l’exécution de sa production, la réalisation de composants nécessaires à sa production ou l’exécution d’une partie des tâches qui lui incombent, dans le cadre d’un contrat conclu avec un donneur d’ordre.

Les produits ou les tâches délégués au sous-traitant sont réalisés suivant les besoins et les directives de l’entreprise donneuse d’ordre. Le sous-traitant diffère du fournisseur dans la mesure où ce dernier est entièrement responsable des produits ou des services qu’il fournit à ses clients. En ayant recours à la sous-traitance, ce dernier peut se recentrer sur le coeur de son métier et concentrer ses ressources sur les activités primordiales et stratégiques. 2) Typologie de la sous-traitance Il existe deux types de sous-traitance, à savoir la sous-traitance de capacité et la sous-traitance de spécialité : 3) Les avantages de la sous-traitance.

Comment une entreprise peut-elle maîtriser les risques induits par l'innovation ? 35Dans le cadre de l’innovation, le partage du risque est incontestablement un enjeu stratégique majeur puisqu’il permet aux entreprises concernées de répartir le coût entre elles et de limiter les conséquences négatives sur l’activité de l’entreprise de l’occurrence d’un événement défavorable, ou de l’impact d’une situation dégradée. 36Nous verrons ici en quoi la capacité de l’entreprise à innover d’un point de vue organisationnel (externalisation, co-développement) lui permet de limiter individuellement ce risque. 37L’innovation comporte tant de risques que les entreprises cherchent à les partager avec d’autres, voire à les externaliser sur d’autres. Ainsi, les alliances de conception ou co-développement se multiplient, tout comme les essaimages -ou entreprises projets-destinés à supporter le risque lié à l’innovation à la place d’une entreprise qui lui soustraite d’une certaine façon ce risque. 39Aux Etats-Unis, l’essaimage se développe de plus en plus. 51S.

Comment une entreprise peut-elle maîtriser les risques induits par l'innovation ? Dans le cadre de l’innovation, le partage du risque est incontestablement un enjeu stratégique majeur puisqu’il permet aux entreprises concernées de répartir le coût entre elles et de limiter les conséquences négatives sur l’activité de l’entreprise de l’occurrence d’un événement défavorable, ou de l’impact d’une situation dégradée. L’externalisation du risque L’innovation comporte tant de risques que les entreprises cherchent à les partager avec d’autres, voire à les externaliser sur d’autres. Ainsi, les alliances de conception ou co-développement se multiplient, tout comme les essaimages -ou entreprises projets-destinés à supporter le risque lié à l’innovation à la place d’une entreprise qui lui soustraite d’une certaine façon ce risque.

Aux Etats-Unis, l’essaimage se développe de plus en plus. Selon le baromètre Outsourcing d’Andersen (2001), 63% des entreprises prétendent avoir recours à l’externalisation de la R&D. De nombreuses entreprises externalisent une partie de leur R&D : S. Chaîne de facturation : l’optimisation passe aussi par le recouvrement de créances. Articles liés Adil Lahlou L’amélioration du besoin en fonds de roulement (BFR) des entreprises nécessite une gestion efficace de tous les processus qui y sont liés, depuis l’émission de la facture jusqu’à son encaissement, en passant par son suivi et le recouvrement des créances. La première étape, pour être réglé dans les délais impartis, repose sur la qualité de la facture émise. Plus elle respectera les contraintes de facturation exigées par le client, notamment sur le plan administratif, plus les délais de paiement seront respectés. Les médias du groupe Finyear Lisez gratuitement : FINYEAR Le quotidien Finyear : - Finyear Quotidien Sa newsletter quotidienne : - Finyear Newsletter Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation.

Techniques de fidélisation clients : les basiques pour réussir. Qu’est ce que la fidélisation clients ? La grande majorité des sociétés cherche à fidéliser ses clients. Pourquoi ? Avoir des clients fidèles, c’est s’assurer : De réaliser des économies (l’acquisition coûte entre 3 et 10 fois plus cher que la fidélisation)La récurrence du chiffre d’affaires et donc la pérennité de l’activitéD’obtenir une rentabilité croissanteDe la promotion gratuite (bouche à oreille, recommandations) Une fois que l’on a ces avantages en tête, encore faut-il s’y prendre avec un minimum de méthode et de bon sens.

Un client fidèle, c’est quoi ? Un client fidèle est un client que l’on conserve dans le temps et qui consomme régulièrement les produits ou services que vous proposez. Pourquoi un client est fidèle à une marque ou une société ? Les « mauvaises » raisons de la fidélité : Parce qu’il ne veut pas faire l’effort de chercher vos concurrentsParce qu’il a peur de modifier ses habitudesParce qu’il est obligé Les « bonnes » raisons de la fidélité : En synthèse : La RSE pour faire face aux risques de réputation. Articles liés Constant Calvo La réputation vise à instaurer la confiance, le respect et la légitimité de l’entreprise. On peut tracer les origines du concept de réputation à la gouvernance, au management, à la communication en situation de gestion de crise, à la performance financière, au respect des normes et du droit du travail, ou à la culture corporate.

A ces données traditionnelles il convient d’ajouter la montée en puissance de trois autres facteurs. Constant Calvo, Directeur associé ADHERE RH Les médias du groupe Finyear Lisez gratuitement : FINYEAR Le quotidien Finyear : - Finyear Quotidien Sa newsletter quotidienne : - Finyear Newsletter Recevez chaque matin par mail la newsletter Finyear, une sélection quotidienne des meilleures infos et expertises en Finance innovation & Digital transformation. Management des risques de l'entreprise : Ne prenez pas le risque de ne pas le faire ! Ces processus constituent une partie de l’ossature pour une approche rigoureuse d’estimation et de reporting des risques susceptibles de compromettre la réalisation des objectifs de l’organisation.

Cette approche présente des opportunités qui permettent d’exploiter des éventuels avantages concurrentiels. Si les processus permettent d’identifier les risques, il convient alors de les évaluer. 2.2.1. L’évaluation des risques L’évaluation des risques comporte trois étapes : l’identification des facteurs, leur classement par priorité et leur classification. C’est ce qu’illustre la figure 3. Si cela est fait correctement, l’évaluation des risques peut corréler tout risque qui pourrait dépendre les uns des autres et éviter ainsi les pertes de temps ou des doublons.

Figure 3 - Evaluation des risques C’est à la fonction de l’évaluation des risques d’examiner et de déterminer la probabilité d’occurrence ou de survenance d’un évènement. 2.2.2. La formalisation des risques comporte quatre étapes. Entreprise : gérer la croissance en souplesse. Toutes les entreprises en phase de développement arrivent tôt ou tard à un moment charnière : il faut continuer à croître sans renier ses valeurs.

Voici les éléments clés à prendre en compte pour s’adapter sereinement aux changements. 1. Motivation des collaborateurs De nombreuses entreprises se lancent avec un ensemble de valeurs, qu’il est parfois difficile de conserver pendant les phases de croissance. 2. Une entreprise en pleine croissance génère de gros volumes de données. 3. Plus une organisation croît, plus sa masse salariale se développe et plus les données financières sont disséminées dans différentes applications. 4. Chaque nouvelle activité ou succursale créée à l’étranger implique de se doter de structures juridiques dans les pays concernés ; structures qui devront être prises en compte rapidement dans les rapports financiers et les processus de gestion des salariés.

Sabine Hagège, responsable produit europe, Workday, solution cloud pour la finance, la paie et les RH. La demande (clientèle potentielle) La demande (clientèle potentielle) Etudier la demande c’est se poser la question suivante : « mon projet va-t-il plaire ? ». Il va s’agir, pour y répondre, d’analyser 5 principaux critères : l’évolution globale de la demande sur le marché visé : évolution sur les dernières années écoulées et prévisions d’évolutions pour les prochaines années la segmentation de la demande : Qui consomme le produit/service ? Les comportements des clients potentiels : quand, pourquoi, comment, à quelle fréquence consomment-ils le produit/service ? Les critères d’achat des clients potentiels : sensibilité plus forte à la qualité, au prix, au lieu d’achat… ? Les attentes des clients potentiels par rapport à l’offre : que souhaitent-ils retrouver dans le produit/service ? L’évolution globale de la demande : Pour analyser l’évolution globale de la demande sur un marché, des recherches pourront être faites sur Internet notamment.

La segmentation de la demande : De ce classement, peut naitre le cœur de cible. Comment augmenter sa notoriété ? Des dirigeants ainsi que des organisations cherchent à mettre en valeur leur expertise, pour se faire mieux connaître, bien sûr, mais aussi pour partager leur analyse sur les secteurs qu’ils connaissent bien, voire pour contribuer au débat public. Mais passer du statut de spécialiste anonyme à celui d’expert reconnu ne s’improvise pas. C’est le résultat d’une réflexion qui – en répondant aux bonnes questions – va permettre de développer une stratégie pertinente. Voici donc un petit guide qui va vous aider à encadrer votre démarche à travers dix questions à vous poser pour définir votre stratégie et sept principes à toujours garder en tête lorsqu’on s’exprime publiquement.

Les 10 questions à vous poser pour définir votre stratégie 1. C’est la première question, la plus importante, et celle que les gens se posent le moins. 2. Cela peut sembler simple. 3. La question du fond ne doit pas éclipser celle de la forme. 4. 5. Ultimement, certains voudront atteindre les médias grand public. 6. 7. Management : actualités et tendances sur JDN.

E-communication: définition (cours en Sciences de gestion) - comment le partage de l’information contribue-t-il à l’émergence d’une « intelligence collective » ? | À Découvrir. Démarche qualité : comprendre la démarche qualité. Grâce à la démarche qualité, la qualité est promue à l'intérieur comme à l'extérieur de l'entreprise. Définition de la démarche qualité Adopter une démarche qualité Avant de mettre en place une démarche qualité, une entreprise doit avoir une politique qualité qui détermine les objectifs à atteindre en terme de production et de management.

Une fois cette politique qualité approuvée par la totalité des salariés, la démarche qualité est intégrée. La démarche qualité est l'ensemble des actions menées par une entreprise pour : améliorer la qualité et la gestion de la qualité,proposer de meilleurs produits, services ou prestations aux clients,faire évoluer les salariés. Mise en place de la démarche qualité L'intégration de la démarche qualité concerne tous les salariés : Les cadres et responsables ont le devoir de réorganiser leur service afin de mettre en place les directives dictées par la démarche qualité. La réussite de la démarche qualité. Définition qualité : qu'est-ce que la qualité en entreprise ? What’s the future for customer satisfaction surveys (...)

[Tribune] Mesurer la satisfaction client en point de vente : les erreurs à éviter.