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Deconstruction. Deconstruction (French: déconstruction) is a form of philosophical and literary analysis derived principally from Jacques Derrida's 1967 work Of Grammatology.[1] In the 1980s it designated more loosely a range of theoretical enterprises in diverse areas of the humanities and social sciences, including—in addition to philosophy and literature—law,[2][3][4] anthropology,[5] historiography,[6] linguistics,[7] sociolinguistics,[8] psychoanalysis, political theory, feminism, and gay and lesbian studies. Deconstruction still has a major influence in the academe of Continental Europe and South America where Continental philosophy is predominant, particularly in debates around ontology, epistemology, ethics, aesthetics, hermeneutics, and the philosophy of language.

It also influenced architecture (in the form of deconstructivism), music,[9] art,[10] and art criticism.[11] Etymology[edit] On deconstruction[edit] Derrida's approach to literary criticism[edit] Basic philosophical concerns[edit] PHILOSOPHICAL PERSPECTIVES IN EDUCATION. Section III - Philosophical Perspectives in Education Part 1 Overview Philosophy means "love of wisdom. " It is made up of two Greek words, philo, meaning love, and sophos, meaning wisdom. Philosophy helps teachers to reflect on key issues and concepts in education, usually through such questions as: What is being educated?

Your educational philosophy is your beliefs about why, what and how you teach, whom you teach, and about the nature of learning. When you examine a philosophy different from your own, it helps you to "wrestle" with your own thinking. Branches of Philosophy There are three major branches of philosophy. Think about it: Why might the study of philosophy be particularly important to educators? © 1999 LeoNora M. PHILOSOPHICAL PERSPECTIVES IN EDUCATION. Section III - Philosophical Perspectives in Education Part 3 Educational Philosophies Within the epistemological frame that focuses on the nature of knowledge and how we come to know, there are four major educational philosophies, each related to one or more of the general or world philosophies just discussed.

These educational philosophical approaches are currently used in classrooms the world over. They are Perennialism, Essentialism, Progressivism, and Reconstructionism. Perennialism For Perennialists, the aim of education is to ensure that students acquire understandings about the great ideas of Western civilization. Essentialism Essentialists believe that there is a common core of knowledge that needs to be transmitted to students in a systematic, disciplined way. Progressivism Progressivists believe that education should focus on the whole child, rather than on the content or the teacher. Think about It: Which of these educational philosophies would you describe as authoritarian?

Max Weber. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Weber. Max Weber Max Weber en 1894 Max Weber, né le et mort le , est un économiste et sociologue allemand[1], Il est l'un des fondateurs de la sociologie moderne et l'un des premiers à avoir pensé la modernité d'un point de vue critique. On lui doit une analyse de la bureaucratie, forme d'organisation sociale. Outre son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique. Introduction[modifier | modifier le code] Max Weber est considéré comme le fondateur de la sociologie compréhensive. L'œuvre de Weber est dominée par une recherche sur la rationalité et, plus spécifiquement, sur le processus de rationalisation de l'action pratique comme caractéristique propre de la modernité en Occident.

. « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […]. Réception de son œuvre[modifier | modifier le code] École de Francfort. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parmi ses premiers membres, on compte Max Horkheimer (1895-1973), qui fut le directeur de l'Institut à partir de 1930, son collègue Theodor W. Adorno (1903-1969) avec qui il écrira après-guerre La Dialectique de la raison, sorte de critique de la société de consommation, Erich Fromm (1900-1980), considéré comme l'un des fondateurs du freudo-marxisme et qui mêla psychanalyse et sociologie quantitative, Walter Benjamin (1892-1940), écartelé entre ses influences messianiques hébraïques et un marxisme inspiré de Lukács (1895-1971), ou encore le juriste, davantage social-démocrate, Franz Neumann (1900-1954). L'arrivée d'Hitler au pouvoir contraint l'Institut à fermer ses portes et ses membres, dispersés, à l'exil.

Une partie d'entre eux, notamment Horkheimer, Adorno et Marcuse (1898-1979) iront aux États-Unis, où ils rouvriront l'Institut à New York. En 1950, l'Institut rouvre ses portes à Francfort. Définition[modifier | modifier le code] Holisme. Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1].

Selon son auteur, le holisme est « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1] ». Le holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. De ce fait, la pensée holiste se trouve en opposition avec la pensée réductionniste qui tend à expliquer un phénomène en le divisant en parties.

Différentes acceptions[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] XXe siècle[modifier | modifier le code] Holisme est un terme nouveau introduit dans les années 1920. Jan Christiaan Smuts[modifier | modifier le code] Le holisme de J. « M. Individualisme méthodologique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'individualisme méthodologique est un paradigme de sciences sociales, selon lequel les phénomènes collectifs peuvent (et doivent) être décrits et expliqués à partir des propriétés et des actions des individus et de leurs interactions mutuelles (approche ascendante).

Cette approche s'oppose au holisme, selon lequel les propriétés des individus ne se comprennent pas sans faire appel aux propriétés de l'ensemble auquel ils appartiennent (approche descendante). L'individualisme méthodologique ne doit pas être confondu avec l'individualisme en tant que conception morale et politique : il ne comporte aucune hypothèse ou prescription concernant les motivations ou les actions des individus.

Il se contente d'affirmer que les individus sont les seuls organes moteurs des entités collectives, et qu'on peut toujours reconstruire une propriété collective à partir de propriétés individuelles. Définition[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie. Computationnalisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le computationnalisme est une théorie fonctionnaliste en philosophie de l'esprit qui, pour des raisons méthodologiques, conçoit l'esprit comme un système de traitement de l'information et compare la pensée à un calcul (en anglais, computation[1]) et, plus précisément, à l'application d'un système de règles.

Par computationnalisme, on entend la théorie développée en particulier par Hilary Putnam et Jerry Fodor[2], et non le cognitivisme en général. Le terme a été proposé par Hilary Putnam en 1961, et développé par Jerry Fodor dans les années 1960 et 1970[2]. Cette approche a été popularisée dans les années 1980, en partie parce qu'elle répondait à la conception chomskyenne du langage comme application de règles, et aussi parce que ce modèle computationnaliste était présupposé, selon Fodor, par les sciences cognitives et les recherches sur l'intelligence artificielle.

La théorie fonctionnaliste comporte ainsi trois types de spécifications : L'interactionnisme. L’interactionnisme L’interactionnisme est l’héritier direct de l’école de Chicago. Ce courant de pensée s’est développé aux Etats-Unis dans les années 60 sous l’impulsion de E.Goffman. Il a été en opposition avec le fonctionnalisme. L’interactionnisme centre ses analyses sur les relations réciproques entre les individus (= interactions).

Ce courant de pensée a un point commun avec l’individualisme méthodologique (cf. cours n°8) car tous deux s’intéressent aux motivations des acteurs, mais néanmoins l’interactionnisme se distingue de l’individualisme méthodologique par le fait que l’interactionnisme s’intéresse uniquement aux interactions entre les individus alors que l’individualisme méthodologique s’intéresse aux individus et à leurs stratégies. 1. de la critique de la sociologie allemande… a) Critique des idées Selon les interactionnistes, les individus sont des acteurs. b) Critique de la méthode Les interactionnistes vont proposer une nouvelle manière d’analyser le social. 2. critiques.