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Neurosciences : 10 techniques simples pour faciliter l'apprentissage des enfants (et leur bonheur)

Neurosciences : 10 techniques simples pour faciliter l'apprentissage des enfants (et leur bonheur)
Comment aider un enfant à apprendre ? Catherine Gueguen a une idée très précise du sujet grâce à ses connaissances dans le domaine des neurosciences affectives. Cette idée pourrait changer la vie de nombreux parents et enseignants. Je vous invite à découvrir 10 techniques simples à mettre en place dès maintenant. Prérequis Les ennemis du cerveau Le stress et la peur Le stress est l’ennemi numéro 1 du cerveau. Les amis du cerveau : Le soutien, les encouragements Soutenir, encourager augmente et développe le volume de l’hippocampe. L’écoute, l’empathie, la bienveillance Quand les enseignants sont empathiques et chaleureux, il y a sécrétion d’ocytocine qui est a l’origine de l’apparition de trois autres molécules : la dopamine, les endorphines et la sérotonine. Le jeu Ce qui donne de la joie à l’enfant est bon pour son développement cérébral : jouer, rire, s’amuser, grimper, courir sont indispensables et font maturer le cerveau. A l’inverse, le stress diminue le BDNF cérébral. La curiosité

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Neurosciences, la classe un laboratoire ? Introduction au dossier Les neurosciences, et en particulier les sciences cognitives, ont le vent en poupe auprès des décideurs politiques qui semblent en attendre beaucoup (trop ?). Les enseignants, eux, restent circonspects, car nos classes ne sont pas des laboratoires et nos élèves ne sont pas des cobayes ! Les neurosciences n’ont pas le pouvoir de nous dicter comment faire “scientifiquement” la classe. L’apprentissage visible et efficace: Hattie enfin traduit – Gynger Depuis plus de 15 ans, John Hattie, chercheur néo-zélandais, synthétise la recherche et tente d’identifier les facteurs prépondérants et les méthodes les plus efficaces en matière d’éducation et de pédagogie. L’un de ses ouvrages phare, «Visible learning for teachers » est depuis deux jours accessible aux non anglophones. C’est la première fois qu’un livre de John Hattie est traduit en français. Il s’agit d’un événement dans la mesure où les travaux de ce chercheur néo-zélandais constituent depuis dix ans une référence dans le monde en matière d’éducation.

Méditation pour dépasser nos blocages - Cultivons l'optimisme Pascale Picavet, psychopraticienne, nous propose une méditation guidée pour dépasser nos peurs et nos blocages et avancer dans nos objectifs. Il s’agit d’un outil efficace à la fois pour calmer notre mental, diminuer notre stress, s’ancrer dans le moment présent, retrouver confiance et nous libérer de nos croyances limitantes. Merci pour cette ressource aidante. Articles similaires Avons-nous plusieurs types d'intelligence Pourquoi, à votre avis, l’enseignement actuel ne convient-il pas à tout le monde ? Peut-être parce qu’il n’est pas assez motivant ou peut-être parce qu’il ne prend pas suffisamment en compte les différences interindividuelles. En effet, chaque individu est différent et ne possède pas la même intelligence.

Neurosciences : une éducation encourageante améliore la mémoire des enfants « Des chercheurs ont étudié l’influence de l’éducation sur les capacités à mémoriser et à apprendre. Ils ont mené une étude d’imagerie cérébrale auprès d’une centaine d’enfants qu’ils ont suivis pendant plusieurs années. Les enfants qui avaient été encouragés et soutenus par leur parent ont vu leur hippocampe se développer jusqu’à 10 % de plus que l’hippocampe des autres qui n’avaient pas eu cette chance. Or l’hippocampe, qui appartient au système limbique, joue un rôle essentiel dans la mémoire et l’apprentissage. En outre, cette petite structure est impliquée dans la gestion du stress.

Nos interactions sociales vues par les neurosciences Parce que nous sommes des êtres intrinsèquement sociaux, le cerveau social est devenu un objet d’études pour les neurosciences. Qu’est-ce qui fait le propre de nos interactions humaines ? Comment expliquer ces synchronisations cérébrales ? Depuis une quinzaine d’années, les neurosciences sociales se consacrent à l’étude des mécanismes physiologiques qui sous-tendent les comportements sociaux, explorant les fondements neurologiques des comportements sociaux comme l’attachement, l’empathie ou la coopération. En enregistrant l’activité cérébrale de plusieurs personnes simultanément, ces travaux analysent notamment ce qu'il se passe dans le cerveau des sujets quand ils interagissent entre eux.

Créer des supports pédagogiques interactifs avec Spiral - Edupronet Combien de fois avez-vous essayé de réaliser des supports pédagogiques interactifs pour rendre vos séances de cours plus intéressantes sans jamais pouvoir aller au bout de votre démarche ? Trop compliqué ? Trop chronophage ? Pas assez de moyens à disposition ?…Bonne nouvelle ! Les étonnantes vertus de la méditation Comment (re)voir ce programme Diffusion : samedi 23 septembre à 22h40 Disponible en direct : oui

Ces neuromythes qui persistent dans les écoles Parmi les sciences récentes, les neurosciences sont les plus fascinantes et les plus compliquées. Logique puisqu'elles étudient littéralement le moteur des actions et pensées humaines : le cerveau. La société aimerait croire que la majorité de ses actes s'expliquent par un mécanisme cérébral ou un dysfonctionnement d'une partie de l'encéphale. Conséquemment, le système d'éducation s'intéresse de très près à tout ce qui touche le cortex pour voir comment ses découvertes peuvent transformer les méthodes d'apprentissage qui généreraient alors des cohortes de petits génies. Forcément, cette obsession pour notre matière grise mène, comme nous vous l'avions déjà mentionné, à des dérives.

2 minutes pour comprendre comment le cerveau apprend des erreurs (neurosciences) Dans cette vidéo de Arte, on comprend en quoi l’erreur est partie prenante de l’apprentissage du point de vue des neurosciences cognitives. On peut retenir deux informations importantes de cette vidéo : Se tromper est indispensable pour apprendre. Se tromper déclenche une reconfiguration des réseaux neuronaux au moment où on se rend compte qu’on a fait un erreur. Le cerveau a besoin de signaux d’erreur pour corriger ses modèles du monde extérieur. Lire aussi : Nos erreurs récurrentes : 3 étapes pour inhiber les erreurs qu’on reproduit souvent

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