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« Ici, on apprend à parler et à écouter, pas la soumission » : bienvenue au lycée expérimental de Saint-Nazaire

« Ici, on apprend à parler et à écouter, pas la soumission » : bienvenue au lycée expérimental de Saint-Nazaire
Bientôt 10h, à Saint-Nazaire. Sur le pas de la porte du lycée expérimental, les fumeurs profitent du soleil printanier. Les ateliers vont reprendre. Les plus ponctuels s’engouffrent dans le hall, pour rejoindre leurs salles. Les autres s’attardent un peu à la Casbah, la cafétéria du lycée. Dans la cuisine, l’équipe de gestion, qui réunit des élèves et des enseignants, commence à préparer le repas. Pas de personnel de cuisine, pas de secrétaire, pas de personnel d’entretien, et évidemment, pas de directeur. Les élèves créent leurs cours avec leurs enseignants Aussitôt, élèves et enseignants se mirent au travail, réfléchissant ensemble à la mise en forme concrète d’une école différente. Benoit, 19 ans, termine sa quatrième année au lycée, et il prévoit de rempiler l’année prochaine, pour « venir plus souvent et se mettre à bosser ». Ouverte à tout le monde, l’inscription au lycée requiert deux conditions : avoir terminé le collège ou être âgé d’au moins 16 ans. Nolwenn Weiler

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Summerhill School Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Summerhill School est un établissement d'enseignement fondé en 1921 par Alexander Sutherland Neill (1883-1973) afin d'y appliquer ses théories pédagogiques originales d'inspiration libertaire[1],[2],[3]. Les principes du fonctionnement de l'école sont la liberté et une forme de démocratie basée sur l'égalité des voix pour sa gestion. Après avoir occupé plusieurs lieux, elle est située depuis 1927 dans le Suffolk près de Leiston en Angleterre. À la mort de Neill, l'école expérimentale survécut à son fondateur. En 2000, l'école fut menacée de fermeture par le gouvernement britannique mais après un recours devant la Haute Cour de Londres, elle obtint un accord reconnaissant son droit à disposer d'une philosophie propre.

Jürgen Habermas : « Le djihadisme, une forme moderne de réaction au déracinement » LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nicolas Weill (Propos recueillis par) Le président François Hollande veut définir un « état de guerre » adapté à la situation. Que pensez-vous de cette discussion ? Croyez-vous plus généralement qu’une modification de la Constitution soit une réponse adaptée aux attentats du 13 novembre ? Jürgen Habermas.- Il me semble sensé d’adapter à la situation actuelle les deux dispositions de la Constitution française relatives à l’état d’urgence.

Une éco-école pour des éco-citoyens À Ravigny, en Mayenne, l’instituteur et le maire conjuguent leurs efforts pour former les éco-citoyens de demain. « Si j’ai pu mettre en place tous les projets autour de l’école, c’est grâce à la mairie », affirme, dès le début de l’entretien, Pierre Transon, instituteur de ce petit village de 200 habitants. Passionné de nature, il stimule depuis 28 ans la curiosité de ses élèves au sujet de l’environnement et de la biodiversité, selon un crédo simple : « Émerveiller d’abord, connaître ensuite pour finalement respecter et protéger toute forme de vie animale ou végétale. »

Sécurité ou libertés publiques : faut-il choisir ? Depuis les attentats du 13 novembre, le gouvernement a adopté des mesures d’exception. Mais pour protéger la démocratie, la France doit-elle abandonner les valeurs qui la fondent ? LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Anne Chemin Au lendemain des attentats, François Hollande a endossé sans hésiter les habits du chef de guerre. En proclamant que la France devait se défendre contre une « armée djihadiste », en dénonçant les « actes de guerre » commis à Paris, en remettant au goût du jour une loi sur l’état d’urgence qui date de la guerre d’Algérie, le président de la République a donné le ton : la France, a-t-il déclaré, luttera avec une « détermination froide » contre ses « ennemis ».

L'école et la peur d'échouer L'école décourage-t-elle d'apprendre et cela dès la maternelle ? Dans le débat actuel sur l'école maternelle, le conseil scientifique de la Fcpe publie une nouvelle étude qui montre comment l'école contribue à fabriquer les inégalités scolaires. Fallait-il prendre la maternelle en exemple alors que la scolarisation précoce semble menacée ? Sur l'impact du fonctionnement de l'école sur le sentiment de bien être à l'école dans son rapport aux résultats scolaires, on aurait pu aussi bien sortir, en positif, la recherche de Camille Terrier. C'est ce que nous choisissons de faire...

Ils ont mis une école maternelle dans une maison de repos et cela a changé la vie de tout le monde Il faut bien dire ce qui est : les maisons de retraite ne sont pas toujours les endroits les plus joyeux du monde. Bien souvent, malheureusement, les anciens doivent finir leur vie dans des endroits ternes et tristes, où ils semblent relégués dans l’attente de leur décès prochain. Mais heureusement, ce n’est pas toujours ainsi ! En effet, les personnes âgées peuvent facilement maintenir leur joie de vivre, du moment qu’ils reçoivent des visites, que l’on va vers eux et qu’on leur prête l’attention qu’ils méritent. Une école maternelle dans une maison de repos Au Providence Mount St.

Gilles Kepel: «Le 13 novembre? Le résultat d'une faillite des élites politiques françaises» Au lendemain des attentats du 13 novembre, un message de revendication était diffusé sur le Net par la voix d'un converti français. «Rhétorique pseudo-islamique à la sauce des banlieues populaires françaises», réagit aussitôt Gilles Kepel. Politologue et sociologue, Gilles Kepel est internationalement reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes du discours djihadiste et de l'islam en France. Voici plus de trente ans qu'il étudie en parallèle l'émergence de l'islamisme radical dans le monde arabe et l'évolution des musulmans dans son pays.

L’organisation de l’enseignement primaire de la IIIe République : ses origines parisiennes et provinciales, 1850-1880 Le point de départ de cet article se trouve dans une communication au colloque « Fin de siècle : quelle école ? » Montpellier, 23-35 octobre 1994, publiée dans un recueil portant le même titre organisé par René Guth dans Les Cahiers du GRAPIEN, pp. 189-204. Josée Tertrais, ingénieur d’études à l’ENS Fontenay Saint-Cloud, a effectué une partie des premiers dépouillements d’archives concernant Paris. Cette analyse s’inscrit dans une recherche sur le processus de développement de la scolarisation en France entre 1850 et 1980.

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