Denrées alimentaires : quelles sont les règles d’étiquetage Le règlement (UE) n°1169/2011 impose que les denrées alimentaires présentées à la vente - qu’elles soient préemballées ou non – respectent un étiquetage clair et précis afin d’informer au mieux le consommateur. Quelles sont les règles d’étiquetage des denrées alimentaires préemballées ? Comme son nom l’indique, une denrée alimentaire préemballée est constituée d’un produit alimentaire et de son contenant ou son emballage dans lequel il a été conditionné préalablement à la vente. Le plus souvent il s’agit de produits vendus dans les rayons de libre-service : pot de confiture, pizza sous vide, paquet de gâteaux, boite de chocolats, etc. Ces denrées alimentaires préemballées sont soumises à deux grandes règles d’étiquetage : L'étiquetage doit faire figurer diverses informations qui renseignent objectivement le consommateur. Pour ces produits alimentaires préemballés, les mentions devant figurer obligatoirement sur l’emballage sont les suivantes : Le cas particulier de la viande À savoir
Le réseau social Coffee Machine cartonne en France Avec le développement du télétravail, difficile de trouver un moment pour discuter autour de la machine à café. Des développeurs ont donc eu l'idée de lancer un réseau social, baptisé Coffee Machine qui fait de plus en plus d'adeptes. Qui aurait cru qu’un virus bouleverserait à ce point la façon de travailler. Depuis un an, le télétravail est devenu la norme et les récentes annonces de l’exécutif montrent que cette tendance va se poursuivre. Les collaborateurs ont dû s’adapter, mais il manquait quelque chose, les rencontres à la machine à café. Là où les discussions informelles s’échangent, les décisions se dessinent, les problèmes se débloquent. L’idée est simple, créer des espaces de discussions entre collaborateurs d’une même société. Et le succès ne s’est pas fait attendre, « nous sommes devenus le ClubHouse de la pause-café virtuelle », constate @Arabica.
Facebook inculpé pour abus de position dominante Les États-Unis ouvrent finalement un procès contre Facebook. Le mercredi 9 décembre, la procureure générale de l’État de New York, Letitia James, a annoncé l’inculpation de l’entreprise de Mark Zuckerberg pour abus de position dominante. En plus d’étudier les rachats d’Instagram et de WhatsApp, le tribunal va se pencher sur la gestion des données personnelles, mais aussi des pratiques commerciales de Facebook. « Facebook a utilisé son pouvoir monopolistique pour écraser ses petits rivaux et étouffer la concurrence, tout cela au détriment des utilisateurs quotidiens. Au lieu d’améliorer son propre produit, Facebook a profité des consommateurs et a gagné des milliards de dollars en convertissant leurs données personnelles en vache à lait, » explique Letitia James. Cette procédure vient finaliser de longs mois d’enquêtes sur les pratiques de Google, Amazon, Facebook, et Apple, qualifiées de Big Tech. Aux États-Unis, violer les lois antitrust peut avoir de lourdes conséquences.
Des statistiques pour illustrer Conditions Générales d'Utilisation Le présent document a pour objet de définir les modalités et conditions dans lesquelles d’une part, CERPEG, ci-après dénommé l’ÉDITEUR, met à la disposition de ses utilisateurs le site, et les services disponibles sur le site et d’autre part, la manière par laquelle l’utilisateur accède au site et utilise ses services. Toute connexion au site est subordonnée au respect des présentes conditions. Pour l’utilisateur, le simple accès au site de l’ÉDITEUR à l’adresse URL suivante implique l’acceptation de l’ensemble des conditions décrites ci-après. Propriété intellectuelle Tous les éléments de ce site, y compris les documents téléchargeables, sont libres de droit. Liens hypertextes Le site peut contenir des liens hypertextes vers d’autres sites présents sur le réseau Internet. Il est possible de créer un lien vers des pages de ce site sans autorisation expresse de l’ÉDITEUR. Responsabilité de l’éditeur Accès au site Droit applicable
Les nouvelles règles d’annonces de réduction de prix Jusqu’à présent, l’arrêté du 31 décembre 2008, encadrait strictement les annonces de réduction de prix aux consommateurs, mais pour se mettre en conformité avec le droit communautaire, la France a dû revoir et simplifier sa règlementation. Focus sur ce qui change pour vous, commerçants. Le prix de référence dans les annonces de réduction de prix Depuis le 25 mars 2015, date de l’entrée en vigueur de l’arrêté du 11 mars 2015 relatif aux annonces de réduction de prix aux consommateurs, vous êtes libre de déterminer le prix de référence (prix initial avant rabais) qui, auparavant, était le prix le plus bas effectivement pratiqué au cours des 30 jours précédant l’opération promotionnelle. L’arrêté précise juste que « L’annonceur doit pouvoir justifier de la réalité du prix de référence à partir duquel la réduction de prix est annoncée », par la production d’une facture par exemple. Découvrez les ASTUCES de vos concurrents En téléchargeant notre ebook gratuit : Merci !
Jours fériés et congés payés : quels droits pour le salarié ? Publié le 09/04/2021 Entre avril et mai, on comptera cette année 5 jours fériés. Si la nouvelle réjouit les salariés, les jours fériés sont-ils obligatoirement chômés ? Comment sont-ils payés ? Sur les 11 jours fériés de l’année, 7 tombent sur des jours ouvrés et 4 le week-end. Cette année sept jours fériés tombent en semaine. Seul le 1er mai est obligatoirement chômé et rémunéré. S’agissant des autres jours fériés : - s’ils tombent un jour habituellement non travaillé (ex : le samedi 8 mai), cela n’aura aucune incidence sur le salaire ; - s’ils tombent un jour qui aurait dû être travaillé et que ce jour est chômé, le salarié ayant 3 mois d’ancienneté bénéficiera du maintien de son salaire. Enfin, notons que lorsqu’un jour férié tombe le jour de repos hebdomadaire ou un jour chômé de la semaine (samedi ou lundi par exemple) aucune disposition légale n’oblige l’employeur à donner un congé supplémentaire à ses salariés. Comment comptabiliser ses congés payés de l'année ? Oui, en effet.
Le Parlement adopte une loi pour encadrer le travail des enfants influenceurs Le Parlement a définitivement adopté cette loi qui vient encadrer le travail des enfants influenceurs. Une loi encadre le travail des enfants influenceurs de moins de 16 ans. © Mari - stock.adobe.com Une loi votée à l’unanimité Avec 69 voix pour, le texte du député LRM Bruno Studer a été adopté par l’Assemblée nationale, faisant ainsi de la France une nation pionnière en la matière. Le député du Bas-Rhin rappelle en parallèle que « le travail des enfants en interdit en France, sauf dérogation, y compris sur Internet ». L’objectif est de réguler le travail des influenceurs un peu à la manière de celui des enfants artistes, afin de pouvoir poser un cadre légal sur le volume horaire travaillé, mais également sur la gestion des revenus, parfois démesurés (jusqu’à 150 000 € par mois). Jusqu’à présent, les enfants n’étaient absolument pas protégés. Un cadre légal dans l’intérêt de l’enfant Les apports de cette nouvelle loi concernent également le temps de travail possible des enfants.
Cloud : 10 acteurs partagent 77% du marché La mise en place d’un télétravail généralisé depuis plus d’un an a stimulé le secteur des services cloud. Du côté des particuliers, le streaming vidéo et les jeux en ligne ... La mise en place d’un télétravail généralisé depuis plus d’un an a stimulé le secteur des services cloud. Du côté des particuliers, le streaming vidéo et les jeux en ligne ont rencontré un franc succès. Du côté des entreprises, les services cloud se sont imposés comme la solution pour la poursuite des activités à distance. Microsoft a vu la demande de ses services cloud exploser de 775%. Le marché des services cloud est dominé par des géants américains et chinois, appelés hyperscalers. Positionnement des fournisseurs des services cloud. Au troisième trimestre 2020, le cloud représentait 12 % des revenus d’Amazon pour un montant de 11,6 milliards de dollars, soit une augmentation de 29% par rapport au troisième trimestre 2019. Chiffre d’affaires du marché des services cloud en France.