Infox, fake news : 5 conseils simples pour aider les enfants à démêler le vrai du faux à l’heure du Covid-19 En ces temps d’angoisse liée à l’épidémie, les fausses infos se multiplient et circulent sur les réseaux sociaux. Comment aider les enfants et les adolescents à distinguer une véritable information d’une infox ou fake news ? Avec Catherine Nayl, directrice de l'information de France Inter, Rudy Reichstadt, fondateur et directeur du site de référence ConspiracyWatch.info (qui analyse de manière critique les contenus complotistes) et Thomas Huchon, rédacteur en chef de Spicee. Ils étaient réunis autour d’Ali Rebeihi dans l'émission Grand bien vous fasse. Ces spécialistes ont délivré quelques conseils pour aider les jeunes à s’y retrouver, à savoir si une information est fiable ou pas. Un propos fiable est toujours sourcé Catherine Nayl : « Dans une « vraie information », il y a toujours un point de départ, ce qu'on appelle dans les écoles de journalisme, « une source ». L’information part toujours d'une parole, d'un propos ou d'une enquête. Croiser les sources Thomas Huchon : Se méfier de soi
Monde | Tout comprendre sur le coronavirus C'est quoi un coronavirus ? Les virus sont des organismes invisibles à l'oeil nu qui transmettent des maladies. Au microscope, on dirait que le nouveau virus découvert en Chine est entouré d'une petite couronne. D'où son nom : coronavirus, qui veut dire virus à couronne en latin. D'où vient-il ? Le coronavirus est apparu à la fin de l'année 2019 en Chine, dans la ville de Wuhan. Comment est-il apparu ? Le coronavirus se transmet de l'animal à l'homme. Est-il très dangereux ? Dans 90 cas sur 100, non. Qui sont les malades ? L'épidémie a démarré en Chine, dans la région de Wuhan. Plusieurs villes en Chine sont restées confinées pendant 6 semaines, c'est-à-dire que leurs habitants ne pouvaient pas quitter la ville sans autorisation. Peut-on soigner le coronavirus ? On ne peut pour l'instant traiter que les symptômes, c'est-à-dire les signes de la maladie (la fièvre, la toux...).
Checknews - Libération Franceinfo junior. D'où viennent les fausses informations et comment les reconnaître ? L'élection de Donald Trump influencée par de fausses informations, des critiques à l'encontre des médias suite à l'affaire Fillon... Ces dernières semaines, les médias ont fait l'objet de nombreuses critiques, parfois virulentes. On leur reproche notamment d'être parfois à l'origine de la diffusion de fausses nouvelles. Dans ce contexte où des informations fiables et vérifiées côtoient parfois des rumeurs et les théories du complot, l'éducation aux médias est devenue indispensable pour aider les enfants et les adolescents - jeunes citoyens en devenir - à faire le tri. Dans les médias, les initiatives se sont multipliées pour apprendre aux plus jeunes les bons réflexes à avoir face à une information ou une rumeur. Sur franceinfo junior, nos apprentis journalistes du jour posent leurs questions sur ce sujet à Erik Kervellec, directeur de la rédaction de franceinfo. ► La liberté d'informer en danger ► Après les attentats, comment vérifier les fausses infos ? ► Mon métier : reporter de guerre
(20+) Desintox Les fausses nouvelles - BNF Panneau de gestion des cookies En autorisant ces services tiers, vous acceptez le dépôt et la lecture de cookies et l'utilisation de technologies de suivi nécessaires à leur bon fonctionnement. Préférences pour tous les services Ce site utilise des cookies nécessaires à son bon fonctionnement. Ils ne peuvent pas être désactivés. Les services de mesure d'audience permettent de générer des statistiques de fréquentation utiles à l'amélioration du site. AT Internet (privacy by design) interdit - Ce service peut déposer 4 cookies. Les régies publicitaires permettent de générer des revenus en commercialisant les espaces publicitaires du site. Ce site utilise des cookies et vous donne le contrôle sur ceux que vous souhaitez activer
L'OMS corrige 9 mythes autour du coronavirus Pour contrer l'épidémie de désinformation déclenchée par le coronavirus, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a corrigé plusieurs mythes circulant sur la toile. Le coronavirus SARS-CoV-2 a désormais contaminé plus de 200.000 personnes dans le monde, et près de 8.000 en France. Face à la peur et au stress que cette pandémie engendre, certaines personnes peuvent baisser leur garder et croire, voire partager, de fausses informations. 1. Jusqu'à présent, aucune information ne permet d'affirmer si le froid a un effet sur le virus. 2. En temps normal, la température du corps se situe aux alentours de 37 °C. 3. Mais bien le paludisme, la dengue, la fièvre jaune, le chikungunya... 4. En l'absence de médicaments ou de vaccin, le seul geste qui peut protéger contre le virus est le lavage de mains. 5. Les scanners thermiques sont parfaitement efficaces pour détecter les personnes fiévreuses touchées par un virus, en l'occurrence le SARS-CoV-2. 6. 7. 8. 9. Cela vous intéressera aussi
Comment utiliser la recherche d’images inversée ? Voici quelques outils pour vous aider à vérifier les images et vidéos qui circulent en ligne. Le Monde | 01.02.2017 à 16h02 • Mis à jour le 01.02.2017 à 18h55 | Par Les Décodeurs « Regardez ! » A chaque événement d’actualité, de nombreuses images et vidéos circulent sur les réseaux sociaux. Mais si elles peuvent apporter leur lot d’information, mieux vaut les manier avec prudence. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les images ne sont pas des preuves en soi. 1. Comme toute information, une image ou une vidéo doit être sourcée. 2. Un bon moyen de déceler les manipulations les plus évidentes est de rechercher si l’image ou la vidéo a été utilisée dans un autre contexte par le passé. Une fois l’image entrée dans le moteur de recherche, vous pourrez voir si elle a été utilisée par le passé. L’outil en ligne TinEye permet également de faire le même type de recherches, sur un modèle similaire. 3.
Hoax, rumeur et désinformation A l’heure ou les élèves utilisent quotidiennement les mails, les réseaux sociaux, il nous a semblé indispensable de les faire réfléchir sur ce qu’est la rumeur, la manière de la détecter, avec un esprit critique. Dans le cadre du Mooc Médias, nous avons décliné cette idée en l’adaptant à deux situations différentes avec une trame commune mais des étapes et des outils adaptés : une classe média impliquant le professeurs de lettres et le professeur documentaliste d’une part, et une séquence anglais / documentation d’autre part. Nom des enseignants : Margaret Tisserand, Delphine Poirier, Sarah Staunton, Cécile Diet E-mail : margaret.tisserand@ac-besancon.fr *protected email* , delphine.binetruy@ac-besancon.fr , sarah-alison.staunton@ac-besancon.fr , cecile.diet@ac-besancon.fr Descripteurs : désinformation, source d’information, évaluation de l’information, éducation aux médias Date de la création de la ressource : Mai 2016 Date de péremption de la ressource : Mai 2021 Compétences Compétences EMI
Le « fact-checking » : une pratique féconde... mais pas auto-suffisante Depuis quelques années maintenant mais avec une accélération certaine depuis la présidentielle de 2012, la presse pratique le « fact-checking ». Il s’agit pour les journalistes de vérifier les faits, notamment à partir des déclarations des élus et candidats aux différentes élections. Disons-le d’emblée : Acrimed considère que cette pratique peut être saine et féconde pour le journalisme tel que nous le défendons. Il ne sera donc pas ici question de contester le principe du fact-checking, mais de pointer quelques limites dans son usage. Car si l’exercice n’est pas nouveau, sa constitution en genre et en rubrique particulière est plus récente, au point que cette pratique, victime de son succès, a parfois été dévoyée pour devenir dans certains cas une pratique inutile, voire contre-productive. Explications. Des conclusions… peu concluantes : vérification ne rime pas toujours avec information Puisqu’il s’agit de vérifier les faits, jugeons sur pièce. Qu’a-t-on appris ? Illustration.