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La diversité des configurations familiales (2/4)

La diversité des configurations familiales (2/4)

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Christine Détrez : "Il était une fois le corps..." Introduction Quoi de plus naturel qu'un corps ? Pour la science et la médecine occidentale moderne, le corps est une donnée purement biologique dont le fonctionnement dépend de lois naturelles et peut être étudié avec objectivité, indépendamment des conditions de vie ou du contexte social. Par-delà cette «évidence du naturel» les ethnologues, les sociologues et les historiens se sont efforcés de déconstruire ce corps naturel et biologique en montrant comment la culture et les rapports sociaux façonnaient les corps dans leur apparence (vêtements, accessoires, attitudes, mouvements...), dans leur morphologie et leur physiologie (corpulence, émotions, goûts...) et dans leurs représentations (propriétés corporelles valorisées, images publicitaires...). Pour dégager la dimension proprement sociale du corps, la sociologie a dû s'affranchir de la conception d'un corps médical isolé et objectivé tel qu'il est décrit dans les planches d'anatomie. Présentation de la conférence

Même les bébés sont victimes de stéréotypes de genre ! Les filles en rose, les garçons en bleu... Des stéréotypes bien ancrés dans notre société, comme celui de considérer qu'hommes et femmes diffèrent par leurs capacités affectives et cognitives, poussent les adultes à adopter des comportements différents en fonction du sexe de leur enfant, et ce dès leur plus jeune âge. Nous réagissons même différemment à leurs pleurs, révèle pour la première fois une étude réalisée par deux chercheurs de l’Institut des neurosciences Paris-Saclay (CNRS/Université Paris-Sud) et publiée dans la revue BMC Psychology. Mettre en scène l’identité de genre des adolescentes sur Youtube L’adolescence correspond au moment où les futurs adultes commencent à développer une identité propre, à affirmer leur genre. Dans notre société du numérique, cette affirmation identitaire se manifeste également au travers de vidéos mises en ligne sur YouTube. Les adolescentes s’y mettent en scène face à la caméra et s’adressent à un public de pairs féminins afin de créer le sentiment d’appartenance à un genre commun. Pour les étudier, la sociologue Claire Balleys s’est immergée dans le monde de ces vidéastes, cherchant à comprendre les formes de féminité mises en scène par les adolescentes. Ce faisant, elle tend à identifier les discours et gestes utilisées dans leurs vidéos, face à un public d’abonnés chargés indirectement de valider leur identité féminine.

Adieu terrains de foot, bonjour espaces de jeux collectifs ! La cour de récré non genrée fait sa rentrée Le sujet a mis du temps à émerger, mais après Trappes (Yvelines), Lyon, Rennes, Bordeaux, Grenoble ou Floirac (Gironde), il s’impose comme une tendance de la rentrée 2020 dans de nombreuses communes : de plus en plus d’écoles élémentaires et de collèges s’équipent de cours de récréation « non genrées ». A la manœuvre, la géographe bordelaise Edith Maruéjouls, fondatrice du bureau d’études Arobe (Atelier recherche observatoire égalité). Depuis dix ans, la chercheuse accompagne des collectivités dans la mise en œuvre de politiques publiques axées sur l’égalité, comme en cette rentrée à Grenoble, où elle intervient à l’école Clemenceau à la demande de la majorité écologiste d’Eric Piolle. Elle a déjà mené à bien une trentaine de projets de réaménagement de cours d’école. C’est ainsi que, dans les nouvelles cours d’école, les terrains de foot disparaissent généralement au profit de terrains de jeux collectifs, installés dans la largeur de la cour.

Les stéréotypes de genre - Corpus - réseau Canopé Cette séquence peut être utilisée dans le cadre des programmes de 1res S, ES et L.La notion de stéréotypes de genre peut être abordée par un débat précédé d’un questionnement sur la définition d’un stéréotype et sur l’existence de stéréotypes autour de l’identité sexuelle. "Très tôt j'ai compris que l'école, c'était la seule voie pour sortir d'une condition." Jean Pierre est professeur au lycée Paul Eluard de Saint-Denis. Il se sent très proche de ses élèves qui subissent des humiliations et ressentent de la honte liée à leur condition sociale. Lui aussi a connu ça, avant d'obtenir son diplôme de Sciences Po et de devenir un brillant professeur. J'ai grandi dans un petit village de l’Aveyron, à Combes. Mon père était mineur, puis ouvrier métallurgiste. ll m'a toujours dit qu'il fallait que je fasse autre chose.

A l’école, la dure loi des « populaires » Le pire cauchemar de tout ado ? Se retrouver seul sur un banc, dans la cour du collège, à faire semblant d’envoyer des SMS. Pire : manger son sandwich en cachette, entre deux rayonnages du centre de documentation et d’information (CDI), pour éviter la cantine. Etre, en un mot, le paria du système de castes qui prévaut durant toutes les années collège, au sommet duquel trônent les « populaires ». Les familles n’en entendent qu’incidemment parler. « Non, elle, je ne peux pas l’inviter, c’est une populaire… », lâche l’ado dont on prépare l’anniversaire. Drôle de mot, drôle d’autocensure, songera le parent, sans forcément mesurer l’impact de cette hiérarchie implicite sur la santé mentale de sa progéniture.

le rôle de l'école et des familles dans la socialisation Art de Marjorie Galy sur les travaux de Bernard Lahire Classe de Première, à la fin du chapitre socialisation, (durée 3h) Synopsis du livre : dans cet ouvrage Bernard Lahire présente une enquête par entretien auprès de parents de milieux défavorisés (enfants scolarisés dans des écoles socialement défavorisées de la région lyonnaise). Le sociologue a choisi les familles en fonction des résultats prévisibles ou paradoxaux de leur enfant à l’évaluation nationale de français et mathématiques de CE1 afin de mettre en évidence les causes familiales de la réussite scolaire au sein de famille dépourvues de prédispositions scolaires. Lila Bouadma, réanimatrice à l’hôpital Bichat : « Depuis l’enfance, je sais où je vais » Réanimatrice à l’hôpital Bichat à Paris, Lila Bouadma, professeure de médecine depuis 2015, est l’une des trois femmes du conseil scientifique chargé d’éclairer la décision politique depuis le début de la crise sanitaire. A 49 ans, cette fille d’immigrés kabyles, originaire du Territoire de Belfort, se bat sur le front du Covid-19 avec pugnacité et humanité. Je ne serais pas arrivée là si… … Si mon petit frère n’avait pas failli mourir, quand j’avais 9 ans. Une otite purulente avec méningite. Mes parents n’avaient pas le téléphone, ils m’ont envoyée chercher le médecin.

France Cuture L'importance de la socialisation Par ces temps de confinement, de privation de relations sociales, on redécouvre l’importance de la « socialisation ». Mais que faut-il entendre par là ? Ce n’est pas un terme vague ou une dimension secondaire et encore moins facultative de nos vies. La signification (de la socialisation, ndlr.) que j'ai essayé de clarifier un peu dans “Le Manuel de socialisation”, c'est le sens de l'incorporation des dispositions : la façon dont les individus absorbent leur environnement, leurs conditions matérielles d'existence et deviennent qui ils sont en intériorisant en le social.

Inégalité hommes-femmes : les préjugés commencent dès le plus jeune âge Cet article date de plus de six ans. Publié le 14/04/2015 22:00 Mis à jour le 15/04/2015 12:15 Durée de la vidéo : 6 min. Article rédigé par Dans la cour de récréation d'une école primaire, les filles et les garçons ont encore du mal à se mélanger. reportage 1 (vidéo) document 9 - Le textile, une affaire de famille pour les Denis Cet article date de plus de quatre ans. Publié le 30/10/2016 15:28 Mis à jour le 30/10/2016 16:10 Durée de la vidéo : 3 min. reportage 2 (vidéo) document 9 - Le parcours hors du commun de Mohed Altrad, meilleur patron du monde Cet article date de plus de six ans. Publié le 08/06/2015 21:52 Durée de la vidéo : 2 min. Article rédigé par Les familles en 2020 : 25 % de familles monoparentales, 21 % de familles nombreuses - Insee Focus - 249 Une famille sur quatre est monoparentale En 2020, 8,0 millions de familles hébergent au moins un enfant mineur. 66 % des familles sont « traditionnelles » (soit 5,3 millions de familles où tous les enfants résidant dans le logement sont ceux du couple), 25 % sont monoparentales (soit 2,0 millions de familles où les enfants résident avec un seul parent, sans conjoint cohabitant) et 9 % sont recomposées (soit 717 000 familles où il y a dans le logement un couple et au moins un enfant né avant l’union) (figure 1a). Entre 2011 et 2020, la part des familles « traditionnelles » diminue (– 3 points), alors que celle des familles monoparentales croît (+ 3 points) (figure 1b). La part des familles recomposées reste stable. tableau Figure 1a – Répartition des familles en France en 2020

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