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HISTOIRE

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Quand Hollywood camouflait des bases militaires. Après les premières attaques japonaises sur le sol américain en 1941 et 1942, le Colonel John F Ohmer reçut la mission de camoufler des bases militaires californiennes pour éviter les attaques et la récolte de renseignement par les japonais. Étant proche d’Hollywood il fit appels aux grands studios qui lui envoyèrent des peintres, des designers, des artistes paysagers, des charpentiers, des experts de l’éclairage et bien d’autres spécialistes qui travaillaient normalement sur les films. Ils cachèrent plusieurs dizaines de bases sur le territoire de la Californie mais leur plus belle réalisation sera le camouflage de l’usine aéronautique de Burbank, ils recouvrirent tous les bâtiments de camouflages représentant une banlieue tranquille, avec ses voitures en plastique, ses faux arbres faits de fils de fer avec des plumes de poulets peintes en vert pour les feuilles de façon à donner une impression de relief.

[Source 1|Source 2] Largest Abandoned Factory in the World: The Packard Factory, Detroit | Sometimes Interesting. Packard was a premier nameplate in the United States, mentioned in the same breath as Duesenberg, Cadillac, Pierce-Arrow, and Lincoln. The crown jewel for Packard was the Packard Factory, a 3.5 million square-foot complex sprawling across 35 acres. In the years following World War II, the Packard Motor Car Company struggled to keep pace with the larger automakers that had been buying-up the smaller companies to form “the Big Three.” Those not part of the Big Three had to merge to stay competitive: Kaiser and Willys formed Kaiser-Willys, Nash and Hudson formed American Motors, and Packard joined forces with Studebaker.

The experiment was short-lived, however, and Packard plunged into bankruptcy soon after. During the 1950’s Packard endured an economic rollercoaster, from being a premier auto manufacturer outselling Cadillac – to complete bankruptcy. (click to enlarge) Entrance to the Packard factory: then and today By 1957 Packards were no longer assembled at the Detroit plant.

The Factory. Une base spatiale soviétique abandonnée au Kazakhstan. Ralph Mirebs est un photographe russe et un explorateur urbain confirmé. Il a récemment révélé une série de photos extraordinaires prises dans une base désaffectée du Kazakhstan. Cette base était spécialisée dans le développement des prototypes de navettes spatiales soviétiques. L’exploration urbaine ou « Urbex » est une activité consistant à visiter des lieux construits par l’homme, abandonnés ou non, en général interdits d’accès ou tout du moins cachés ou difficiles d’accès. Ralph Mirebs s’est donc rendu dans ce hangar abandonné situé près du cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan, dont certaines parties sont toujours en activité aujourd’hui. Depuis que la NASA a clôt son programme concernant les navettes spatiales, les navettes russes Soyouz sont aujourd’hui le seul moyen pour les astronautes d’atteindre la Station Spatiale Internationale.

Les récentes découvertes du photographe russe appartiennent quant à elles à une toute autre époque. Il y a cent ans : souverains d'Europe, la guerre en famille. Tous les week-ends, Le Figaro explore ses archives de l'année 1914. Retrouvez chaque week-end sur lefigaro.fr un fragment de l'actualité d'il y a un siècle, tel que publié à l'époque dans nos colonnes. Une plongée dans les archives du journal pour revivre les événements historiques, culturels ou sportifs… comme si vous y étiez.

Parentés royales Article paru dans le Figaro du 6 août 1914. Tandis que l'Europe en armes voit les différents peuples se ruer les uns contre les autres, il n'est pas sans intérêt de rappeler quels liens étroits de parenté relient entre eux les souverains des armées actuellement aux prises. Le roi d'Angleterre, le Tsar, l'empereur d'Allemagne sont en effet cousins germains. Le roi Albert de Belgique, qui vient de prendre le commandement de l'armée belge défendant l'indépendance de son pays, attaqué au mépris du droit des gens, n'est le proche allié à aucun de ces trois souverains.

Nouvelles compétences pour le Conseil de guerre C'est le Palais devenu armé. La longue marche de Sapiens: ce que nous apprend la génétique. 1. Le scénario des origines Jusqu'à présent, deux théories à propos de l'apparition de l'homme moderne s'opposaient. La première, dite "multirégionaliste", soutient que les populations ancestrales auraient quitté l'Afrique voilà 2 millions d'années, engendrant simultanément diverses espèces locales comme Homo neanderthalensis en Europe ou Homo erectus. Toutes auraient évolué de façons différentes avant de donner naissance à Homo sapiens sapiens. >>> Notre dossier: Préhistoire, les derniers secrets "Le modèle multirégionaliste a été abandonné, tranche Henry de Lumley, directeur de l'Institut de paléontologie humain de Paris, car il souffrait d'une faiblesse originelle.

Pour autant, la théorie "Out of Africa" ne l'a pas définitivement emporté. Mais d'autres études (portant notamment sur le chromosome Y) ont, depuis, montré qu'un "Sapiens archaïque" a vraisemblablement essaimé un peu partout sur le continent africain avant de partir à la conquête du monde. 2. 3. 4. Et pour cause ! 5. À lire. Dans la tête des nazis. The Siege and Commune of Paris - Portra… Planche contact. 15.360 clichés des demi-mondaines à découvrir sur Gallica, les albums Reutlinger numérisés. Depuis quelques semaines, les Gallicanautes peuvent découvrir en ligne la soixantaine d’albums de Léopold Reultinger que le département des Estampes et de la photographie de la BnF conserve.

Près de 15.360 clichés, réalisés entre 1875 et 1917 qui figurent tout ce que Paris compte de cocottes, demi-mondaines et d’actrices. C’est pour marquer l’arrivée de ce nouveau corpus sur Gallica que j’ai décidé de publier une série de billets donnant un aperçu de leur richesse. Pour ce premier numéro, il s’agit de présenter la maison Reutlinger. Reutlinger, Mata Hari, (tome 39, vue 6), photographie, Gallica/BnF Nadar, Reutlinger, Disderi, voici le nom des studios où il était de bon ton de se faire photographier. Un studio photographie à l’exceptionnelle longévité L’histoire de la maison Reutlinger, c’est l’histoire d’une famille d’origine autrichienne installée à Paris qui photographia pendant 70 ans le tout Paris des spectacles. Reutlinger, Cléo de Mérode (tome 6, vue 17), photographie, Gallica/BnF. Iceman photoscan. Antikforever.com. Château de Chamerolles. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Historique[modifier | modifier le code] Vue du côté sud, depuis le parc Le château a été bâti pendant la première moitié du XVIe siècle par Lancelot Ier du Lac, chambellan de Louis XII puis bailli d'Orléans sous François Ier, sur l'emplacement d'une ancienne maison forte. Il a conservé la forme traditionnelle des forteresses médiévales mais a été conçu comme un château d'habitation. Au XVIe siècle, sous Lancelot II (petit-fils de Lancelot Ier) qui se rallie au protestantisme en 1562, Chamerolles se distingue en abritant un temple protestant dans une de ses pièces.

Le château devint un haut lieu de la religion protestante dans la région. Au XVIIIe siècle, en 1774, le château devient la propriété des Lambert, puis celle de Gaston Jessé-Curély en 1924. Description[modifier | modifier le code] La tour de la Chapelle et l'aile sud, depuis les jardins Les toits sont recouverts d'ardoise. Divers[modifier | modifier le code] Tiers état. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Contrairement à l'historiographie officielle apparue en 1789 avec la publication du célèbre pamphlet Qu'est-ce que le Tiers État ? De l'Abbé Sieyès, les députés ne représentaient pas chacun les membres de leur ordre, c'est-à-dire ceux de la noblesse les nobles, ceux du clergé les ecclésiastiques, et les députés du Tiers état les roturiers, mais toute la population de leurs circonscriptions. [réf. nécessaire] Une fois leur montant global décidé, les impositions étaient réparties par provinces, puis par généralités, ensuite par paroisses, puis par feu (foyer). Il n'y avait pas de répartition des impôts entre les ordres, puisque la noblesse et le clergé étaient exemptés du fait qu'ils n'exerçaient pas de fonctions économiques lucratives.

Origine[modifier | modifier le code] À partir du milieu du XIIIe siècle, les rois et les princes prennent l'habitude de convoquer des assemblées consultatives inspirées des vielles assemblées féodales[4].