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Personnalités du Nouveau-Monde

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Cachet de cire et marque de Fran ois Peron (1615-1665), marchand de La Rochelle. 9 – La maison de François Peron sur la rue Sous-le-Fort à Québec – Le blogue de Guy Perron. Au cours de l’année 1663, Daniel Perron dit Suire se présente devant le Juridiction ordinaire à Québec pour régler des différends avec Michel Desorcis, ex-procureur du marchand rochelais François Peron (1615-1665).

9 – La maison de François Peron sur la rue Sous-le-Fort à Québec – Le blogue de Guy Perron

Fils naturel de Peron, « Daniel Suire » a pour mission de retirer tous les effets appartenant à Peron qui sont entre les mains de Desorcis. Une sentence de la juridiction ordinaire conduit les parties vers un arbitrage. Maison Couillard de L’Espinay sise au 27, rue Sous-le-Fort. (Source : Google StreetView) Restaurée en 1973 à partir d’une gravure de Jean-Baptiste Franquelin en 1688.

(Source : Lebel, Jean-Marie. Le vendredi 4 avril 1664, Perron dit Suire et Desorcis conviennent sur la nomination des arbitres devant le Conseil Souverain. Maison Couillard de L’Espinay.Remarquez le passage voûté, appelé Passage de la Batterie, menant discrètement à l’arrière des maisons.Christian Lemire 2006, © Ministère de la Culture et des Communications WordPress: J'aime chargement… Noblesse. Dans les pages qui suivent, mes recherches ont été axées plus particulièrement sous l'aspect généalogique dans la découverte de liens de parenté plutôt que sous l'aspect historique.

noblesse

De plus, il est fort possible que l'appellation de certains lieux ne soit pas ce qu'elle était à l'époque. Veuillez aussi noter que les dates lorsque non précises, n'ont pas été confirmées et souvent approximatives. Ces renseignements sont strictement d'ordre informatif et receuillis ici et là, depuis plus de 20 ans, lorsque ces derniers me tombaient sous la main. Ne m'en veillez pas si certaines données sont erronnées mais plutôt, SVP avisez-moi pour que je puisse en faire la correction. François-Daniel Perron dit Suire (1638 - 1678) Familledamours. On écrit souvent et on laisse trop souvent à penser que nos ancêtres venus de France en Nouvelle-France n’appartenaient qu’à des familles paysannes, alors qu’en réalité la nouvelle société qui s’établissait le long du Saint-Laurent provenait aussi bien de paysans, de militaires, d’artisans, de notables et même de représentants des grandes familles de France.

familledamours

Ces représentants de ces grandes familles portaient noms : Aigron, d’Ailleboust, Chambau, Chartier, Hennequin, Hotman, Le Prévost, Nau et bien sûr les d’Amours. Ils avaient souvent des professions héréditaires, transmises de pères en fils et ce pendant plusieurs générations. Compte-tenu du nombre élevé d’enfants que pouvaient avoir ces familles nobles, il était de mise que le fils aîné choisisse la carrière de son père, le cadet se destinait à l’armée et le troisième embrassait la vie religieuse.

La famille d’Amours comme celle des Hennequin est des Nau en est un bel exemple. Des familles de notaires : comme celle des Le Prévost. Charles de La Tour (1592-1634) petit-cousin des rois de France. Pour plus d'informations sur ces La Tour, voir le site du "Livre des Rois de France" à Claude de La Tour Si vous êtes descendant un d'Alexandre Le Borgne de Belle-Isle, vous êtes aussi, automatiquement, un descendant de Charles et de son père Claude de La Tour par votre x-arr-arrière-grand-mère Marie de La Tour, sa petite-fille.

Charles de La Tour (1592-1634) petit-cousin des rois de France

Claude La Tour était un noble de la Cour de France, qui avait adopté la foi protestante des Huguenots. Henri IV (Roi de France de 1589 à 1610)(Cliquez ici pour liste des Rois de France) ayant abjuré la foi protestante pour la foi catholique lorsqu'il devint Roi de France, il ne siait pas pour ses sujets de faire autrement que le roi… Pressentant les grands troubles religieux qui devraient bientôt sévir en France, Claude de La Tour décida de se rendre au Nouveau Monde en 1609. Charles Latour avait vu le potentiel du marché des fourrures, et aidé de sa large famille indienne, il était déterminé à fournir les marchands de LaRochelle avec ses pelleteries.

Anciennes chroniques. Inventaire des lieux de mémoire de la Nouvelle-France. Série Histoire du Québec. Quizs sur l’histoire du Québec sur le web. Les Collections numérisées du Canada : Liste Alphabétique. Sites de généalogie protestante (J.-P. Roelly) Bataille de Fort William Henry. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bataille de Fort William Henry

Contexte[modifier | modifier le code] Les attaques fréquentes subies par les forts français, tel Fort Duquesne, avaient contraint les Français à contre-attaquer. En août 1757, Montcalm quitte Fort Carillon pour assiéger Fort William-Henry avec un puissant corps de 6 000 soldats et miliciens accompagnés de 1 600 Amérindiens, 36 canons et 4 mortiers. La garnison de Fort William-Henry sous le commandement du Lieutenant-colonel George Monro est forte de 2 372 hommes seulement. Dans la nuit du 2 au 3 août, les Britanniques ne prennent aucune mesure afin d'empêcher les Français de débarquer sur la rive. La bataille[modifier | modifier le code] Portail:Nouvelle-France/Lumière sur.../Archives. Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Portail:Nouvelle-France/Lumière sur.../Archives

Mai 2016[modifier le code] Portail:Nouvelle-France/Lumière sur... /Archives/052016 Avril 2016[modifier le code] COUILLARD DE LESPINAY, GUILLAUME – Volume I (1000-1700) COUILLARD DE LESPINAY, GUILLAUME, charpentier, matelot et calfat, originaire de Saint-Malo ou de la paroisse de Saint-Landry de Paris, né vers 1591, fils de Guillaume Couillard et d’Élisabeth de Vesins, décédé à Québec en 1663.

COUILLARD DE LESPINAY, GUILLAUME – Volume I (1000-1700)

Guillaume Couillard de Lespinay épousa à Québec, le 26 août 1621, Guillemette, fille de Louis Hébert. Il en eut dix enfants, dont la nombreuse descendance le fait figurer dans la généalogie de presque toutes les vieilles familles canadiennes-françaises. Il était venu au Canada vers 1613, selon Champlain, qui, en 1628, parle de lui avec éloges. Couillard fut un des premiers habitants établis à demeure dans la colonie. Louis Hébert, le premier cultivateur, n’arriva à Québec qu’en 1617. En fin de juin 1628, alarmé par l’approche des Anglais et la menace d’une famine à Québec, Champlain voulut envoyer quelqu’un à Tadoussac pour radouber et ramener une barque, en vue d’évacuer vers Gaspé les bouches superflues.

Honorius Provost. BOULLÉ, HÉLÈNE, dite de Saint-Augustin (Champlain) – Volume I (1000-1700) BOULLÉ, HÉLÈNE, dite de Saint-Augustin (Champlain), fondatrice des Ursulines de Meaux (France), née en 1598 à Paris de Nicolas Boullé, secrétaire de la Chambre du roi, et de Marguerite Alix, tous deux calvinistes, décédée et inhumée à Meaux, le 20 décembre 1654.

BOULLÉ, HÉLÈNE, dite de Saint-Augustin (Champlain) – Volume I (1000-1700)

Des quatre enfants Boullé, Hélène était la plus intéressante. En 1610, on la maria à Samuel de Champlain, de beaucoup son aîné. Comme elle n’était pas encore nubile, le contrat exigeait l’espace de deux années avant la cohabitation des conjoints. D’abord opiniâtre dans ses croyances, la jeune femme étudia la religion de son mari et embrassa la foi catholique à l’âge de 14 ans. En 1620, elle choisit d’accompagner M. de Champlain au Canada. LE BORGNE, EMMANUEL – Volume I (1000-1700) LE BORGNE, EMMANUEL, marchand, commanditaire de Charles de Menou d’Aulnay, magistrat consulaire à La Rochelle, gouverneur de l’Acadie de 1657 à 1667 ; prétendant à la succession de d’Aulnay ; né en 1610 à Calais ; mort le 5 août 1675 à La Rochelle.

LE BORGNE, EMMANUEL – Volume I (1000-1700)

Le Borgne, marchand prospère et influent de La Rochelle, avait avancé de fortes sommes à d’Aulnay pour son entreprise de l’Acadie. Apprenant la mort de ce dernier, noyé à Port-Royal (Annapolis Royal, N. DENYS, NICOLAS – Volume I (1000-1700) DENYS, NICOLAS, colon, entrepreneur, auteur, l’une des figures éminentes de l’Acadie pendant plus de la moitié du xviie siècle, baptisé dans la paroisse Saint-Saturnin, à Tours, France, le 2 juin 1603, décédé en 1688.

DENYS, NICOLAS – Volume I (1000-1700)

Nicolas Denys était le fils de Jacques Denys de La Thibaudière et de Marie Cosnier. Il déclara lui-même être d’une « famile d’ingénieurs ». BERGIER, CLERBAUD – Volume I (1000-1700) BERGIER, CLERBAUD, auteur d’un projet de pêche côtière en Acadie et un des principaux membres de la Compagnie de la Pêche sédentaire de l’Acadie, formée en 1682, lieutenant pour le roi en Acadie en 1684 ; circa 1680–1687. Bergier, marchand huguenot de La Rochelle, qui désirait établir une compagnie pour favoriser la pêche et la traite en Acadie, obtenait en 1680 de Nicolas Denys la permission de se rendre dans cette colonie. Comme Bergier et ses associés étaient huguenots, le grand vicaire de Québec, M. Dudouyt, protesta que leur projet serait contraire aux intérêts de l’État et de la religion, ainsi qu’aux intentions qui animaient le roi lorsqu’il fonda la colonie.

Pour surmonter cette objection, Bergier s’associa à Gabriel Gautier, Boucher et M. de Mantes, de Paris. Organisés en compagnie par le marquis de Chevry [V. DENYS DE FRONSAC, RICHARD – Volume I (1000-1700) DENYS DE FRONSAC, RICHARD, administrateur, colonisateur, négociant et entrepreneur en pêcheries, baptisé le 29 août 1647 dans la paroisse Saint-Barthélemy à La Rochelle, France, fils de Nicolas Denys et de Marguerite Lafite, décédé en 1691. À partir de 1654 environ, Richard Denys grandit à Saint-Pierre du Cap-Breton, où son père venait de s’établir à nouveau, après avoir acquis de la Compagnie de la Nouvelle-France les droits sur la côte nord de l’Acadie depuis Canseau jusqu’au cap des Rosiers en Gaspésie et après avoir reçu le titre de gouverneur et de lieutenant du roi.

Richard eut une enfance mouvementée à Saint-Pierre, encore qu’il soit remarquable que la prise de Port-Royal par Sedgwick en 1654 n’ait pas touché la famille. Les Denys continuèrent d’habiter Saint-Pierre jusqu’à l’hiver de 1668–1669, au cours duquel un incendie détruisit leurs bâtiments et leur commerce ; ils s’établirent alors à Nipisiguit (Bathurst, N. Samuel Argall. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Samuel Argall (1580 - 1626) était un aventurier et un officier naval anglais[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Comme guerrier, il est reconnu pour sa diplomatie avec la confédération Powhatane. Il a enlevé Pocahontas, fille du chef, comme gage contre le retour des captifs et propriétés tenues par les Powhatons. Pocahontas a été amie des Anglais et fut traitée avec un grand respect vu son rang, aux yeux des Anglais, de princesse Indienne. Il a aussi connu du succès dans ses opérations contre les tentatives françaises de colonisation en Nouvelle-Angleterre et en Afrique du Nord, lesquelles étaient considérées à Londres comme des violations de la charte de la compagnie de Virginie.

Adoubé par le roi Jacques Ier, Argall fut critiqué par son rival et successeur Yeardley pour avoir été extrêmement dur lors de mandat de Gouverneur de la Virginie, mais l'étude de sa conduite à Londres et l'opinion des historiens modernes l'ont réhabilité. Françoise-Marie Jacquelin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Françoise-Marie Jacquelin Françoise-Marie Jacquelin défendant le fort Saint-Jean contre D'Aulnay, par Charles William Jefferys. Biographie[modifier | modifier le code] Nicolas de Harlay de Sancy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Origines et famille[modifier | modifier le code] Fils de Robert de Harlay, conseiller au parlement, et de Jacqueline II de Morainvillier, dame de Maule, Nicolas Harlay de Sancy est issu d'une famille protestante et dut se convertir au catholicisme en 1572, après le massacre des Huguenots lors de la Saint-Barthélémy.

Certains le critiqueront en pensant qu'il se convertissait pour amadouer Henri IV ou par lâcheté. Ce fut le cas d'Agrippa d'Aubigné qui écrivit de nombreux pamphlets à son encontre[1]. La famille de Harlay est une très ancienne lignée française qui disparut en 1717. Carrière militaire et diplomatique[modifier | modifier le code] Grand diplomate de la cour, il part en 1596 pour un voyage en Angleterre avec Guillaume du Vair et le maréchal de Bouillon pour créer une alliance contre l'Espagne qui assiège Calais.

François de Razilly. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Isaac de Razilly. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Claude de Launay-Razilly. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La vie des grands navigateurs de l' histoire de l'antiquité au 16 eme siecle. Les grandes découvertes. De Rainville à Renville: Les Bois-Brûlés. Extrait de: Les De RAINVILLE: Mille Ans d'Histoire, par Mona Andrée Rainville Véritable épopée, l'histoire du patriarche Joseph Rainville et de sa descendance métis est digne des plus grands romanciers et des meilleurs cinéastes. Elle retrace intimement la suite de transitions clés qui se sont opérées en Amérique du Nord après l'arrivée des Européens: la passation de pouvoir du Régime français à la Couronne Britannique, en 1773; l'indépendance américaine, dix ans plus tard; la vente de la Louisiane par la France au nouvel état américain; la Guerre de 1812; le Traité d'Ashburton et le tracé des frontières entre le Canada et les États-Unis d'Amérique; la fusion de la Compagnie du Nord-Ouest et de la Compagnie de la Baie d'Hudson, en 1822; et celle de la résultante de cette fusion: la colonisation massive des territoires à l'ouest des Grands-Lacs et la création des "Réserves" amérindiennes.

C'est l'aviron qui nous mène, qui nous mène en haut... L'énigme Charles Amador de LA TOUR de SAINT-ÉTIENNE, par Mona Andrée RAINVILLE. Le père Clarence d’Entremont fut le premier auteur francophone à intimer que Claude - que nous appellerons de LA TOUR - était en fait le fils d’un simple maçon de Paris, Guyon TURGIS. Plus tard, d’autres historiens ou généalogistes, apporteront l’eau nécessaire à ce moulin en produisant - ou du moins, en faisant allusion - à des documents tendant à démontrer que ce sieur de La Tour était bel et bien le fils du maçon TURGIS. Biographies P - Q. Pedro Juan : esclave africain (mort à Saint-Domingue, 1679), connu en français sous le nom de Padrejean. Esclave d'un Espagnol de Santo Domingo, il assassina son maître puis il se réfugia à la Tortue. Christophe Colomb. Les débuts.Né à Gênes. Marin très tôt. Fait partie en 1476 d'un convoi en partance pour Lisbonne et l'Angleterre.

Le convoi es attaqué par des français. Colomb se réfugie à Lagos puis retrouve son frère, un cartographe, à Lisbonne (Portugal) où vit une grande colonie de génois. Il épouse en 1479 la fille d'un des premiers colonisateurs de Madeire, Filipa Perestrelo e Moniz, qui lui donnera un fils et mourra peu de temps après. Était-ce possible? Christophe COLOMB (1451-1506) Christophe Colomb est né en 1451, le lieu exact de sa naissance est incertain. L'origine de Christophe Colomb est l'objet d'une polémique et de nombreux débats.

On a dit de lui qu'il était génois ou corse (Gênes et Calvi revendiquent la maison natale de l'explorateur). MARTIN. François Peron (1615-1665), marchand-engagiste, bourgeois et avitailleur de La Rochelle. Charles de Saint-Étienne de La Tour (vers 1593 - vers 1664) Armorial du Canada. Philippe de Rigaud de Vaudreuil. Jean Talon. Compagnie de la Nouvelle-France. Compagnie de Montmorency. Compagnie de Rouen (Nouvelle-France) François Gravé. Émery de Caen. Jean de Poutrincourt. Claude de Saint-Étienne de la Tour. Cap de Sable. Charles de Menou d'Aulnay. Claude de Launay-Razilly.

E – PERONNE DUMESNIL, JEAN – Volume I (1000-1700) E – JUCHEREAU DES CHATELETS, NOËL – Volume I (1000-1700) Daniel Perron.